Quelle est l'identité de la jeune femme trouvée morte dans la benne à ordures ? Tandis qu'on s'emploie à le savoir, la vie au Palais continue ; d'autres tâches requièrent Pierre Clément et les autres. Dans son bureau, Pierre Clément reçoit des parents d'élève qui accusent l'institutrice de leur fille,Mme Sauvanet, de terroriser et de frapper les enfants de sa classe en se déguisant en sorcière. Sont-ils crédibles ? Pierre est ébranlé : on ne peut pas courir le risque que des enfants soient maltraités à l 'école. Le capitaine Laure Berthaud est parvenue à identifier la victime sans visage. C'est une jeune Roumaine du nom d'Elina Andrescu. Tout porte à croire qu'elle était entretenue, ou même qu'elle se prostituait. C'est la conviction du juge Roban. D'un autre côté, Elina Andrescu était aussi biologiste, et même une chercheuse scientifique de haut niveau, qui allait terminer sa thèse ; et sa jeune soeur, Sofia, âgée d'une quinzaine d 'années, a mystérieusement disparu quelques jours auparavant. Il y a quelque chose qui ne colle pas. Pierre s'interroge.
On a découvert qu'avant d'être massacrée, Elina Andrescu a passé la soirée chez un certain Benoît Faye, un homme d'affaires en vue qui, à trente ans seulement, a déjà amassé une énorme fortune. Benoît Faye est aussi l'ami d'enfance de Pierre Clément. Une nouvelle affaire remet en présence le substitut Pierre Clément et le capitaine Laure Berthaud. Un bébé a été découpé en morceaux avec un couteau de cuisine par sa nounou au cours d'une sorte de rite vaudou. La mère ne sait encore rien. Il faut se mettre à sa recherche pour pouvoir le lui annoncer. Laure s'en chargera. Le juge Roban, de son côté, entend Benoît Faye. Certes, Elina Andrescu sortait de chez lui ; mais vivante. Il se croit hors de cause jusqu'à ce qu'il comprenne que le juge Roban détient l'agenda d'Elina Andrescu, dans lequel figurent de nombreux noms, dont celui d'un conseiller important du ministre chargé du Commerce extérieur, Arnaud Laborde, relation d'affaires de Benoît. La jeune avocate Joséphine Karlsson se fait embaucher en sous-main par un ancien avocat, radié du barreau à la suite d'une condamnation pour viol. Vincent Leroy emploie Joséphine pour continuer à exercer secrètement son métier, et éviter de sombrer tout à fait dans l'alcoolisme et la mélancolie. Avec lui, Joséphine apprend beaucoup, mais peut-être pas toujours ce qu'il faudrait apprendre.
En suivant par amusement Pierre Clément, qu'elle trouve à son goût, Laure Berthaud l'a surpris en compagnie de Benoît Faye, celui-là même que le juge Roban l'a chargée de surveiller. Le lendemain, Pierre et Laure Berthaud se retrouvent une fois de plus sur le lieu d'un crime, l'assassinat sordide, dans son hôtel particulier, du porcelainier Jean Lesage. Laure dit à Pierre qu'elle l'a vu avec Benoît Faye. Le juge Roban, lui, continue d'instruire le dossier du bébé découpé en morceaux. Ghislaine, la mère, avait peut-être, en choisissant une nounou folle, le désir plus ou moins avoué de se débarrasser de son enfant. Faut-il la poursuivre ? Roban a besoin d'un réquisitoire supplétif du parquet. Pierre le lui refuse. Roban passe outre, au prix d'un abus de procédure, et décide de mettre la mère en examen. Joséphine Karlsson la défend. Mais, pilotée par Leroy, elle ne pense qu'au profit médiatique qu'elle peut en tirer. Laure continue d'enquêter sur le meurtre de Jean Lesage. Tranquille père de famille en apparence, il avait une vie secrète, des amants, des habitudes de fist-fucking...
Dans l'affaire Elina Andrescu, le juge Roban s'accroche à la piste d'Arnaud Laborde, le conseiller du ministre. Laborde, agacé, se plaint sèchement à Benoît Faye, qui le rassure : Roban s'appuie exclusivement sur l'agenda d'Elina. Or, cet agenda, il ne l'a plus, il y a veillé personnellement. Laborde, enchanté, répond à la convocation et nargue Roban. Pierre, lui, reçoit Tony Simoès, bon jeune homme et excellent élève, qui s'inquiète du sort de son frère Homère, petit délinquant dont il craint que ses complices, Fred et Bambi, ne l'aient tué. Il avait voulu les carotter dans une affaire de drogue. Pierre charge Laure Berthaud et ses hommes de retrouver Fred et Bambi. Laure a d'autres préoccupations. Elle doit témoigner devant la cour d'assises, où sont jugés les auteurs d'un hold-up. Or, l'arrestation, qu'elle dirigeait, ne s'était pas bien passée : deux morts, très jeunes. Sur les conseils de son mentor, Vincent Leroy, Joséphine Karlsson, qui est l'avocate de l'un des accusés, tire le meilleur parti de ce qu'elle présente comme une bavure policière. Laure, qui n'a pourtant pas commis de faute, est affreusement mal à l'aise. Roban explique à Pierre Clément que l'agenda lui a été volé, et que ce ne peut être que parce que Benoît Faye savait, par Pierre, que Roban le détenait chez lui.
On retrouve le corps de Sofia, la jeune soeur disparue d'Elina Andrescu. Elle s'est suicidée, sans doute en raison du traumatisme causé par les pratiques sexuelles trop brutales qu'on lui a imposées. Benoît Faye jure à Pierre qu'il n'avait jamais rencontré Sofia. Pierre en déduit que Benoît ne peut être impliqué dans le meurtre d'Elina, puisque les deux affaires, d'évidence, sont liées. Il est soulagé. Roban se fait d'ailleurs rappeler à l'ordre par sa hiérarchie, qui a appris le vol de l'agenda. On lui reproche aussi le tapage fait autour du prochain procès de Ghislaine Androux, la mère du bébé découpé en morceaux, qu'il a renvoyée en correctionnelle. Car l'avocate Joséphine Karlsson, pilotée par son mentor Vincent Leroy, a mobilisé la presse contre lui. Laure, elle, s'occupe d'une enquête délicate : un certain Georges Gonçalvez est accusé de viol sur ses deux filles. Il nie avec éclat. La plus jeune des filles ne confirme pas. Sa soeur aînée accepte une confrontation en dépit de la terreur que son père lui inspire. Face à elle, il continue à nier. Elle l'accuse alors d'avoir abattu à la carabine un ouvrier noir sur un chantier, sans raison, par pure fantaisie, pour montrer son pouvoir.
Pierre ne veut pas abandonner l'affaire Andrescu, en dépit des menaces de Benoît, qui, sur les ordres de Laborde, cherche à lui faire lâcher prise. Benoît passe donc à l'attaque. Il s'en prend non pas à Pierre mais à sa femme, Marianne, et au père de celle-ci, Robert Villequier. Renseignées par Benoît, les douanes saisissent un camion de l'entreprise Villequier plein à ras bord de médicaments contrefaits. Robert Villequier prend la fuite. Marianne, qui feint de tomber des nues, est convoquée par le juge d'instruction Denis Pernelle. Laure, elle, hérite d'une affaire qui paraît facile. Une femme a été tuée, et l'identité du coupable ne fait aucun doute : c'est Ferro, son ancien mari, plusieurs fois condamné, qui la frappait et lui extorquait régulièrement de l'argent. Un médecin légiste arrogant, mais négligent, conclut par erreur à une mort naturelle. Plus de meurtre, et donc plus de meurtrier. L'assassin ne sera même pas inquiété. Laure et son équipe s'indignent, mais que faire ?Joséphine Karlsson affronte le juge Roban en tant qu'avocate d'un petit caïd de cité qui a fait torturer à mort l'un de ses concurrents dans le trafic local de haschich. Protégé par la loi du silence, abrité par le témoignage de sa mère, il a lui aussi toutes les chances de s'en tirer, grâce à l'acharnement de Joséphine. Mais il commet l'erreur d'humilier cette dernière...
Jacques Surrier, commissaire priseur à l'élégance exagérée, accuse son ex-femme, Madeleine, d'avoir enlevé chez lui pendant la nuit leur fils handicapé, Benjamin, dont il a la garde une semaine sur deux. Magistrats et policiers sont impuissants à démêler le vrai du faux dans les discours contradictoires des anciens époux Surrier. Il est odieux, elle ne songe qu'à le piéger, et l'enfant disparu est l'otage de leur relation perverse. Joséphine défend un jeune homme accusé de viol, qui nie. C'est parole contre parole. Leroy fait un parallèle avec les accusations portées contre lui cinq ans plus tôt par sa collaboratrice Élise, qui lui ont valu sa condamnation et sa radiation. Joséphine se rend chez Élise, qui est gravement malade, presque mourante. Elle a eu un fils de Leroy, il ne le sait pas. Elle enregistre avec Joséphine une déposition qui blanchit Leroy. Pierre Clément a transformé l'affaire Elina Andrescu en règlement de comptes avec Benoît Faye, qu'il a fait placer en garde à vue. Arnaud Laborde s'inquiète. Il craint que Benoît ne le dénonce. Il demande à Michel de l'éliminer. Benoît a peur. Il livre Michel et Laborde à Pierre. C'est trop tard, Pierre ne le croit plus. Benoît se retrouve en prison, où il est sauvagement agressé, et laissé pour mort...
Benoît est dans un coma dont il ne sortira sans doute pas. Grâce à ce qu'il a eu le temps de dire à Pierre, on connaît la vérité sur l'affaire Andrescu. Tout se sait, mais rien n'est utilisable, rien n'est prouvable, rien n'est judiciairement exploitable.
Un homme est retrouvé brûlé dans le coffre d'une voiture sur un terrain vague en banlieue de Paris. Laure Berthaud, Capitaine de police, est chargée de l'enquête sous la direction du juge Roban. Par ailleurs, son équipe découvre que des dealers fournissent en héroïne plusieurs lycées huppés de la capitale. Usant de méthodes limites, les policiers tentent de faire craquer le lycéen qui a fourni la drogue pour remonter la filière... Sans argent et victime d'une mauvaise réputation, Joséphine Karlsson s'efforce de saisir les opportunités qui se présentent. Elle entre en contact avec Maître Szabo, un célèbre pénaliste qui défend les plus grands truands...
La police étant parvenue à interpeler le dealer, le juge d'instruction et le Vice-Procureur Pierre Clément décident de poursuivre et de démanteler l'ensemble du réseau. Par ailleurs, l'autopsie de l'homme carbonisé apporte la certitude qu'il a été victime des trafiquants de drogue. Les deux affaires sont donc liées... Une jeune femme prétend avoir été torturée par des partenaires libre-échangistes. Dit-elle la vérité ? Ou cherche-t-elle à se venger de son époux ? Le juge Roban devra démêler le vrai du faux... Prise à l'essai dans le cabinet de Maître Szabo, Joséphine est chargée de défendre les trafiquants, parmi lesquels Mister Aziz, un rappeur borderline...
Pierre Clément est heureux : il s'est lié d'amitié avec le très influent chef de Cabinet du Garde des Sceaux qui lui promet le plus bel avenir s'il sait être un bon courtisan ! Pierre hésite, coincé entre son ambition et sa morale... Planques, filatures, écoutes téléphoniques permettent aux policiers d'établir que l'un des responsables du trafic habite une cité difficile qui sert de plaque tournante. Il faut agir avec prudence car la cité est bord de l'explosion... De son côté Joséphine Karlsson oeuvre pour empêcher ou retarder l'enquête des policiers. Sous l'influence de Maître Szabo, et par appât du gain, elle devient une avocate "ripou", qui se compromet dans de louches combines pour mieux défendre ses clients....
Difficiles et éprouvantes, les surveillances des policiers permettent d'identifier ceux qui dirigent le trafic de drogue dans la cité : au-dessus de Mister Aziz, il y a les frères Larbi, craints et respectés de tout le monde... Responsable de la mort d'un homme, Joséphine éprouve quelques remords... vite étouffés quand Szabo lui propose de monter en grade et de s'occuper, avec lui, des affaires des frères Larbi... Pierre Clément dirige une enquête délicate dans le milieu homosexuel branché de la capitale, mettant en cause un militaire... Le juge Roban décide d'infiltrer le réseau des frères Larbi ; il fait appel à un flic spécialisé en la matière, Samy...
Les rapports entre la Capitaine Berthaud et Samy sont électriques, mélange d'attirance et de répulsion. Obligés de travailler ensemble, ils mettent au point une machination visant à éliminer un des trafiquants... Fâché avec le Chef de Cabinet, Pierre Clément fait une croix sur sa carrière et retourne à la routine des petites affaires de droit commun. Il récupère le dossier d'un adolescent perturbé qui a tiré au fusil de chasse sur des lampadaires... Maître Szabo introduit Joséphine dans le clan Larbi, lui expliquant les règles du jeu avec ce type de clients...
Après avoir testé Samy, les trafiquants l'intègrent à leur réseau. Samy les espionne et rend compte à la Capitaine Berthaud... de plus en plus séduite par le courage de cet homme ! Maître Szabo a compris que Joséphine ne l'aime pas et se sert de lui. Il lui donne une mission impossible : faire libérer Mister Aziz qui a été interpellé pour l'affaire du "barbecue"... Le Chef de Cabinet a tabassé sa femme. Il supplie Pierre Clément d'agir pour que l'affaire ne s'ébruite pas...
Les frères Larbi mettent en place le prochain achat de drogue en Espagne ; associé à la préparation du go fast, Samy continue d'informer la Capitaine Berthaud. Des policiers de l'IGS sont cependant convaincus qu'il joue un double jeu et qu'il est en réalité au service des trafiquants... Le Chef de Cabinet apprend qu'il va passer en Correctionnelle à cause de la trahison de Pierre... Joséphine, réconciliée avec Szabo, est très déçue par les Larbi qui ne cessent de l'humilier...
Tandis que la Capitaine Berthaud engage un bras de fer avec Joséphine afin de recouvrer son honneur et sa place dans la police, Pierre Clément tente d'échapper aux machinations de son supérieur allié au Chef de Cabinet du Garde des Sceaux... Et tandis que les truands partent en Espagne avec Samy pour acheter la drogue, Joséphine décide de s'allier à Maître Szabo pour, une fois de plus, trahir ses clients...
Le cadavre atrocement mutilé d'une jeune fille est découvert. Opérant sous l'autorité de la capitaine Berthaud, les enquêteurs pensent que le tueur, qui fait montre de connaissances en anatomie, peut être médecin, vétérinaire ou même boucher… La disparition d'une seconde jeune fille confirme la thèse du serial killer… Parallèlement, le juge Roban enquête sur les conditions douteuses d'un accident qui a provoqué la mort d'un enfant à Villedieu, une commune proche de Paris. Curieusement, on s'intéresse à l'affaire en haut lieu…
La capitaine Berthaud et ses hommes vont cueillir un SDF suspect dans l'entrepôt où il survit. Mais à sa place, ils découvrent le cadavre de la jeune fille qui avait disparu… Roban soupçonne des entreprises de verser des pots de vin au maire de Villedieu afin d'obtenir des marchés et voudrait en savoir plus. On lui rappelle gentiment que le maire est l'ami président… Joséphine...
Les deux jeunes femmes retrouvées mortes présentent exactement les mêmes mutilations, ce qui confirme la thèse du tueur en série. Seul indice : un bonnet a été retrouvé à proximité de la scène de crime. Laure Berthaud doit se battre pour que le dossier ne soit pas confié à la Crime. Mais il faut des résultats, et vite. Déterminé à en savoir plus sur les agissements du maire de Villedieu, Roban le convoque au Palais de justice, ce qui déplaît autant à l'élu qu'au Parquet…
La capitaine Berthaud tient enfin un suspect qui semble être "le bon client" : Ronaldo, un SDF étrange et rusé, qui parvient à récuser toutes les accusations pesant sur lui. Décidés à le confondre, les policiers mettent la pression sur sa sœur Gloria, qui le défend sans être totalement convaincante… Alors qu'il renoue avec Isabelle, son amour de jeunesse, le juge Roban continue de démêler l'écheveau de l'affaire des fausses factures…
Laure découvre que Gloria est la mère et non la sœur de Ronaldo, né en réalité d'un viol. Laure fait pression sur elle, voulant lui faire avouer que Ronaldo est bien leur tueur en série. Mais Gloria ne dit rien et se suicide. Comble de malheur, Ronaldo choisit d'être défendu par Joséphine Karlsson… qui parvient à le faire libérer lorsqu'on découvre un troisième cadavre. Il s'agit cette fois d'une prostituée russe, mutilée comme les deux autres victimes. Mais, au moment du meurtre, Ronaldo était en prison, ce qui est un alibi parfait ! Laure est effondrée. Quant à Roban, victime de multiples pressions il piétine dans son enquête. Il décide alors d'employer la manière forte…
Refusant de croire que Jésus soit le Boucher de La Villette, Laure Berthaud reste focalisée sur Ronaldo. Elle établit même un lien entre Jésus, Ronaldo et le réseau de prostitution des filles de l'Est auquel appartenait la dernière victime. Mais qui cherche à protéger qui dans cette histoire... ? Cette affaire obsède Laure, qui ne cesse pour autant de penser à Brémont. Tandis que Pierre défend un jeune ado borderline, Joséphine lui fait un drôle de coup.
Laure Berthaud et son groupe découvrent le box où Ronaldo mutilait ses victimes. Sa culpabilité ne fait plus aucun doute, mais les flics ne savent pas où il se cache. La mort brutale de Jésus complique l'identification de Niko, le proxénète albanais sur lequel les policiers comptaient pour retrouver Ronaldo... Arnaud, le jeune stagiaire de Roban, est victime d'un chantage de la part du frère de Roban qui continue de protéger les intérêts du maire de Villedieu.
A cause d'Arnaud, Roban essuie revers sur revers. Malgré les pressions du parquet, il s'accroche et essaie d'identifier la taupe qui sabote son instruction. Laure et son équipe poursuivent la surveillance des filles de l'Est dont le proxénète, Niko, a été en lien avec Ronaldo. Mais les planques et filatures sont longues et difficiles. De son côté, Pierre découvre les aspects désagréables de son association avec Joséphine : il doit congédier le jeune Dylan.
Pierre Clément se retrouve en garde à vue : Dylan l'accuse de viol. L'accusation est terrible car très circonstanciée : le jeune homme donne de telles précisions que la police a tendance à le croire. Roban découvre l'identité de celui qui torpille son enquête. Mais loin de le rasséréner, cela le plonge dans un dilemme inédit, pris entre ses sentiments et son devoir de juge. Pendant ce temps, le groupe de Laure filoche les prostituées et remonte ainsi au réseau tout entier. Le portable de Niko, le proxénète, est mis sur écoutes. Lui aussi recherche Ronaldo.
Le groupe DPJ de la capitaine Laure Berthaud est chargé d’élucider l’affaire d’un étudiant déchiqueté par la bombe artisanale qu’il fabriquait. Bientôt il se trouve face à quelques activistes d’une ultra gauche très radicale qui prônent la guérilla urbaine et ont pour cible directe la police. Josephine Karlsson entraînée par sa haine de la police et des institutions accepte de déborder de son rôle d’avocate et se fait piéger par la DCRI qui surveille les activistes d’ultra gauche. Pierre Clément, qui rêve de plus grandes affaires, se voit désigner par une figure du grand banditisme, Johnny Jorkal, pour le défendre. Quant au juge Roban, de retour au palais après une longue absence, il est désormais placardisé.
L'affaire Koné prend un nouveau tournant avec la destruction d'une banque par un groupe d'activistes de l'ultra-gauche. L'avocate Joséphine Karlsson doit alors prendre la défense de Marie. Mais celle-ci est retenue par l'équipe du capitaine Laure Berthaud à propos de l'affaire de l'étudiant retrouvé mort, déchiqueté par une bombe artisanale. De son côté, Pierre Clément, l'associé de maître Joséphine Karlsson, rêve d'affaires d'envergure. Une figure du grand banditisme, Johnny Jorkal, lui demande d'être son avocat. Il accepte en se demandant quelle idée l'homme a derrière la tête en le préférant à un ténor du barreau. Quant à Gilou, il est sollicité par des gérants de boîte qui aimeraient un coup de pouce pour régler leurs problèmes avec la préfecture...
Après une longue absence, le juge Roban fait son retour au Palais de justice. Mais le magistrat est désormais mis au placard. De son côté, le capitaine Laure Berthaud et son groupe de la DPJ continue les investigations sur la mort de l'étudiant déchiqueté par une bombe artisanale. Une nouvelle piste s'offre aux policiers au cours d'une manifestation devant le centre où est détenu Moussa Koné et où un sans-papiers kurde s'est immolé. Les enquêteurs arrêtent un militant d'extrême gauche, appelé Christophe Vasseur. Grâce à cette interpellation, ils localisent un squat qui pourrait peut-être les mettre sur les traces des apprentis terroristes...
La capitaine Laure Berthaud et son groupe de DPJ découvrent le cadavre d'un étudiant. La victime a été atrocement déchiquetée par une bombe artisanale. Les premiers éléments de l'enquête entraînent les policiers au sein des réseaux de contestation citoyenne qui sont opposés à la politique d'immigration. De leur côté, Pierre Clément et Joséphine Karlsson font tourner leur cabinet d'avocats grâce à l'aide juridictionnelle aux sans-papiers. La jeune femme prend d'ailleurs la défense de Moussa Koné, en situation illégale depuis dix ans, et qui est menacé d'expulsion. L'affaire du capitaine Berthaud se retrouve liée au dossier défendu par Joséphine Karlsson. Parallèlement, la policière doit faire face à l'arrivée d'un nouveau commissaire divisionnaire et à une enquête sur elle...
Le lieutenant Fromentin a été grièvement blessé lors de l'arrestation des responsables d'un casse. En procédant à l'autopsie du Kurde qui s'est immolé, la DPJ réalise que l'homme pourrait être mêlé à un trafic d'armes. Quand le juge Roban réalise, lui, qu'une ancienne affaire de viol pourrait avoir été instruite à charge contre l'accusé, il se retrouve en porte à faux avec sa conscience et sa hiérarchie. Jospéphine Karlsson est maintenant surveillée par les RG qui la soupçonnent d'entretenir des relations troubles avec la mouvance d'extrême gauche qui occupait le squat.
Un règlement de comptes en banlieue accélère les choses dans l'affaire du trafic d'armes organisé par les Kurdes. Une intervention de la DPJ est lancée. De leur côté, les avocats associés, Joséphine Karlsson et Pierre Clément jouent chacun un jeu dangereux. Joséphine en fréquentant les mouvances radicales d'extrême gauche qui projettent d'enlever le directeur du bureau des affaires immobilières belge. Pierre en étant mêlé contre sa volonté à un assassinat orchestré par un chef de la pègre qu'il défend. Le lieutenant Escoffier est lui contraint de fournir une arme de service aux frères Sarhaoui. Cet acte fait resurgir son passé de ripou.
L'indic de Gilou a été assassiné par les frères Sarhaoui, et le lieutenant va désormais subir un chantage : soit il obtient des papiers pour le night-club tenu par les frères, soit ces derniers menacent de mettre le meurtre sur le dos de Gilou. Le suicide d'une des victimes de l'affaire de viol qu'a reprise le juge Roban le fragilise auprès de sa hiérarchie. La menace d'une plainte plane désormais. Pendant ce temps, Fromantin a repris du service à la DPJ mais reste traumatisé. Il ne participera pas au démantèlement des réseaux kurdes qui trafiquent des armes de guerre.
À la DPJ, Laure Berthaud apprend qu'un ancien amour a été promu au grade de capitaine. Une fois en poste, il annonce qu'il a l'intention de reprendre en main l'enquête sur le trafic d'armes en provenance du Kurdistan. Mais preuves rassemblées demeurent insuffisantes pour neutraliser les militants du PKK qui agissent en France. De son côté, le juge Roban est continuellement dans le collimateur de sa hiérarchie, depuis le suicide d'une des victimes de viol. La greffière avec laquelle il travaille est l'objet de manoeuvres afin qu'elle accepte une mutation, du fait de la mise en cause de Garnier dans l'affaire Yvan Raulic. Pour rétablir la vérité, le magistrat essaie de reprendre lui-même l'enquête à zéro...
Après avoir frôlé la mort lors d'une intervention, le lieutenant Fromentin est décoré de l'ordre du Mérite. Cette distinction le pousse à avouer son trauma aux membres de son équipe. Après l'exécution d'un témoin-clé, la DPJ localise la piste du trafic d'armes dans une cité. Soupçonnée d'avoir aidé à évacuer un squat de sans-papiers et de militants d'ultra-gauche, maître Joséphine Karlsson est mise en examen pour entrave à la justice. Son associé et ami Pierre Clément la défend, mais après ce dernier coup de main, il ne veut plus avoir affaire à elle...
L'intervention de la DPJ dans le squat occupé par l'ultra-gauche se solde par un fiasco : un jeune militant de la mouvance ayant conçu la bombe artisanale est plongé dans le coma, et Thomas, le leader de la bande, s'est échappé. Joséphine Karlsson offre gracieusement ses services aux collectifs de sans-papiers. Le Conseil supérieur de la magistrature a reconnu le juge Roban coupable des faits qui lui sont reprochés, mais ce dernier veut désormais porter un recours devant le Conseil d'Etat. De son côté, Laure Berthaud se rapproche dangereusement de son ex-amour, Sami...
À la DPJ, l'équipe du capitaine Berthaud commence à se méfier des réactions de son patron, le commissaire Herville. Surtout depuis qu'il brigue, en secret, le poste de directeur de l'antiterrorisme. Le timing est dangereux et d'autant plus que les policiers sont sur le point de démanteler les réseaux kurdes de trafic d'armes et de faire le lien entre ces derniers et les mouvances d'ultra gauche. Après l'explosion de la voiture du caïd Johnny Jorcal, sous les yeux de Pierre Clément, l'avocat réalise qu'il est en train de flirter avec des clients de plus en plus dangereux.
Rétabli dans ses fonctions, et son honneur sauf, le juge François Roban réalise qu'il a peut-être bénéficié d'un coup de pouce dont il se serait bien passé. Les autonomistes d'extrême-gauche emmenés par Thomas, Iannis et Sophie projettent un attentat après avoir acheté des explosifs aux Kurdes. Pour les localiser avant qu'ils ne mettent leur menace à exécution, les hommes de la DPJ remontent toutes les pistes. Mais au même moment, une guerre des polices démarre...
Laure découvre qu'elle est enceinte de quinze semaines. Toujours bouleversée par la mort de son compagnon, elle décide de cacher sa grossesse à ses collègues. Au même moment, les cadavres d'une mère de famille et de sa fille sont retrouvés accrochés à l'hélice d'une péniche sur le canal de l'Ourcq. Pour cette enquête, Laure demande à travailler avec le juge Roban. De son côté, l'avocate Jacqueline Karlsson met tout en oeuvre pour redorer sa réputation.
Laure et ses hommes recherchent activement Stéphane Jaulin, le mari et père des victimes. Le jeune homme, séparé de son épouse depuis quelques mois, a enlevé leur deuxième enfant. Les policiers finissent par l'arrêter sur une air d'autoroute. Interrogé, il prétend ne pas être au courant du décès de sa femme et de sa fille. Au même moment, une jeune femme en train de faire son jogging est agressée dans un bois par un déséquilibré.
L’enquête pour le double homicide piétine. Les révélations du frère de Sandrine apportent peu d’éléments à la DPJ. Le commissaire Herville a pourtant besoin de résultats rapides pour montrer l’efficacité de ses équipes. Il accepte alors de démanteler un réseau de trafiquants d'or et met Tintin et Gilou sur le coup. Pendant ce temps, Joséphine Karlsson met tout en œuvre pour...
Pour maître Karlsson, la bataille menée contre les policiers s’annonce rude. Ces derniers ont désigné maître Edelman, un ténor du barreau, pour défendre leurs intérêts. Le juge Roban, lui, reste au point mort dans son enquête sur le double homicide. Les éléments à charge contre Stéphane Jaulin paraissent beaucoup trop légers et la piste des braqueurs ne donne rien. La pression...
Désespéré d’être emprisonné et loin de son fils, Stéphane Jaulin cherche à mettre fin à ses jours ; cette tentative de suicide est un choc pour son avocat, Pierre Clément, mais pas pour Roban qui ne faiblit pas et reste convaincu de sa culpabilité. Le double homicide n’est pas la seule préoccupation des hommes de la DPJ. Sur ordres du préfet, une opération d’envergure est lancée pour l’arrestation des arracheurs de colliers. Mais les méthodes peu orthodoxes de Gilou et Herville pourraient coûter cher à la DPJ…
En travaillant sur l’équipe des braqueurs, Laure et son groupe réalisent que ce n’est pas Jaulin qui les connaissait, mais sa femme, Sandrine. Laure est à présent sur la piste d’un certain Zacharie Gabaï, surnommé "Zak le barge", visiblement lié au double homicide. Djibril Mereni, l’indic de Gilou, devient alors un atout majeur dans la résolution de l’affaire. Ses informations aident les hommes de la DPJ à retrouver Zak. Mais Mereni n’inspire aucune confiance à Tintin qui ne se prive pas de le faire savoir.
Joséphine, comme l’ensemble de la profession, est très affectée par la mort de Pierre Clément qui venait d’être élu au Conseil de l’ordre. Le juge Roban refuse de se dessaisir du dossier Jaulin mais demande à travailler en cosaisine avec une jeune consœur, Carole Mendy. Laure traque Zak le barge, toujours en fuite après un braquage violent. Lors de l’opération, elle et ses collègues ne réussissent qu’à appréhender Marwan, son complice.
Zak court toujours. Pour ferrer le suspect, Laure et ses hommes décident d’utiliser Djibril Mereni, leur indic. Ils mettent en place un coup de filet et attendent que Zak sorte de sa planque. Pendant ce temps, Joséphine remonte la pente. Sollicitée par Edelman, la jeune femme prend la défense du fils d’un milliardaire libyen, Tarek Ziani, accusé d’avoir violenté ses domestiques. Mais derrière Ziani, ce sont bien les intérêts financiers de la Libye et de la France qui sont en jeu. Du pain bénit pour le juge Roban qui instruit l’affaire avec Carole Mendy.
Les choses se compliquent pour Laure et ses hommes. L'IGPN débarque au bureau et Gilou est interpellé. Laure va devoir se débrouiller avec les moyens du bord pour retrouver Zacharie. Elle est pourtant censée ménager ses efforts pour ne pas risquer de perdre son bébé. Elle appelle Joséphine Karlsson...
Marouane et Zak ont un alibi qui les innocente pour le double homicide. Au point mort, l'affaire rebondit lorsque les policiers relèvent la même empreinte sur le chausson de la petite Lucie et sur les effets personnels de Zak. Par ailleurs, Laure demande à Joséphine de prendre la défense de Gilou...
L'étau se resserre autour d'une bande de filles emmenée par Karen Hoarau. L'une des comparses de cette dernière, France, se fait arrêter. Grâce à l'audace de Joséphine, Gilou échappe aux poursuites judiciaires. Par ailleurs, Edelman et Joséphine tentent de convaincre Ziani de se présenter devant les juges...
Roban ne supporte pas de voir Tarek Ziani échapper à la justice et profite d'une enquête de la BRB pour tenter de le faire tomber pour son implication dans un trafic de véhicules de luxe. Laure et ses enquêteurs mettent tout en oeuvre pour retrouver la petite fille enlevée par Karen, qui exige une rançon...
Le 2e DPJ est appelé sur une scène de crime hors du commun : un tronc humain retrouvé dans un tas d’encombrants dans le 20e arrondissement. Une enquête éprouvante et complexe démarre. De son côté, le commandant Laure Berthaud, confrontée à la peur de perdre son bébé prématuré, décide de reprendre plus tôt que prévu son poste au DPJ. Mais en son absence le groupe s’est organisé différemment et a gagné en autonomie. Laure doit regagner sa place mais aussi composer avec le nouveau commissaire, Arnaud Beckriche. Ce dernier donne une semaine à son équipe pour lui présenter les premiers résultats, faute de quoi il confiera l’affaire à la Crim’.
La victime a été identifiée ; il s’agit d’un certain Mercier, jeune gardien de la paix affecté à la Bac de Cléry-sous-Bois. Il travaillait sous la direction du commissaire Herville, ancien patron du 2e DPJ. L’équipe tient plus que jamais à mener cette affaire à son terme. Beckriche continue, lui, de manœuvrer pour qu’elle soit gérée par la Crim’. Joséphine, éteinte depuis la mort de Pierre et lasse de végéter dans le cabinet Vern, accepte de collaborer avec Éric Edelman dans une affaire de parricide. De son côté, le juge Roban, physiquement affaibli, est en charge d’une affaire de mœurs…
En garde à vue, les frères Camara sont passés à l’interrogatoire. Joséphine se réveille, à moitié dévêtue, à côté du port de l’Arsenal et même si elle ne se souvient plus de rien, comprend qu’elle a été droguée au GHB et violée. Elle se confie à Laure qui l’enjoint de porter plainte. Elle refuse, et c’est psychologiquement affaiblie qu’elle descend dans l’arène des assises pour défendre son client, Thomas Veber. De son côté, Roban soupçonne le procureur Machard d’être impliqué dans l’affaire de mœurs dont il a la charge.
Laure reçoit les confidences de Gilou à propos de leur enquête sur les Camara. A la demande de Joséphine, la police s’est rendue à l’ancien domicile de Thomas Veber à la recherche du marteau qui l’incrimine. Le médecin qui suit le juge Roban pense que son état de santé n’est pas compatible avec ses fonctions. Laure et Gilou se rendent chez un indic en lien avec les Camara.
Le corps d’une adolescente vient d’être retrouvé sur le chantier du squat de Cléry. Laure et son équipe sont dépêchés sur place, mais l’enquête est menée par le SDPJ 93 qui les tient à distance. La guerre est déclarée entre Joséphine et Edelman qui campent l’un et l’autre sur des lignes de défense aux antipodes. Laure continue d’enquêter en off sur le viol de Joséphine. Le juge Roban sollicite l’aide de Machard sur l’affaire Camara.
Pourquoi Mercier s’occupait-il hors procédure de la jeune Justine ? C’est la question qui taraude Laure et ses hommes. Ils retournent au lycée pour interroger des camarades de classe de la victime. Vern sollicite l’aide de Joséphine pour l’assister dans un cas de licenciement abusif. Joséphine fait tout pour faire classer sans suite sa plainte pour viol. Laure, elle, ne comprend pas cette volteface.
Même si elle refuse de porter plainte, Joséphine ne compte pas laisser son violeur impuni. Beckriche prend enfin l’affaire Mercier à bras le corps. Il mobilise toute son équipe pour surveiller deux flics possiblement corrompus de la B.A.C. de Cléry. Laure et ses collègues continuent, en parallèle, de chercher Maria, la camarade de classe de Justine morte dans le squat. Herville apprend de la maire de Cléry qu’un de ses hommes a prévenu ses services de la perquisition au camp de Roms.
Les frères Camara reviennent dans la ligne de mire du groupe Berthaud. Dorénavant associée du cabinet Edelman, Joséphine s’intéresse à l’affaire de mœurs que Roban s’apprêtait à classer sans suite. Ce dernier se retrouve au pied du mur. Plusieurs indices mènent Laure et ses hommes jusqu’à un commerce chinois qui pourrait bien relier les ripoux de la B.A.C. et les frères Camara.
La Cité des fleurs s’embrase après la mort du jeune Camara. Calvi s’inquiète pour sa mère qui y habite et met la pression sur Jolers qui tente de calmer le jeu. Beckriche et Herville sont convoqués par le préfet qui veut éviter l’escalade dans le 9.3. En planque, le groupe Berthaud reçoit l’ordre de rentrer au poste. Drissa Camara demande des comptes à Jolers et Calvi.
Dans l’affaire Bodin, Roban s’est montré moins intransigeant qu’à l’accoutumée ; cela se retourne contre lui lorsque Joséphine l’assigne à comparaître pour le contraindre à répondre publiquement de ses actes… Cité lui aussi, Machard cherche une échappatoire. Le groupe Berthaud pense avoir retrouvé la trace de Maria.
Fromentin s’agace des signes manifestes de complicité entre Laure et Gilou ; se sentant exclu, il vit la situation comme une trahison, lui qui a laissé partir sa femme et ses enfants pour se consacrer au groupe… L’étau se resserre sur Gilou que Laure a choisi de couvrir…, et sur Roban. Joséphine se remet difficilement de sa déconvenue lors de la comparution du juge.
Les ripoux sont en garde à vue, impliqués jusqu’au cou dans l’affaire Mercier, mais un défaut de procédure pourrait tout compromettre... Le groupe Berthaud interroge un médecin, radié de l’ordre, qui pourrait bien avoir accouché la jeune Justine. Ce même jour, Laure doit récupérer son bébé qui peut enfin sortir de l’hôpital.
Le commissaire Herville est retrouvé mort dans un restaurant chinois du 13e arrondissement. Désormais chef de groupe, Gilou démarre l'enquête avec Ali, un jeune commissaire. De son côté, Laure est suivie dans un centre de repos des forces de l'ordre. Proche de la retraite, Roban réussit néanmoins à obtenir l'affaire. De son côté, et dans l'attente de son procès, Joséphine vit difficilement sa détention
Laure, choquée par la mort d'Herville, sort de son apathie pour reprendre du service. Gilou, qui forme un bon tandem avec Ali, accepte de retravailler avec elle. L'équipe se concentre sur les quatre jeunes soupçonnés d'avoir commis le braquage, pris en chasse par ceux à qui devait revenir le magot. De son côté, Edelman doit faire sortir Joséphine de prison...
L'équipe compte les billets trouvés dans le restaurant chinois : plus de 300 000 euros. Selon toute vraisemblance, l'établissement servait de nourrice à des dealers. Les jeunes auraient volé la recette aux criminels. Rayan Khelfa, qui refuse de parler, est mis en examen par Roban. Gilou essaie d'interroger l'adolescent avant qu'il ne soit déferré. De son côté, Laure découvre que Wang était l'indic de Herville. Pendant qu'Edelman fait jouer ses contacts au barreau, Joséphine, en détention provisoire depuis trois mois, essaie tant bien que mal de ne pas se mêler aux trafics en cours, menés par Lola...
Laure planque dans le quartier des entrepôts chinois d'Aubervilliers. Un coursier transportant l'argent sale de la drogue vient de déposer le cash chez un grossiste. Parallèlement, elle envisage de renoncer à son autorité parentale au profit de Brémont. Joséphine se prépare pour son audience chez le juge Wagner, mal disposé à son égard, et se rapproche de sa compagne de cellule, Lola. De son côté, Roban perquisitionne le bureau de madame Adler, directrice de l'hôpital qui emploie Catherine Micaleff...
La deuxième DPJ essaie de comprendre le rôle que joue Fouad, le grand frère de Ryan, dans le réseau de blanchiment. Beckriche fait appel à son ancien mentor de la Financière, Lebrion, qui semble disposé à les aider. Laure et Gilou interpellent un client qui s'est fait livrer du cash, Pierre Solignac, au risque d'alerter le réseau...
Alors que le réseau de blanchiment s'est refermé et que la 2e DPJ doit laisser la main à la Financière, le groupe tente un coup hors procédure : ils parviennent ainsi à identifier un gestionnaire de fortune, David Cann. Sortie de prison, Joséphine travaille pour Edelman qui lui présente l'un de ses vieux amis et client, qui n'est autre que David Cann...
Après la mort de Fouad, le 2e DPJ est dessaisi de l’enquête au profit de la Crim’ dirigée par Brémont. Laure soupçonne Lebrion d’avoir volé un document dans l’enquête Herville lors de la transmission du dossier. Elle en même vient à soupçonner Beckriche de les avoir trahis. Joséphine découvre par hasard qu’Edelman cherche à la garder sous sa coupe.
Roban lance des perquisitions sur la base d’un faux listing, tombant dans le piège de Joséphine et d’Edelman : Laure et Gilou découvrent qu’un des membres du réseau, Oury, est l’amant de Nadia, la mère de Ryan. Beckriche se range du côté de ses hommes et met à jour le mensonge de son ancien mentor à la Financière.
Roban ne peut plus instruire, empêtré dans un odieux chantage lié au faux listing. Le piège tendu par Joséphine, complice de Machard, se referme sur lui. Laure et Gilou lui portent secours. Ils relancent par ailleurs le réseau de blanchiment qui ne bouge plus, grâce à un «coup d'achat » illégal et risqué...
Visés par une enquête de l'IGPN, Laure et Gilou sont placés en garde à vue et interrogés sur leur lien avec Solignac. Déchiré entre sa mission et ses sentiments, habitué aux manœuvres du duo, Tintin peine à choisir son camp. L'équipe interroge des réfugiés qui pourraient avoir vu qui a enlevé Oury...
Gilou attend son jugement en prison, tandis que le groupe de Laure, secondée par Ali Amrani, est placardisé. Pour redorer leur blason, ils se battent pour obtenir une affaire : l'homicide à Barbès d'un mineur isolé marocain. Au parloir, Brémont demande à Gilou des informations sur un codétenu, Ange Cisco...
Joséphine défend la mule guyanaise en échange de la libération de Souleymane détenu par l'Alsacien, un trafiquant de cocaïne. Le groupe de Laure la suit à la trace. Edelman remplace Joséphine pour représenter Lola au procès de son violeur. Gilou découvre la bande de Cisco, Titi le suspecte de ne pas être clair…