Dans l’urgence constante d’un tribunal de banlieue, trois jeunes avocates commises d’offices défendent des clients qu’elles n’ont pas choisi. Plongées dans la machine judiciaire, elles font face au doute, mènent des combats perdus d’avance, mais récoltent aussi de rares et précieuses victoires.
Peut-on s'attacher aux criminels que l'on défend ?
Au tribunal ou en prison, savez-vous comment les avocates Commises d'Office accompagnent ceux qui ne peuvent se défendre par eux-mêmes ?
Quand un enfant veut faire justice : un autre aspect du travail des Commises d'Office.
Les personnes réellement mauvaises existent-elles ?
Elles sont là pour vous croire : le sous-titre de la série n'a jamais été plus vrai.
Elles sont là pour vous croire. Dans l’urgence constante d’un tribunal de banlieue, trois jeunes avocates commises d’offices défendent des clients qu’elles n’ont pas choisi. Plongées dans la machine judiciaire, elles font face au doute, mènent des combats perdus d’avance mais récoltent aussi de rares et précieuses victoires.
Elles sont là pour vous croire. Dans l’urgence constante d’un tribunal de banlieue, trois jeunes avocates commises d’offices défendent des clients qu’elles n’ont pas choisi. Plongées dans la machine judiciaire, elles font face au doute, mènent des combats perdus d’avance mais récoltent aussi de rares et précieuses victoires.
Noémie découvre la prison de Bois-d'Arcy. Elle vient défendre pour la première fois un détenu devant la commission de discipline en détention, une cour de justice qui juge les débordements de la vie pénitentiaire. Eugénie prend ses marques dans son nouveau service en tant que juge de l'application des peines. Elle accueille sa première affaire de récidive. Déborah retrouve le client accusé d'abus sur mineurs qu'elle défendait dans la saison une. Elle prépare son procès aux Assises qui commence dans quelques jours.
Déborah essaye de raisonner son client qui après deux ans et demi ne prend toujours pas conscience de la gravité de sa faute. Noémie défend de très jeunes détenus à Bois-d'Arcy. Eugénie est confrontée à un choix, punir ou laisser sa chance à un condamné en fin de peine ?
Eugénie enchaîne les entretiens avec les condamnés en aménagement de peine. Noémie défend un très jeune détenu. Elle est surprise devant sa désinvolture face à la vie en prison. La défense de Déborah s'annonce compliquée. Dans son bureau avec son associée, elle évoque ses doutes.
Déborah n'est pas tranquille alors que le procès aux assises commence. Noémie présente à une amie le rôle des commis d'office devant la commission de discipline en détention. Eugénie reçoit un condamné très décomplexé par rapport à la gravité de ses actes.
Eugénie essaye de conserver son autorité face à un condamné agressif. Noémie défend un homme détenu depuis de nombreuses années. Elle essaye de lui rappeler qu'il y a de la vie dehors. Il faut se calmer pour y retourner un jour. Le procès du client de Déborah est à sa phase critique. Elle doit lui faire prendre conscience de la réalité sinon il se sabordera tout seul.
Déborah se bat avec son client pour le faire sortir de son attitude autodestructrice. Noémie prépare la défense d'un client accusé d'avoir eu des relations sexuelles au parloir. Eugénie se confronte à deux condamnés peu coopératifs. Ils agissent comme s'ils étaient résolus à prendre la peine la plus sévère possible.
Noémie plaide pour le condamné suspecté d'avoir eu des relations sexuelles au parloir. Eugénie reçoit pour la première fois en entretien une femme condamnée. Déborah doit se préparer pour le moment de vérité : sa plaidoirie.
Eugénie doit rendre ses conclusions sur un condamné qui n'a pas respecté son interdiction de contact avec sa femme. Elle hésite entre laisser une chance ou ne pas prendre de risque. Noémie défend un étranger qui subit la barrière de la langue en prison et vit très mal la détention. Déborah a encaissé le verdict de son premier procès aux assises. Mais l'affaire n'est pas finie...
Alors que Laura défend une jeune cliente victime d’un accident de la route au tribunal de police, Lucie enchaîne les auditions de mineurs en détention préventive. Alisson sort d’une permanence Salduz (intervention d’urgence) et se renseigne auprès d’une collègue au sujet d’une perquisition de grande ampleur.
Alisson fait son possible pour concilier sa vie de maman avec une charge de travail considérable. Tandis que Laura prépare son client pour une audition au tribunal, Lucie tente de trouver les bons mots pour rassurer une dame qui aimerait récupérer ses enfants placés. Malheureusement, on ne peut pas aller plus vite que la musique...
Aujourd’hui, Alisson plaide au tribunal pour son client accusé de vol avec violence. Laura est indignée par une affaire de tentative de meurtre et va demander conseil à son patron. Avocate de jour, elle est rockeuse de nuit. Jouer de la musique lui permet de s’évader.
Laura clôture sa mission avec un client qu’elle juge trop agressif et relate l’incident à la présidente du Bureau d’Aide Juridique. Au tribunal de la jeunesse, Lucie accompagne un mineur devant la juge. Peu avant l’audience, Alisson apprend que son client est bien plus violent que ce qu’il lui a fait comprendre. Elle est prise de court.
Laura appelle le procureur du Roi pour la permanence parquet du jour. Trois prévenus ont demandé un avocat. Elle défend un client qui finit par être mis en détention préventive par le procureur. Lucie se met en route pour l’hôpital psychiatrique Titeca. Elle est l’avocate de permanence et va rencontrer des clients placés de force pour 40 jours.
Alisson enchaîne les auditions avec des prévenus, privés de liberté. L’un d’entre eux est arrêté pour violence conjugale. Vu ses antécédents, il risque gros. Lucie rencontre une cliente hospitalisée de force en hôpital psychiatrique. Son placement sera sans doute prolongé.
Lucie accompagne sa cliente devant le juge de paix et l’équipe médicale de l’hôpital psychiatrique. Il en va du prolongement ou non de son placement forcé. Alisson cherche les meilleures stratégies avec son client pour lui éviter le pire. Laura rend visite à son client à la prison de Saint Gilles. L’audience est dans deux jours. L’objectif est de minimiser sa peine d’emprisonnement.
Aujourd’hui, Laura plaide pour son client accusé de violence au tribunal de 1ère instance. Elle mise sur l’absence de preuves, mais il a peu de chances de s’en sortir. Il a des antécédents, est d’origine étrangère et n’a pas de domicile fixe. Le client d’Alisson attend que son jugement soit rendu tandis que Lucie, de son côté, vit une petite victoire.
Tiphaine prépare l’interrogatoire de sa cliente, Lou : petite main d’un gros réseau de trafic de stupéfiant. Pauline, en contact avec la mère de son jeune client. Il passe en comparution immédiate aujourd’hui. Nawel tente de défendre un aménagement de peine pour son client en détention depuis 24 mois pour une infraction mineure.
Journée internationale des droits des femmes. Les avocats du barreau de Marseille marque cette date au fer rouge lors d’un discours poignant devant le palais de justice. Nawel défend une femme victime de viol et violences conjugales. Sa parole est remise en question. Pauline s’entretient avec son client en garde à vue pour harcèlement envers son ex- compagne. Tiphaine prépare l’audience d’un jeune homme victime de règlement de compte.
Tiphaine rencontre son nouveau client et constate qu’il souffre de trouble psychiatrique, elle plaide l’altération du discernement. Pauline est révoltée par les propos intolérables des policiers à l’égard de son client, accusé d’avoir résisté avec violence à son interpellation. Nawel défend deux hommes accusés de trafic de stupéfiant.
Tiphaine prépare psychologiquement un nouveau client pour les assises. Il risque la perpétuité. Pauline lutte contre l’injustice qu’a subi son client lors de son interpellation : blessé physiquement et méprisé dans le procès-verbal. Nawel poursuit la défense de sa cliente victime de viol et violence conjugal, arrivée au tribunal l’accusé n’a plus d’avocat et l’audience est reportée.
Tiphaine prépare le dossier des assises avec son confrère Romain. La vie de son client est entre ses mains. Nawel est enceinte. Elle prépare son congé maternité mais appréhende son absence pour ses clients. Elle défend un couple à la situation irrégulière, accusés d’avoir « guetter ». Pauline participe à une journée de sensibilisation organisée par le barreau de Marseille. Elle effectue des consultations gratuites.
Nawel sauve un couple de la prison et prend son congé maternité. Elle appréhende la dualité de sa vie de mère et d’avocate. Tiphaine et Romain se rendent aux assises. Ils redoutent la maladresse de leur client et la distance qu’il peut avoir face aux faits. Pauline s’occupe d’un dossier particulièrement sensible pour elle : Une affaire d’agression sexuelle sur mineur.