Le cadavre d’un chasseur est retrouvé dans la forêt de Dambach, près de la frontière franco-allemande. Il a été mutilé, dans une mise en scène qui rappelle la pirsch, une chasse ancestrale à l’arme blanche. La victime est le jeune héritier de l'une des plus grandes fortunes européennes, les Von Geyersberg. Alors que les policiers Pierre Niémans et Camille Delaunay mettent au jour d’autres disparitions anciennes dans cette famille, un nouveau membre est sauvagement assassiné, avec le même modus operandi. Un chasseur sévit contre cette famille qui cache un lourd secret…
Les deux enquêteurs fouillent dans le passé de la famille Von Geyersberg et décèlent des morts suspectes à chaque génération. Puis Ludwig, un cousin de la comtesse Laura, est retrouvé mort dans la forêt. Il a, lui aussi, été décapité et vidé de ses organes. C'est au tour du professeur Schuller, qui a effectué l'autopsie de Jurgen, d'être tué dans son laboratoire. Il venait de découvrir que c'était un enfant adopté.
En Alsace, c'est le temps des vendanges conduites par une secte, « Les Vendangeurs de Dieu », dans le domaine dit du Château. Là, dans une chapelle, le corps de Samuel Toschi, pasteur et restaurateur des fresques de ce sanctuaire religieux, est retrouvé sous les gravats d’un mur. La lieutenante Camille Delaunay s'est infiltrée dans la secte en tant que saisonnière et enquête de l’intérieur. Elle sympathise avec Blandine, mère de trois enfants.
Une main est retrouvée au pied d’une cité. Une main d’enfant, qui pointe vers le ciel… Niémans et Camille, qui commencent leur enquête, découvrent qu’une autre affaire intrigue les foules : un serial killer, qui a déjà abattu trois femmes dans la région de Roubaix. Ce « tueur de l’aube » opère toujours de la même façon : il blesse grièvement ses victimes au lever du soleil, puis les achève sauvagement. La piste de la main amène les deux enquêteurs vers un orphelinat à la réputation trouble : le foyer Saint-Vincent. Alors que deux autres meurtres ont lieu dans un cimetière, ils comprennent rapidement que les deux affaires sont liées.
Les enquêteurs en apprennent un peu plus sur la mystérieuse main découverte : son propriétaire a participé à plusieurs cambriolages. Puis Durero, le directeur de l'orphelinat Saint-Vincent, finit par avouer qu'un enfant a disparu de l'institution depuis cinq jours : Sylvain Richard, un chef de bande redoutable.
Suite à la mort de frère Guillaume, découvert avec la main brûlée dans les dunes, Niémans et Camille enquêtent sur les récents travaux du moine, passionné par les premiers systèmes de portée de notes, qui s'inscrivaient sur la main. Au même moment, Camille tombe sur un violeur en série qu’elle avait arrêté quelques années plus tôt. Peu de temps après, une jeune fille est retrouvée morte, vidée de son sang. Qu’avait donc découvert frère Guillaume ? Et quel est le lien avec ces mystérieuses disparitions de vierges ?
Une femme est retrouvée morte à Clinagen, un centre de bien-être haut de gamme. Elle a été tondue ; et une mystérieuse rosace a été gravée sur le corps. Chose étrange : la victime, 69 ans, en paraît 20 de moins ! La mystérieuse directrice de cet établissement, le Dr Vialle, assume ses ambitions de jeunesse éternelle. L’enquête oriente les policiers vers le village voisin. Les habitants tentent de survivre sous la contrainte d’un élevage «bio», imposé par Vialle. Alors que Camille fait la connaissance de Claude, une désensorceleuse, le commissaire Niemans découvre que la mise en scène macabre du meurtre renvoie aux chasses aux sorcières du Moyen Age.
Un second cadavre est retrouvé suspendu par les poignets dans le parc de la clinique Clinagen. Le rituel du meurtre est le même que pour le premier, avec la fameuse rosace gravée sur le ventre de la victime. Les stigmates laissent penser aux pratiques des bourreaux pendant l'Inquisition. Niemans et Delaunay découvrent toutefois un élément important : les deux victimes avaient le même groupe sanguin et suivaient un programme de revitalisation. Les enquêteurs sont persuadés qu'un lien existe entre Claude, la sorcière, et la glaciale directrice.
On découvre une scène macabre devant l'église d'un petit village. Le corps du prêtre est retrouvé nu, crucifié sur une croix inversée. Pierre Niemans et Camille Delaunay enquêtent sur ce meurtre, dont la mise en scène rappelle la mort d'un martyr du IIIe siècle. Par ailleurs, les reliques du saint ont disparu de la paroisse de la commune voisine. En pleine enquête, Camille découvre un mot du tueur dans sa veste : «La première lettre du nom du Père a été prononcée.» C'est alors que survient un second crime ; d'autres reliques sont à nouveau dérobées.
Après le suicide de l'avocat du diocèse, le duo tente d'en savoir plus sur l'origine des reliques dérobées dans les deux paroisses. Camille se rend au chevet du fils mourant de Nicolao, qui lui révèle que son père a volé les reliques de saint Isidore dans les années 1990. Les enquêteurs découvrent le passé de mercenaire de Nicolao et son lien avec Éric Spaggio. Les deux hommes se connaissaient, ayant tous deux combattu en ex-Yougoslavie.
Sous une pluie battante, un car roule prudemment, dans la nuit. Dedans, des adultes, des enfants, qui parlent en retournant chez eux. Soudain, le car s’immobilise. Jacques, le conducteur, descend vérifier. Une herse a été posée à terre : les quatre roues sont crevées. Et alors qu’il se relève, Jacques est brusquement attaqué par une silhouette sortant de l’ombre, qui lui assène un coup de griffes en métal dans les cuisses. Une cloche retentit. Jacques regarde autour de lui : ils sont sur un passage à niveau, et un train leur fonce droit dessus. Ayant fermé la porte du car en descendant, immobilisé à cause de sa blessure, il ne peut que fermer les yeux au moment où le train percute le car. C’est dans ce contexte douloureux que Niemans et Camille sont appelés à l’aide. Et, alors que l’enquête démarre, d’autres morts suivent ce terrible drame. Et une évidence se dessine pour nos policiers : chaque victime semble avoir été soupçonnée par le passé, dans divers dossiers de police. Le tueur à
Sous une pluie battante, un car roule prudemment, dans la nuit. Dedans, des adultes, des enfants, qui parlent en retournant chez eux. Soudain, le car s’immobilise. Jacques, le conducteur, descend vérifier. Une herse a été posée à terre : les quatre roues sont crevées. Et alors qu’il se relève, Jacques est brusquement attaqué par une silhouette sortant de l’ombre, qui lui assène un coup de griffes en métal dans les cuisses. Une cloche retentit. Jacques regarde autour de lui : ils sont sur un passage à niveau, et un train leur fonce droit dessus. Ayant fermé la porte du car en descendant, immobilisé à cause de sa blessure, il ne peut que fermer les yeux au moment où le train percute le car. C’est dans ce contexte douloureux que Niemans et Camille sont appelés à l’aide. Et, alors que l’enquête démarre, d’autres morts suivent ce terrible drame. Et une évidence se dessine pour nos policiers : chaque victime semble avoir été soupçonnée par le passé, dans divers dossiers de police. Le tueur à
Niemans et Camille débarquent à l’institut des Beaux-Arts de Malpas. Deux étudiants ont découvert le corps d’une autre élève, exsangue, accroché devant un tableau aux couleurs sombres, peint avec le sang de la victime. Un cadre macabre pour nos deux enquêteurs, dont les soupçons se portent rapidement sur Ariane Maubert, la professeure de la victime. Et les raisons sont nombreuses : Ariane n’est autre que Lilith, une personnalité controversée, peintre de génie et créatrice de l’Anima Obscura, un mouvement pictural qui cherche à peindre la noirceur de l’âme, et dont l’institut se revendique comme étant le fer de lance des futurs génies du genre. Et Lilith est connue pour pousser ses élèves à bout, pour aller puiser dans les tréfonds des corps pour libérer l’énergie créatrice. Mais, en se rapprochant d’elle, Camille découvre une femme plus complexe, loin de l’artiste provocante et glaçante. Niemans, lui, cherche à comprendre les secrets que renferment cet institut, au moment où un nouvel
Niemans et Camille débarquent à l’institut des Beaux-Arts de Malpas. Deux étudiants ont découvert le corps d’une autre élève, exsangue, accroché devant un tableau aux couleurs sombres, peint avec le sang de la victime. Un cadre macabre pour nos deux enquêteurs, dont les soupçons se portent rapidement sur Ariane Maubert, la professeure de la victime. Et les raisons sont nombreuses : Ariane n’est autre que Lilith, une personnalité controversée, peintre de génie et créatrice de l’Anima Obscura, un mouvement pictural qui cherche à peindre la noirceur de l’âme, et dont l’institut se revendique comme étant le fer de lance des futurs génies du genre. Et Lilith est connue pour pousser ses élèves à bout, pour aller puiser dans les tréfonds des corps pour libérer l’énergie créatrice. Mais, en se rapprochant d’elle, Camille découvre une femme plus complexe, loin de l’artiste provocante et glaçante. Niemans, lui, cherche à comprendre les secrets que renferment cet institut, au moment où un nouvel
Niemans est cette fois-ci convoqué au ministère de l’Intérieur, à Paris. La demande est atypique : Philippe Cernac, un dangereux prisonnier qui chassait ses victimes à l’arc, s’est porté volontaire pour intégrer le programme de recherche de l’UMD, l’Unité des malades difficiles. Sa seule condition : il veut que Niemans, celui qui l’a arrêté par le passé, soit responsable de son transfert. Flairant le piège, le flic accepte, à condition de pouvoir faire le trajet avec son adjointe, Camille. Une fois sur place, Niemans et Camille font un constat troublant : au sein de cet institut plongé dans la forêt des Landes, plusieurs prisonniers se sont échappés. Pas étonnant selon Niemans, qui reproche aux dirigeants de l’unité d’avoir créé un Club Med pour les plus dangereux criminels de France. Lorsque les corps des prisonniers échappés sont retrouvés dans la forêt, et que dans le laboratoire des fioles de sang disparaissent soudainement, Niemans et Camille comprennent que leur séjour sur plac
Niemans est cette fois-ci convoqué au ministère de l’Intérieur, à Paris. La demande est atypique : Philippe Cernac, un dangereux prisonnier qui chassait ses victimes à l’arc, s’est porté volontaire pour intégrer le programme de recherche de l’UMD, l’Unité des malades difficiles. Sa seule condition : il veut que Niemans, celui qui l’a arrêté par le passé, soit responsable de son transfert. Flairant le piège, le flic accepte, à condition de pouvoir faire le trajet avec son adjointe, Camille. Une fois sur place, Niemans et Camille font un constat troublant : au sein de cet institut plongé dans la forêt des Landes, plusieurs prisonniers se sont échappés. Pas étonnant selon Niemans, qui reproche aux dirigeants de l’unité d’avoir créé un Club Med pour les plus dangereux criminels de France. Lorsque les corps des prisonniers échappés sont retrouvés dans la forêt, et que dans le laboratoire des fioles de sang disparaissent soudainement, Niemans et Camille comprennent que leur séjour sur plac
Lors d’une descente de police près d’un château abandonné, le corps d’une femme est retrouvé au milieu de ruines. La victime gît au milieu d’un décor improbable, couverte d’étoles, avec un miroir attaché aux mains, dans une mise en scène tout droit sortie de l’Antiquité. Pour le flic qui découvre le corps, c’est la douche froide : en effet, il s’agit de Chloé, l’ancienne binôme de Camille. Pour Chloé, ce meurtre vient tout droit du passé : en effet, son père a été arrêté douze ans auparavant, pour un crime similaire. Et il purge sa peine dans un hôpital psychiatrique à quelques kilomètres d’ici, sous haute surveillance. Chloé demande de l’aide à Camille, qui s’installe chez elle pour faire la lumière sur cette histoire. Car le tueur veut Chloé sur cette enquête : quelques heures avant la découverte du corps, il lui a envoyé une photo du meurtre. Très vite, et avec l’aide d’Éva, psychiatre et meilleure amie d’enfance de Chloé, Camille et Chloé plongent dans un monde jusqu’à alors inconn
Lors d’une descente de police près d’un château abandonné, le corps d’une femme est retrouvé au milieu de ruines. La victime gît au milieu d’un décor improbable, couverte d’étoles, avec un miroir attaché aux mains, dans une mise en scène tout droit sortie de l’Antiquité. Pour le flic qui découvre le corps, c’est la douche froide : en effet, il s’agit de Chloé, l’ancienne binôme de Camille. Pour Chloé, ce meurtre vient tout droit du passé : en effet, son père a été arrêté douze ans auparavant, pour un crime similaire. Et il purge sa peine dans un hôpital psychiatrique à quelques kilomètres d’ici, sous haute surveillance. Chloé demande de l’aide à Camille, qui s’installe chez elle pour faire la lumière sur cette histoire. Car le tueur veut Chloé sur cette enquête : quelques heures avant la découverte du corps, il lui a envoyé une photo du meurtre. Très vite, et avec l’aide d’Éva, psychiatre et meilleure amie d’enfance de Chloé, Camille et Chloé plongent dans un monde jusqu’à alors inconn