CAUSE 1 Jacques Grenier prétend que la sécurité de sa famille est menacée par un arbre situé à quelques centimètres seulement de son chalet, mais sur le terrain de sa voisine. La proximité de cet arbre a causé des dommages importants à son chalet. À défaut de faire couper l’arbre, il exige un dédommagement de 7 000$. Joanne Dubuc soutient que l’arbre est bel et bien sur son terrain, mais qu’il ne cause aucun dommage à son voisin. Elle l’accuse d’avoir coupé les racines de son arbre et lui réclame 1 000$. CAUSE 2 Mouna Benarfa a voulu aider une amie en ouvrant un compte de téléphone pour elle. Mais son amie n’a pas tenu sa promesse de payer les factures mensuelles. Elle lui réclame 2219 $ pour les factures impayées et son dossier de crédit entaché. Marie-Pier Groulx affirme qu’elle a eu de graves problèmes financiers, qui l’ont empêchée de payer le compte de téléphone. Elle s’en est confiée à son amie, qui a accepté d’effacer sa dette. Par conséquent, elle prétend qu’elle ne lui doit plus rien.
CAUSE 1 Samuel Berniqué a payé 22 000$ pour une Subaru Impreza 2005 qu’il a achetée d’un particulier, mais il prétend que le moteur a été trafiqué. Il réclame 7 000$ pour les réparations. Jonathan Dannel soutient que Berniqué s’est servi du véhicule pour faire de la course automobile et qu’il est reponsable de tout dommage allégué. Il refuse de payer. CAUSE 2 Anne-Marie Guénette prétend qu’elle a acheté une maison avec des vices cachés. À la suite d’une infiltration d’eau, elle a découvert des champignons dans le mur de la cuisine. Elle dit que la moisissure et l’humidité ont affecté sa santé. Elle réclame au vendeur un montant de 7 000$. Paul Diotte soutient que la maison était en bon état lorsqu’il l’a vendue. Selon lui, madame Guénette n’a pas bien déneigé la toiture et c’est ce qui a causé les infiltrations d’eau. Il conteste l’évaluation des dommages.
CAUSE 1 Nathalie Bergeron prétend qu’elle a été congédiée illégalement après seulement neuf jours de travail. Elle réclame un dédommagement de 6 300$ à son ex-employeur. Murielle Bibeau dit que madame Bergeron a été impolie avec des clients et qu’elle a enfreint le code vestimentaire de l’entreprise. Comme il n’y avait aucun contrat écrit entre les parties, elle soutient qu’elle ne lui doit rien. CAUSE 2 Paule Grégoire et son conjoint ont acheté une maison en mai 2010, mais ils affirment qu’ils ont découvert par la suite que l’isolation du sous-sol était déficiente. Ils réclament 7 000$ pour ces vices cachés. Steve Mongeau prétend que les acheteurs n’ont pas fait inspecter la maison. Il ajoute que les vices dont ils se plaignent étaient apparents, et non cachés. Par conséquent, il refuse de les dédommager.
CAUSE 1 Johanne Delorme a acheté un chalet en juin 2010, mais elle affirme avoir eu une mauvaise surprise quand elle a voulu faire aménager une fosse septique : son terrain était un véritable dépotoir. Elle réclame 7 000$ au vendeur pour faire nettoyer son terrain. Carl Montminy dit qu’il a été propriétaire du chalet et du terrain pendant 11 ans et qu’il n’a jamais constaté de problème. Il soutient qu’il n’est pas responsable de ce qui peut être enfoui dans le terrain. CAUSE 2 Fernand Deschênes a engagé le défendeur pour déneiger son entrée, mais il prétend que le travail n’a pas été effectué. Il demande 204$ de dédommagement. Patrick Savage affirme qu’il a fait la majorité du travail. Il s’est absenté à deux reprises seulement et a offert un remboursement partiel au demandeur. Mais celui-ci a refusé son offre.
CAUSE 1 Françoise Germain a acheté un condo donnant accès à une piscine, pour des raisons de santé. Mais la piscine a été fermée pour rénovations et elle réclame un remboursement de 642,38 $ pour perte de jouissance. Gérard Proulx est l’administrateur du complexe de condos. Il prétend que madame Germain a retenu un montant de 50$ par mois sur ses frais de condo et qu’elle n’avait pas le droit de se faire justice elle-même. CAUSE 2 Michel Plumadore dit qu’il a engagé le défendeur pour effectuer des travaux de mécanique sur sa Chevrolet Blazer et qu’en guise de paiement, il lui a donné une Cadillac. Mais les travaux ont été mal faits et la Chevrolet a dû être remisée. Il réclame 7 000 $ de dédommagement. Éric Bonnette soutient qu’il a effectué les réparations demandées sur la Chevrolet Blazer du demandeur. Mais comme il s’agit d’un modèle 1997, il rejette toute responsabilité pour l’état actuel de la voiture.
CAUSE Lise-Marie Caron a confié son chihuahua Pedro à une entreprise de toilettage et gardiennage le temps d’un week-end à New York. Mais elle a dû rentrer d’urgence quand elle a appris que son chien était disparu. Comme il n’a jamais été retrouvé, elle réclame 7 000$ pour perte de jouissance et dommages moraux. Marie-Josée Barrest, la propriétaire de l’entreprise de gardiennage, prétend que le chien était agressif et qu’il a même mordu un de ses employés. Elle ajoute que tous les efforts ont été déployés pour retrouver Pedro et elle refuse de dédommager madame Caron.
CAUSE 1 Valérie Szczepco-Lavoie affirme qu’en décembre 2008, elle a voulu aider son frère Matthew à sortir de prison à la veille de Noël. Elle a déboursé 1 000$ pour payer une caution, plus quelques milliers de dollars en frais d’avocats. Comme son frère ne l’a jamais remboursé, elle lui réclame 7 000$. Matthew Szczepco-Lavoie admet qu’il a récupéré le montant de 1 000$ de la caution, mais il s’en est servi pour payer son avocat. Il affirme avoir remboursé une partie de la dette à sa sœur et que celle-ci doit assumer le reste des frais. CAUSE 2 Jean-Christophe Laflamme prétend qu’il a acheté un Honda Prélude 1993 et que cette voiture s’est avérée être un citron. Il réclame 5 145$. Michaël Nolet soutient que la voiture était en bon ordre lors de la vente et que l’acheteur a roulé plus de 3000 kilomètres avant de se plaindre d’une défectuosité. Il nie toute responsabilité.
CAUSE Caroline Gauthier prétend que sa mère a eu un accident avec une automobile qui n’était pas assurée. Mais le pire, c’est que sa mère avait enregistré cette auto au nom de Caroline sans l’avertir. En conséquence, Caroline est tenue responsable des dommages causés à l’autre partie, qui s’élèvent à 4 751,14$. Elle poursuit sa mère pour ce montant. Nathalie Beaulieu reconnaît que la voiture n’était pas assurée. Mais elle affirme, témoin à l’appui, que c’est bien sa fille Caroline qui a signé pour l’enregistrement de la voiture. Et que, par conséquent, c’est à sa fille de payer les dommages.
CAUSE 1 Michel Hébert prétend qu’il a investi dans la compagnie du défendeur pour devenir son associé. Mais la compagnie était mal administrée et les profits espérés ne se sont jamais matérialisés. Il réclame un dédommagement de 5 900$. Le défendeur Alain Plouffe affirme qu’il a eu des problèmes de santé, qui l’ont forcé à diminuer son rythme de travail. Il soutient qu’au fil des ans, Michel Hébert a récupéré une partie de son investissement à même la caisse de l’entreprise. CAUSE 2 Derek McGarragher a acheté un perroquet Gris d’Afrique dans une animalerie, mais dans les jours suivant l’achat, l’oiseau est tombé gravement malade et est décédé. Il réclame un remboursement, plus les frais de vétérinaire, pour un total de 3 000$. Michelle Hachey soutient que le perroquet était en excellente santé au moment de la vente. Elle nie toute responsabilité et offre à Derek un rabais de 50% sur l’achat d’un autre animal.
Le bateau pensionnaire : Cette semaine à l’Arbitre,une dame de Roxton Pond achète un bateau de son beau-frère lors d’une fête de famille bien arrosée. Mais voilà qu’après avoir versé 3000$ comptant, elle découvre que le bateau n’est pas en état de naviguer. Le Ciment : Cette semaine à l’Arbitre, une dame de Gatineau accuse un entrepreneur de ne pas avoir complété des travaux de rénovation dans son garage, en plus d’avoir causé des dommages à sa voiture. L’entrepreneur soutient que Madame a manqué de fonds pour le payer et nie toute responsabilité.
Les cousines : Cette semaine à l’Arbitre, une femme de Québec réclame 5 mois de loyer impayé à une de ses ancienne colocataires . La colocataire en question rétorque qu’elle a été victime d’intimidation et qu’elle a dû retourner vivre chez ses parents.
CAUSE 1 : La demanderesse poursuit son voisin parce qu’il a abattu un érable argenté qui était sur son terrain. Elle lui réclame des dommages de 7 000 $. Le voisin soutient que l’arbre présentait un danger pour sa sécurité et réclame à son tour des dommages à sa voisine puisque sa clôture a été endommagée. CAUSE 2 : Une Sherbrookoise demande à son ancien propriétaire de lui rembourser le dépôt versé pour un appartement qu’elle n’a jamais habité. Elle lui réclame également un montant pour des travaux de rénovation qu’elle a effectués, pour un total de 792,13 $. De son côté, le défendeur dit que les travaux étaient mineurs et refuse un quelconque remboursement. Il poursuit plutôt son ancienne locataire pour perte de loyer.
CAUSE 1 Un propriétaire réclame un montant de loyer impayé à son ancienne locataire, plus un montant de 50 $ par mois pour des effets personnels qu’elle a laissés dans un garage, pour un total de 986,48 $. La défenderesse prétend qu’elle avait obtenu la permission de laisser ses biens dans le garage et elle accuse le demandeur d’avoir voulu manigancer avec elle pour arnaquer l’Arbitre. CAUSE 2 Un homme d’Alma soutient que le mauvais entretien d’un mur de soutènement appartenant à son voisin arrière aurait entraîné l’affaissement de son terrain. C’est pourquoi il réclame des dommages de 5 454,63 $ à ce dernier. Le voisin en question affirme que le mur n’est pas sur son terrain et qu’il n’a donc pas à faire ces réparations.
CAUSE 1 : Un résident de Longueuil affirme être victime de harcèlement de la part d’un voisin qui lui reproche constamment de faire trop de bruit en ronflant. Le voisin serait même allé jusqu’aux menaces. Il poursuit le propriétaire du voisin harcelant pour un montant de 5 695,90 $. Le propriétaire du voisin ne comprend pas pourquoi il devrait régler cette chicane entre son locataire et le ronfleur. CAUSE 2 : Cette semaine à l’Arbitre, deux jeunes de 18 ans sont engagés par le beau-père de l’un d’eux. Malheureusement, ils sont congédiés sans pré-avis à la suite d’un différend avec leur employeur. Ils réclament 4 000$ pour perte de salaire. Leur patron soutient les avoir congédiés parce qu’ils ont fait preuve de négligence et d’immaturité.
CAUSE 1 : Une dame de Mont-Tremblant quitte précipitamment son logement. Elle affirme que son propriétaire a encaissé illégalement un chèque de loyer et lui réclame un remboursement de 1 000 $. L’ancien propriétaire prétend qu’il avait le droit d’encaisser les chèques de loyer jusqu’à ce qu’il trouve un nouveau locataire. Il lui réclame un dédommagement de 1 174,31 $. CAUSE 2 : Un résident de Saint-Jérôme accuse une ancienne flamme de l’avoir arnaqué lors de l’achat d’un motorisé. Il lui réclame un montant de 3 500 $. La défenderesse a quitté le demandeur et prétend que c’est elle qui perdu de l’argent dans la transaction et le poursuit pour un montant de 4 510,06 $.
CAUSE 1 : Un camionneur de Sainte-Sophie réclame des frais de vétérinaire parce que le pitbull d’une voisine a attaqué son chien et celui de sa mère. En son nom, il réclame 1 597,45 $ en soins et dommages moraux. La propriétaire de la chienne ne se sent pas entièrement responsable du comportement de son chien. Elle soutient que sa voisine exagère et qu’elle a dû elle-même assumer près de trois cents dollars en frais légaux inutiles. CAUSE 2 : Un homme de Repentigny réclame 4 905,98 $ à ses anciens locataires pour avoir laissé le terrain de sa propriété dans un état lamentable. Les défendeurs refusent de payer les dommages réclamés, car ils prétendent que le terrain était déjà en piètre état quand ils ont emménagé.
CAUSE 1 - Radio country : Une gestionnaire d’immeubles commerciaux de Saint-Joseph-du-Lac réclame 3 600,00$ de loyers impayés à un ex-locataire, qu’elle considère colérique et irresponsable. L’animateur de radio country et administrateur de ligne de voyance a quitté le local sans dédommager la propriétaire, prétextant qu’il s’était fait fraudé pour plusieurs milliers de dollars. CAUSE 2 - Médiation : Un homme de Laval poursuit son ex-conjointe pour des frais de loyer impayés et la vente de ses électroménagers totalisant 3 250,00$. La défenderesse nie s’être entendue verbalement avec lui et réclame à son tour des frais pour son travail en comptabilité, l’entretien de la maison et pour l’utilisation de sa voiture. Elle soutient également que son ex-conjoint était d’humeur instable et qu’elle a dû quitter précipitamment car elle avait peur de lui.
Une femme de Saint-Jean-de-Matha accuse sa belle-sœur d’avoir dilapidé l’héritage de sa fille aujourd’hui âgée de 14 ans. Elle la poursuit pour un montant de 7 000 $. La défenderesse, qui avait la responsabilité de gérer l’argent, invoque des problèmes de santé mentale pour expliquer sa mauvaise gestion. Elle accuse la demanderesse d’avoir envoyé des fiers-à-bras pour l’intimider.
CAUSE 1 : Une résidente de Saint-Charles-de-Drummond a endossé son ex-conjoint pour un prêt de 2 000,00 $ pour l’achat d’un camion. Au terme d’une relation houleuse, ponctuée de plusieurs interventions policières, le couple s’est séparé et le défendeur a cessé de rembourser son prêt. Son ex lui réclame un montant total de 3 146,78 $. Le défendeur affirme qu’il ne lui doit plus rien, car elle lui aurait volé ses meubles. CAUSE 2 : Une résidente de Laval reproche à des éleveurs de chiens de Rimouski, de qui elle avait acheté sa chienne Gypsie, de l’avoir récupérée sans son consentement. Elle réclame la somme de 1 800,00 $. La défenderesse réclame pour sa part 6 500,00 $ en dommages moraux, notamment pour atteinte à la réputation, stress et inconvénients, de même que pour les frais de déplacement.
CAUSE 1 : Un homme de Terrebonne accuse un mécanicien, à qui il avait confié son véhicule pour des réparations, de lui avoir volé des pièces d’auto. Quand il a voulu récupérer son auto, après plusieurs mois, le garage avait été vendu et le véhicule était dans un piteux état. Il réclame 7 000,00 $. Le garagiste nie toute responsabilité, prétextant qu’il a eu beaucoup de difficultés à rejoindre le demandeur, qui est en plus une personne très agressive. CAUSE 2 : Une mère de famille de Noyan reproche à une propriétaire de garderie en milieu familial d’avoir donné les places de ses deux jeunes enfants à une autre cliente. Privée de gardienne, elle a dû renoncer à un emploi et réclame 5 800,00 $ de dédommagement pour perte de salaire. La propriétaire de la garderie réplique que la demanderesse n’a pas respecté sa promesse de ramener ses enfants au bout d’un mois et qu’elle a été forcée de combler les places. Elle demande à son tour 2 263,00 $ pour bris de contrat.
Cheval à l’encan : Un homme de Lavaltrie réclame 7 000,00$ à son ancien propriétaire, chez qui il avait laissé son cheval en pension. Il accuse l’expropriétaire d’avoir vendu le cheval à l’encan sans l’avertir. Le défendeur soutient que son locataire est un mauvais payeur et qu’il a même été évincé par la Régie du logement. Il a dû se débarrasser du cheval, car il était sans nouvelles de son ex-locataire depuis plusieurs semaines. Remorquage : Un entrepreneur en construction accuse la compagnie Remorquage québécois à vos frais Inc. d’avoir lourdement endommagé son camion lors d’un remorquage pour stationnement interdit. Il soutient que son camion a subi pour 5 756,47 $ de dommages. La représentante de la compagnie lavalloise rejette toute responsabilité pour les problèmes mécaniques survenus sur le véhicule, affirmant que le remorquage a été effectué dans les règles de l’art.
Une dame de Rosemère réclame le remboursement des 1 200,00$ restant d’un montant de 3 000,00$ qu’elle a prêté à son ex-amoureux pour l’aider à payer ses dettes. L’homme de Sainte-Adèle, rencontré sur Internet et qu’elle considère comme un beau parleur, refuse de lui remettre l’argent prétextant qu’il a fait de la prison suite à une chicane de couple qui a nécessité l’intervention des policiers.
Pitous pis tout : Une résidente de Montréal-Nord, qui opère une compagnie de promenade et de gardiennage de chiens, réclame 7 000,00 $ en frais médicaux et perte de salaire suite à une morsure par le chien de la défenderesse. Celle-ci accuse la demanderesse d’avoir provoqué son chien en le corrigeant sans avertir et qu’elle est responsable de son propre malheur. La défenderesse réclame 652.00$ pour perte de jouissance, car elle n’ose plus s’aventurer dans un parc avec son chien depuis cette mésaventure. La roulotte maudite : Un montréalais réclame le solde dû de 4 000,00 $ aux acheteurs de sa roulotte. Ceux-ci refusent de payer la totalité du montant de la transaction, prétextant que le prix de vente était beaucoup trop élevé, qu’ils ont été incapables de l’assurer et qu’en plus, certains appareils ménagers se sont brisés peu de temps après l’achat de la roulotte.
Gazon dangereux : Une femme de Sainte-Julie réclame un dédommagement de 2 000,00 $ pour le non-respect d’un contrat de coupe de gazon, qui lui aurait occasionné du stress et des problèmes de santé, de même qu’à ses enfants. Le défendeur nie toute responsabilité et soutient qu’il a tondu le gazon à une fréquence raisonnable. Il considère que la demanderesse tente de faire de l’argent sur son dos et lui réclame 2 000,00 $ pour atteinte à sa réputation. Relation éphémère : Une jeune femme de Lachine demande 7 000,00 $ pour des meubles, électroménagers et autres articles de maison qu’elle a achetés durant sa cohabitation avec le défendeur. Ce dernier, avec qui la demanderesse n’a vécu que deux mois, affirme avoir signé une entente prévoyant le paiement complet par chèques postdatés et ne comprend pas pourquoi son ex-conjointe ne veut plus respecter cette entente.
Maison trouée : Un résident de Saint-Paul-de-Joliette réclame la somme de 2 212,07 $ pour des bris à l’intérieur de sa maison causés par un homme qui désirait l’acheter. Le défendeur soutient quant à lui qu’il a fait des trous dans les murs car il soupçonnait la présence de moisissure. Défoulement : Un jeune étudiant de Longueuil réclame 978.05$ pour la réparation de sa porte de voiture. Il est convaincu qu’elle a été endommagée par le défendeur après une soirée bien arrosée. Celui-ci était ivre et se serait défoulé sur le véhicule suite à une rupture amoureuse. Le défendeur conteste cette accusation et affirme être rentré directement chez lui avec sa sœur. Il réclame 500,00 $ pour atteinte à sa réputation.
Carte conjointe : Une jeune mère de Terrebonne réclame le solde dû de 3 300,86 $ sur une carte de crédit qu’elle a prise à son nom et au nom de la défenderesse, et qui devait servir à la défenderesse en cas d’urgence uniquement. Cette dernière affirme plutôt avoir fait les paiements minimums mensuels et que c’est son ex-conjoint qui est responsable des achats superflus portés au compte. Album métal : Un guitariste de Les Cèdres réclame le remboursement complet d’un contrat de production d’album, plus des frais, totalisant 3 000,00 $. L’album du groupe n’a pas été complètement réalisé près de deux ans après la signature de l’entente. Le défendeur réclame à son tour 1 500,00 $ pour des heures de travail perdues à cause du manque de professionnalisme du groupe.
Un jeune homme au lourd passé judiciaire accuse son oncle de l’avoir privé d’un héritage de 30 000 $. Mais l’oncle affirme qu’il a lui-même été floué par sa propre mère, aujourd’hui décédée, et qu’il reste plus rien dans la succession pour payer l’héritage de son neveu.
Auto fourrière : Une jeune femme de Sainte-Anne-des-Plaines a versé un dépôt de 500 $ à une amie pour l’achat d’une automobile. Mais quand elle a décidé d’annuler la transaction, la vendeuse lui a remis seulement 300 $. Elle la poursuit pour le remboursement du solde de 200 $. Vengeance : Une résidente de Jonquière réclame la somme de 2 668,00$ qu’elle a prêtée à son ex-conjoint afin de lui éviter la prison. L’homme au lourd passé criminel considère qu’il ne doit rien à son ex-conjointe et refuse de rembourser sous prétexte qu’il a payé différentes dépenses lorsqu’ils vivaient en couple.
Le pavé uni : Un résident de Le Gardeur réclame 2 488,89$ à un entrepreneur en déneigement parce qu’il aurait abîmé le pavé uni de son entrée de garage. L’entrepreneur refuse de payer, prétextant que le demandeur n’était pas son client cet hiver-là. Le défendeur reproche au demandeur d’avoir sali sa réputation dans le voisinage et le poursuit pour la somme de 650,00$. Le beau-frère : Un résident de Gatineau réclame 5 145,00$ à son beau-frère en frais de loyer impayé et de nourriture associés à leur colocation qui a duré près d’un an. Le demandeur a également payé pour toutes sortes de dépenses personnelles du défendeur. Ce dernier se dit lourdement endetté et incapable de rembourser les dépenses, ce qui nuit aux relations familiales.
Une jeune Sherbrookoise accuse son ancienne amie et ex-colocataire de lui avoir volé des meubles reçus en héritage de son père. Elle la poursuit également pour des loyers impayés totalisant la somme de 2 750,00$. La défenderesse affirme plutôt qu’elle a tout fait pour aider la demanderesse dans ses moments difficiles et que c’est elle qui lui doit une somme considérable en loyers et comptes impayés. Elle réfute catégoriquement les accusations de vol et poursuit la demanderesse pour 5 369, 26$.
Les champignons : Une jeune femme de Beauport réclame 3 000,00$ à son ex-propriétaire à cause d’un problème de moisissure dans son logement, qui aurait endommagé ses meubles et lui aurait occasionné des problèmes de santé. Ce dernier nie toute responsabilité et accuse plutôt la demanderesse et sa colocataire d’avoir elles-mêmes causé des problèmes d’humidité dans le logement, notamment en laissant le tuyau de la sécheuse obstrué. Il leur réclame le prix des réparations au logement, des loyers impayés, de même qu’un montant pour dommages et intérêts, pour un total de 5 540,00$. Moteur à l’eau : Un homme de Lachute réclame 4 500,00 $ pour remplacer le moteur défectueux du bateau que le défendeur lui a vendu et qui est tombé en panne dès sa première sortie. Il soutient que le défendeur l’a mal hivernisé, ce qui a causé des bris importants. Il réclame également un dédommagement de 500,00 $ pour les vacances qu’il a dû annuler. Le défendeur refuse de payer la réclamation, car il soutient que le demandeur a utilisé le bateau à plus d’une reprise avant de le contacter et a qu’il a effectué des réparations sans l’avertir. Il affirme que son bateau était en très bon état lors de la vente et que le demandeur aurait dû faire une inspection mécanique s’il voulait s’en assurer.
Foire aux malheurs : Une jeune mère de Laval réclame 7000,00$ en frais de rénovation, frais d’intérêts et en paiement de taxes municipales d’une maison qu’elle a louée avec option d’achat. Elle estime avoir tout perdu car le défendeur, son ex beau-père, n’a jamais entrepris les démarches pour finaliser la transaction devant notaire. L’homme de St-Calixte nie toute responsabilité et soutient que c’est plutôt le conjoint de la demanderesse qui a fait avorter la transaction et qu’il lui a déjà remboursé les 3 000,00$ de dépôt. Terrain glaiseux : Un Montréalais réclame un dédommagement de 2 850,00$ pour des travaux de construction d’un balcon de ciment qui ont été mal effectués et non complétés par le défendeur. Le demandeur affirme que le défendeur a été incapable de respecter les plans et de tenir compte des particularités de son terrain glaiseux. L’entrepreneur de Terrebonne rétorque que les plans fournis par le demandeur n’étaient pas conformes et qu’il a dû suspendre les travaux pour des raisons de sécurité.
Un homme de Saint-Hubert accuse son ami d’avoir ramenée sa voiture sans son autorisation, sans permis de conduire valide et de l’avoir endommagée, après qu’il ait été emprisonné par la police, un soir de Saint-Jean bien arrosé. Il le poursuit pour la somme de 3 122,24$. Le défendeur soutient qu’il a pris l’auto à la demande des amis du demandeur qui désiraient revenir chez eux sans l’attendre, le laissant ainsi seul et sans moyen de transport.
La porte fantôme : Une résidente de Saint-Constant réclame 2 324,82 $ à un serrurier qu’elle avait embauché pour remplacer sa porte d’entrée endommagée lors d’un cambriolage. La porte n’était toujours pas installée plus d’un an après l’événement. Le défendeur affirme qu’il a bien acheté la porte en question, mais qu’il n’a pu l’installer à cause du manque de disponibilité de la demanderesse. Le Mauvais calcul : Une résidente de Saint-Lin-des-Laurentides réclame 2 710,00$ pour le solde impayé d’un prêt de 3 000,00 $ qu’elle a consenti à un ami de son mari pour l’achat d’une automobile. Le défendeur rétorque que la demanderesse lui devait déjà de l’argent à la suite d’une première transaction entre les deux. L’absence de contrat de vente et de toute autre pièce justificative complique considérablement l’affaire.
Une éleveuse de veaux de Stanstead dit qu’elle a loué le taureau d’un éleveur de bovins de Québec pour s’accoupler avec ses vaches. Mais au bout de quelques mois, aucune des vaches n’était en gestation et elle a dû défrayer les coûts de l’insémination artificielle. Elle prétend également avoir perdu l’argent liée à la vente des veaux et poursuit le défendeur pour 7 000 $. Le défendeur soutient que son taureau a souffert d’une hernie et que la défenderesse a fait preuve de négligence en ne rapportant pas le problème dès qu’il s’est manifesté. Il a lui-même encaissé une perte financière, car il a dû faire abattre un animal qui était autrement en pleine santé.
Attaque de Labrador Une dame de Brossard réclame 4 500,00 $ en frais vétérinaires, salaire perdu et autres dommages moraux, parce qu’elle et son chien ont été blessés sérieusement par le chien de sa voisine. Quant à elle, la défenderesse soutient avoir été victime de propos diffamatoires suite à la publication d’un article relatant l’événement dans le journal local. Maison perdue Une jeune femme de Mont-Tremblant réclame le remboursement des 3 600 $ qu’elle a versés à son ex-propriétaire comme dépôt afin d’acquérir sa maison. Mais la demanderesse et son conjoint n’ont pas réussi à obtenir le financement pour finaliser la transaction. Le défendeur et résident de Lac Supérieur prétend qu’il a tout fait pour accommoder le couple, mais il refuse de rembourser prétextant qu’il a perdu beaucoup d’argent suite à la décision du couple de ne plus acheter sa résidence.
L’ami de la famille : Un résident de Mont-Tremblant dit qu’il a vendu une automobile à son bon ami et qu’il lui a ensuite prêté de l’argent pour l’aider à se sortir d’une situation précaire. Mais le défendeur n’a pas payé la voiture et a remboursé seulement une partie de sa dette. Le demandeur réclame le solde, qu’il évalue à 4 265 $. Le défendeur conteste ce montant et rétorque qu’il a remboursé une bonne partie de sa dette. L’homme de Vaudreuil-Dorion soutient par ailleurs que l’automobile du demandeur était un citron qui a nécessité des milliers de dollars de réparations. Le Dépôt perdu : Un homme de Magog dit qu’il a versé un dépôt pour l’achat d’une camionnette. Mais comme il n’a pas obtenu son financement à la banque, la transaction a été annulée. Il réclame le remboursement de son dépôt de 500 $. Le défendeur prétend que l’annulation de la transaction lui a fait subir une perte de 1 400 $. Le vendeur de la voiture se considère donc en droit de garder le dépôt et réclame en plus la différence de 900$.
Un jeune homme de Chicoutimi dit qu’il a prêté sa Volkswagen Jetta au défendeur, mais il ignorait que ce dernier n’avait pas de permis de conduire. Le défendeur a fait une sortie de route et s’en est miraculeusement sorti indemne, mais la Jetta est une perte totale. Il lui réclame des dommages de 7 000 $. Le défendeur prétend qu’il a voulu rendre service au demandeur en acceptant de ramener sa voiture chez lui. Il trouve que c’est un accident regrettable, mais il estime que le demandeur n’aurait pas dû lui laisser son véhicule s’il n’était pas prêt à en assumer les conséquences. Il refuse catégoriquement de payer.
Fausse déclaration : Une femme de Québec dit qu’elle a été forcée de rembourser au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale les prestations d’aide sociale que son ex-conjoint avait touchées illégalement. Elle le poursuit pour 4 875,45 $. L’homme d’Edmonton reconnaît qu’il en a fait voir de toutes les couleurs à son ex-conjointe tout au long de leur relation, mais comme c’est la défenderesse qui a reçu l’avis de paiement du gouvernement, c’est à elle de rembourser le montant réclamé. La Tercel : Un jeune homme de Saint-Basile dit qu’il a acheté une voiture usagée de la défenderesse et que le moteur a flanché après seulement 126 kilomètres d’utilisation. Il poursuit la vendeuse pour le montant estimé des réparations, soit 1 000 $. La défenderesse soutient pour sa part que la voiture était en bon état au moment de la vente et que le demandeur était au courant des réparations à faire. Comme il n’a pas demandé à faire inspecter la voiture par un mécanicien, elle refuse de payer le montant réclamé.
Une dame de Terrebonne affirme qu’elle a confié toutes ses possessions à son voisin le temps qu’elle suive une thérapie fermée pour ses problèmes de consommation de cocaïne. Mais quand elle a voulu récupérer les boîtes qui contenaient des objets d’une grande valeur sentimentale, le défendeur lui a dit qu’il les avait jetées. Elle le poursuit pour 7 000 $. Le défendeur et résident de Sainte-Sophie a bien entreposé les biens de la demanderesse pendant un certain temps, mais comme il était sans nouvelles d’elle, il a dû se débarrasser de toutes ces boîtes encombrantes. Il considère qu’il n’a rien à se reprocher dans cette affaire.
Une femme de Verdun affirme que son ex-conjoint a assumé la garde de leurs quatre enfants en 2011 et 2012 pendant qu’elle se remettait d’une maladie et que pendant cette période, elle a continué de percevoir les allocations familiales et les remettait au défendeur. Toutefois, ce dernier aurait dénoncé la situation et le gouvernement exige maintenant que la demanderesse rembourse ces allocations. Elle poursuit son ex-conjoint pour 7 000 $. Le défendeur dit plutôt que les montants versés par son ex-conjointe concernaient une dette qu’elle avait envers lui et que parce qu’il a assumé tous les frais relatifs aux études des enfants, il a le droit de conserver les arrérage qu’il a reçus du gouvernement.
Une femme de Saint-Hubert et son conjoint ont loué un logement, mais les relations avec le propriétaire se sont tellement détériorées qu’elle considère avoir été victime de harcèlement. Elle le poursuit pour 7 000 $. Le défendeur affirme plutôt que la défenderesse et son conjoint étaient des locataires «bougons», qui lui ont fait vivre l’enfer. Il prétend même avoir été victime de menaces de mort. Il réclame à son tour 7 000 $ en compensation pour cette mauvaise expérience.
Une résidente de Montréal dit qu’elle a acheté une voiture du défendeur pour un montant de 1 850$, mais qu’elle a constaté ensuite que la ligne de freins était défectueuse, ce qui aurait pu avoir des conséquences désastreuses. Elle lui réclame le remboursement du véhicule, plus des dommages, pour un total de 2 350 $. Le défendeur prétend qu’il a fait inspecter le véhicule avant la vente et qu’il était en parfaite condition. Il ne comprend pas l’attitude de la demanderesse et refuse de payer le montant demandé. Un homme de Terrebonne affirme avoir loué un bungalow au défendeur et à sa conjointe pendant deux ans. Mais lorsqu’ils ont quitté les lieux, la maison et le terrain était dans un tel état d’insalubrité qu’il a dû effectuer des travaux majeurs pour tout remettre en ordre. Il poursuit son ex-locataire pour 7 000 $. Le défendeur rétorque que la maison qu’il a louée n’avait pas été bien entretenue dans le passé. Il ajoute qu’il s’était entendu avec son ex-propriétaire pour assumer une partie des réparations, mais qu’il n’a jamais reçu de facture à cet effet. Il conteste la réclamation.
Un homme de Saint-Jean-sur-Richelieu dit qu’il a confié une auto téléguidée à un ami pour en peinturer la carrosserie au airbrush. Mais son ami a utilisé l’auto sur une rue passante et celle-ci aurait été pulvérisée sous les roues d’un camion-remorque. Il réclame des dommages de 2 500 $. Le défendeur reconnaît qu’il a «essayé» l’auto téléguidée de son copain. Mais la télécommande a cessé de fonctionner au moment où l’auto était au milieu de la route. Il impute l’accident à une défectuosité mécanique et décline toute responsabilité. Une jeune femme de Venise-en-Québec prétend avoir été victime d’un vol d’électricité dans un logement qu’elle louait du défendeur. Elle soupçonne un ex-voisin d’être l’auteur de ce vol et reproche à son ex-propriétaire de ne pas avoir pris les mesures pour corriger la situation. Elle le poursuit pour un montant de 2 500 $. Le défendeur reconnaît que la facture d’électricité de la demanderesse a presque doublé en un an et il partage ses soupçons au sujet d’un certain locataire. Mais il ne se considère pas responsable des agissements de ce dernier et refuse de payer la réclamation.
Une femme de Terrebonne affirme avoir loué sa maison à la défenderesse et la tient responsable de nombreux dommages causés à la propriété, dont le bris de deux vitres décoratives. Elle la poursuit pour 7 000 $. La défenderesse rétorque que son fils de 4 ans a été gravement blessé à la suite de l’éclatement d’une des vitres décoratives et qu’il a dû être transporté d’urgence à l’hôpital. Elle tient la demanderesse responsable des blessures subies par son fils et elle l’accuse de harcèlement. Elle la poursuit pour 7 000 $.
Une Lavalloise affirme qu’après avoir pris possession de la maison du défendeur, elle a découvert que le foyer n’était pas conforme aux normes de la municipalité. Elle réclame des dommages de 3 000 $. Le défendeur dit qu’il a fait inspecter le foyer par un pompier de la municipalité avant la vente de la maison et que ce dernier a certifié la conformité du foyer. Il rejette donc toute responsabilité. Une résidente de Saint-Ephrem-de-Beauce poursuit son ex-locataire pour un mois de loyer impayé et pour des dommages causés au logement par un chien qu’elle gardait sans autorisation. Sa réclamation totale s’élève à 2 146 $. La défenderesse accuse son ex-propriétaire de négligence quant à l’entretien du logement. Elle ajoute qu’elle a payé de sa poche pour faire des améliorations dans le logement. Par conséquent, elle ne doit plus rien à la demanderesse.
Un résident de Tracy prétend que le défendeur, qui est son cousin, a servi d’intermédiaire dans l’achat d’une voiture qui s’est avérée être une minoune. Il le poursuit pour 2 500 $. Le défendeur prétend qu’il a agi de bonne foi en recommandant le véhicule à son cousin et qu’il n’est pas responsable des vices cachés découverts par la suite. Il reproche au demandeur d’avoir foutu le bordel dans la famille avec cette histoire et de lui avoir fait une mauvaise réputation. Une femme de Brossard prétend qu’elle a hébergé le défendeur pendant presque deux ans et qu’elle l’a fait vivre pendant tout ce temps. Il n’a jamais respecté son engagement de rembourser sa part des dépenses du ménage. Elle le poursuit pour 5 505 $. Le défendeur soutient qu’il a contribué à sa façon aux besoins du couple, notamment en faisant différents travaux de rénovation. Il estime qu’il a remboursé une bonne partie de sa dette et trouve que la réclamation de la demanderesse est exagérée.
Une résidente de Vaudreuil-Dorion prétend qu’elle a été expulsée, illégalement et sans préavis, de la maison qu’elle louait du défendeur. Ce dernier aurait tenté de faire croire aux policiers qu’elle squattait sa maison. Elle le poursuit pour un montant de 2 500 $. Le défendeur soutient que le chien de la demanderesse a indisposé les voisins, qui s’en sont plaint. Il affirme également que la demanderesse a causé des dommages importants dans la maison, qui l’ont forcé à la revendre à perte. Il réclame des dommages de 7 000 $.
Une femme de Saguenay poursuit sa sœur pour qu’elle paye sa part des frais funéraires liés au décès de leur mère. Mais les deux femmes ont des squelettes plein leur placard et cette histoire d’enterrement va servir de prétexte pour déterrer de vieilles rancunes. Cookie, un petit terrier blanc, a failli être littéralement dévoré par un gros chien noir. Sa propriétaire réclame 3 325 $ de dommages à un voisin, qu’elle croit être le propriétaire du chien agresseur. Un homme de Drummondville a procédé à un échange de bateaux avec un résident de la Côte-Nord. Mais au retour d’un voyage de 500 kilomètres, il a constaté que le bateau et la remorque étaient défectueux. Il réclame un dédommagement de 7 000 $.
À la suite de la rupture du couple formé par leurs deux ados, un couple de la Montérégie a vécu une séparation houleuse et la police a dû intervenir. L’Arbitre veut savoir si un des deux ex-conjoints a des antécédents de violence. Un propriétaire de la région de Québec réclame 4 800 $ à une ex-locataire pour des mois de loyer impayés et des dommages au logement. La locataire, qui est mère monoparentale, prétend qu’elle a été expulsée sauvagement et poursuit son ex-propriétaire pour 2 500 $. Un homme de Parisville a acheté un vieux poulailler pour le démolir et en récupérer les matériaux. Mais il prétend que la propriétaire lui a ensuite interdit l’accès aux lieux. Il la poursuit pour 4 105 $.
Cause 1 – Le cadeau empoisonné : Une femme au lourd passé judiciaire a prêté sa carte de crédit à son ex-belle-mère pendant qu’elle séjournait en prison. Elle prétend que l’ex-belle-mère a utilisé la carte de crédit sans son autorisation et elle la poursuit pour un montant de 5 000 $. Cause 2 – L’ouvrier entreprenant : Un entrepreneur réclame 7 000 $ à un client pour des travaux de rénovation effectués dans une maison ancestrale au Mont-Saint-Hilaire. Mais il semble que le lien de confiance entre les deux hommes a été rompu quand l’ouvrier de l’entrepreneur est parti avec la conjointe du client. Cause 3 – Le groupe rock : Le chanteur d’un groupe rock réclame 3 000 $ à un ex-membre de la formation pour des dépenses liées aux activités du groupe.
Cause 1 – Le remboursement posthume Un jeune homme prétend qu’il aurait dû hériter de la voiture de son défunt père. Mais connaissant les problèmes de consommation de drogue de son fils, le père a demandé à un ami de vendre l’auto et de remettre l’argent à son fils au compte-goutte. Cause 2 – Chambre avec vue Un home de la région de Saint-Jérôme loue des appartements pour les transformer en pensions pour chambreurs. Mais lorsqu’il est poursuivi par une de ses ex-locataires, il est soudainement pris d’un délire religieux. Cause 3 – Le dentier de la discorde Une belle-mère généreuse a voulu aider son gendre en lui prêtant de l’argent pour des soins dentaires urgents. Mais le gendre a fait faillite et il est ensuite devenu son ex-gendre. Elle le poursuit pour 3 460 $.
Cause 1 : La Cobalt Une jeune femme prétend que son ex-conjoint a démoli pas moins de six véhicules qu’elle avait achetés pour lui. Elle le poursuit pour les dommages causés au septième véhicule, qu’il conduisait sans permis. Cause 2 : La voiturette à tout prix Un homme a gagné un prix qui consistait en une restauration de 3 500 $ sur une voiturette de golf. Mais il accuse l’entrepreneur qui offrait ce prix de n’avoir jamais respecté son engagement. Cause 3 : Achète-moi un char La brève cohabitation entre deux jeunes mères célibataires de Québec a été marquée par la jalousie, l’intimidation et une intervention policière. Elles se poursuivent mutuellement pour plusieurs milliers de dollars.
Cause 1 – Maman j’ai fullé ta carte Un homme poursuit son frère pour avoir atteint la limite sur la carte de crédit de leur mère. Le frère se défend en disant qu’il a toujours effectué les paiements mensuels sur la carte et accuse sa mère d’avoir fermé le compte sans l’avertir. Cause 2 – La barmaid Une jeune barmaid de Trois-Rivières, chansonnière à ses heures, accuse son ex-employeur de l’avoir congédié illégalement parce qu’elle se produisait en spectacle dans un autre établissement. Ce dernier prétend pour sa part qu’elle lui faisait une compétition déloyale. Cause 3 – Le condo négligé Une femme qui avait acheté un condo accuse le vendeur de le lui avoir laissé dans un état lamentable. Elle l’accuse en outre d’avoir camouflé un dégât d’eau.
Cause 1 – Les Charest Une femme accuse son frère de s’être approprié une bague familiale que sa mère lui avait léguée par testament. Le frère affirme qu’il a respecté les volontés de la défunte et que cette dernière lui a légué la bague quelques jours avant son décès. Cause 2 – La Civic de ma cousine Un homme accuse sa cousine de lui avoir vendu une Honda Civic dont le moteur était fini. La cousine prétend qu’elle a tout fait pour accommoder le demandeur et que rien de cela ne serait arrivé s’il avait pris la peine de faire inspecter le véhicule. Cause 3 – Le camp de chasse Un retraité a acheté un camp de chasse à l’orignal avec son ex-gendre et quatre autres partenaires. Mais son état de santé ne lui permet plus de pratiquer ce sport et il souhaite se faire rembourser sa part du camp. L’ex-gendre prétend pour sa part que le demandeur était un piètre chasseur qui faisait fuir les orignaux.
Cause 1 – Catastrophe sous le tempo Une jeune pompière du Lac-Saint-Jean a dû subir une amputation à un doigt à la suite d’un accident survenu alors qu’elle montait un abri tempo avec son ex-beau-père. Elle accuse ce dernier d’avoir fait fi des règles élémentaires de sécurité et elle le tient responsable de l’accident. Cause 2 – Les dents en cadeau Deux ex-conjoints se poursuivent mutuellement à la suite d’une séparation qui a mal tourné. Madame réclame le solde d’un prêt qu’elle lui a consenti, tandis que monsieur veut se faire rembourser des frais dentaires qu’il a assumés pour elle. Cause 3 – Le seadoo coule Un jeune couple de la Montérégie accuse un homme de leur avoir vendu une motomarine avec des vices cachés. Le vendeur prétend qu’ils étaient si pressés d’en prendre possession qu’ils ont refusé son offre de la faire inspecter au préalable.
Cause 1 – La nièce déchue Une femme prétend qu’elle a appris après le décès de sa mère qu’elle avait été partiellement déshéritée. Elle poursuit sa sœur, qui était l’exécutrice testamentaire, pour un montant de 7 000 $. Cause 2 – Le PT Cruiser Un véhicule de modèle PT Cruiser se retrouve au cœur d’un conflit entre la vendeuse et l’acheteuse. Et comme c’est souvent le cas dans ce genre de litige, le véhicule n’avait pas fait l’objet d’une inspection. Cause 3 – Les chiens abandonnés Un résident de la couronne nord de Montréal a confié ses deux gros chiens à la propriétaire d’un chenil. Mais des problèmes de santé l’ont empêché de récupérer les chien et la dame a dû les garder pendant près d’un an avant de pouvoir les placer. Elle le poursuit pour les frais occasionnés par la garde des chiens.
Cause 1 – Le cellulaire en souffrance Un bon Samaritain a voulu rendre service à une jeune mère monoparentale en l’hébergeant chez lui avec son jeune enfant. Il l’a aussi endossée pour l’achat d’un téléphone portable, mais elle n’a pas payé la facture de 800 $ et ce, même s’il semble qu’elle a reçu un héritage de ses parents. Cause 2 – Le sofa à la rue Une femme de la région de Québec réclame à son ex-conjoint le remboursement de montants d’argent qu’elle lui a prêtés, notamment pour un traitement anti-tabac qui a échoué et pour le remplacement d’un vieux sofa qu’il a mis à la rue. Cause 3 – La cheminée fume L’achat d’une maison par un jeune couple de Montmagny aurait pu virer à la tragédie quand il s’est avéré que la cheminée était défectueuse.
Cause 1 – La promesse électorale Guy Landry, chef du Nouveau parti des Lavallois et candidat défait à l’élection municipale de 2013, est poursuivi par son imprimeur pour des affiches publicitaires non payées. Cause 2 – Le taxi ou le voyage Deux frères âgés dans la vingtaine accusent un chauffeur de taxi de leur avoir fait rater l’avion qui devait les amener en vacances à Cuba. Cause 3 – La Mustang L’achat impulsif d’une Mustang décapotable 1996 a tourné au cauchemar quand la nouvelle propriétaire a réalisé que le véhicule était bon pour la ferraille.
Cause 1 – L’héritière abandonnée Une jeune femme réclame de son père l’héritage qu’elle prétend avoir reçu de sa grand-mère. Mais le père soutient qu’il ne restait plus rien une fois les frais funéraires acquittés. Cause 2 – L’abattoir Le propriétaire d’un abattoir de poulets mobile réclame le remboursement d’un prêt qu’il a consenti à un ex-employé. Mais ce dernier affirme que son ex-patron lui doit plusieurs semaines de salaire. Cause 3 – Le tournoi de hockey Le gérant d’une équipe de hockey mineur veut se faire rembourser un montant de 600 $ qu’il a versé pour s’inscrire à un tournoi régional.
Cause 1 – Dette et ivressomètre Une dispute de couple prend une tournure inattendue quand l’homme accuse son ex-conjointe de lui avoir causé des problèmes avec la justice en soufflant à sa place dans l’ivressomètre de sa voiture. Cause 2 – Le faux pitbull L’Arbitre est appelée à décider du sort d’un chien qui a attaqué sauvagement la petite chienne d’une voisine et qui lui a arraché un oeil. Devra-t-elle se résoudre à le faire euthanasier ? Cause 3 – Les outils Deux hommes, qui avaient décidé d’opérer conjointement un garage, s’accusent mutuellement d’avoir volé leurs outils.
Cause 1 – L’ultimatum Un homme refuse de rembourser une somme de 4 375 $ due à son ex-conjointe, alléguant qu’il a signé une reconnaissance de dettes sous la menace d’un ultimatum. Cause 2 – Les frais de garderieUne dispute au sujet de frais de garde non payés soulève une série de questions sur les aptitudes parentales d’une des parties. Cause 3 – Le compte d’Hydro Un litige au sujet d’un compte d’Hydro trop élevé a dégénéré en conflit majeur entre un propriétaire et son ex-locataire. Ils s’accusent mutuellement d’intimidation, de vol et de vandalisme.
Cause 1 – Le taxidermiste L'Arbitre lève le voile sur la véritable identité - et les lourds antécédents judiciaires - d'une femme qui poursuit son ex-propriétaire. Cause 2 – Les feux de l'amour Un homme accuse son ex-conjointe d'avoir pris les enfants en otages à la suite de leur séparation acrimonieuse. Cause 3 - Le dépôt en Floride Un homme réclame le remboursement d'un dépôt de 2 000 $ qu'il a versé pour la location d'un condo en Floride.
Cause 1 – Le chat Bengal Une femme a dû faire euthanasier un chat Bengal qui est tombé malade quelques jours après son acquisition. Elle poursuit les éleveurs qui lui ont vendu le chat. Cause 2 – La famille expulsée Une piscine disparaît mystérieusement de la cour d'une résidence de Val d'Or. La propriétaire accuse ses ex-locataires de l'avoir volée. Cause 3 – La Mazda de ma tante Une femme regrette d'avoir vendu sa Mazda à sa nièce préférée.
Cause 1 – Ma pire ennemie La cohabitation entre deux jeunes femmes tourne au cauchemar quand l'une perd son emploi et l'autre est victime de violence conjugale. Cause 2 – La Jetta de l'enfer Quand une dispute éclate entre deux hommes à la suite d'une transaction de véhicule usagé, la conjointe de l'acheteur est victime d'insultes à caractère sexuel.
Cause 1 – Des ongles sur le bras Un homme apprend que sa conjointe l'a trompé à la veille de leur mariage. Il lui réclame la somme qu'il a investie pour lui permettre de suivre des cours de pose d'ongles. Cause 2 – Le rêve de Liberty Valance Un gérant d'artiste et un chanteur au nom inspiré d'un film western se poursuivent pour bris de contrat et diffamation. L'Arbitre et son greffier ont fort à faire pour contrôler les deux hommes. Cause 3 - La morsure Une femme a dû recevoir neuf points de suture au bras après avoir été mordue par un chien. Elle poursuit le propriétaire de l'animal pour séquelles psychologiques.
L’œuvre de ma mère : Une femme, qui a épousé successivement trois criminels endurcis, poursuit son fils pour 262 $ de contraventions qu’elle a payées pour lui. Le sous-marin a coulé : Un neveu et son oncle ont perdu plusieurs milliers de dollars dans la faillite d’un restaurant de sous-marins qu’ils ont ouvert ensemble. La moto trafiquée : Un jeune homme accuse une femme d’avoir manipulé l’odomètre de la moto qu’elle lui a vendue.
Un voyage qui tourne mal : Une semaine de vacances en Jamaïque se transforme en cauchemar quand deux collègues de travail découvrent qu’ils n’ont aucun atome crochu. Le cheval qui rote : Une femme découvre que le cheval qu’elle a acheté est affligé d’un étrange tic qui le fait roter. Attention, bain fragile ! : Deux propriétaires poursuivent une ex-locataire qui est partie avant la fin de son bail et qui a endommagé le bain de son logement.
Une dette qui fesse : Une femme qui a quitté son ex-conjoint après avoir découvert qu’il la trompait avec d’autres femmes, réclame le remboursement d’un prêt de 4 500 $ qu’elle lui a consenti. La guérison par les pieds : Une femme veut se faire rembourser les 700 $ qu’elle a versés pour une machine qui prétend éliminer les toxines du corps humain à l’aide d’un bain de pieds. Un détenu à la rue : À sa sortie d’un séjour d’une dizaine de jours en prison, un homme découvre que son propriétaire a reloué son logement et mis une partie de ses meubles à la rue.
Querelle à Contrecoeur : Une dispute entre un propriétaire et un couple de jeunes locataires culmine dans un échange de menaces et d’insultes. Le contrat de garderie : Les tribulations d’un jeune père laissé à lui-même et qui est poursuivi par la propriétaire de la garderie d’où il a retiré ses trois enfants sans pré-avis. Fourrière, police et cie : Un homme confie son auto à un mécanicien pour changer le moteur et la transmission. Mais à la suite d’un cambriolage, le véhicule se retrouve à la fourrière… sans moteur et sans transmission.
D'Amos à La Tuque : Une femme prétend qu'elle a fait vivre son ex-conjoint pendant leur brève cohabitation, même si elle était en congé de maladie à la suite d'une tentative de suicide. Gypsy Road : Un chanteur est poursuivi par son ex-producteur de disques pour avoir fait la promotion de son disque sur les réseaux sociaux. Les racines ravageuses : Une octogénaire poursuit ses voisins pour les dommages causés à sa résidence par un arbre situé sur leur terrain.
Les voisins de palier : À la suite d'une brève, mais intense, relation, deux voisins d'une conciergerie se poursuivent pour menaces et harcèlement. Le coût de l’amour : Une étrange histoire de triangle amoureux entre une femme souffrant d’un trouble de la personnalité, son ex-conjoint et le père de son ex-conjoint.
Chihuahua contre boxer : Un chihuahua survit miraculeusement à une agression sauvage par un chien boxer. Son propriétaire poursuit le voisin qui a sorti le boxer sans laisse. Un poing d’honneur : Un jeune homme règle un différend avec le nouveau copain de son ex à coups de poings sur la gueule. En guerre pour un bazou : Deux vétérans des Forces armées canadiennes se disputent au sujet d'une transaction d'automobile.
Le jeu de l'amour : Une femme accuse son ex-conjoint d'avoir utilisé sa carte de crédit sans son autorisation pour jouer sur des sites en ligne et elle lui réclame 7 000 $. La locataire insatisfaite : Un propriétaire à la personnalité flamboyante est poursuivi par une de ses locataires, qui l'accuse de lui avoir loué un logement à-moitié rénové. Les artisans : Deux artisans qui conçoivent et fabriquent des bijoux, s'accusent de ne pas avoir respecté l'entente contractuelle qui les liait.
L'amoureuse dépressive : Une jeune femme a accepté de subvenir aux besoins de sa conjointe pendant qu'elle se relevait d'une dépression, pour découvrir ensuite qu'elle la trompait avec une femme. Travaux à Saint-Fortunat : Le maire de Saint-Fortunat poursuit un entrepreneur pour des travaux mal exécutés sur sa ferme. Mais a-t-il lui-même respecté la règlementation? La cuisine humide : Le lien d’amitié entre deux couples est rompu à la suite d’une dispute au sujet d’armoires de cuisine endommagées.
La cassure : Une femme accuse son fils de l’avoir empêchée d’assister aux funérailles de son petit-fils décédé d’un cancer. Bronzage à tout prix : Une cliente poursuit le propriétaire d’un salon de bronzage pour des brûlures qu’elle aurait subies au visage.
Le coeur a ses raisons : Une jeune femme veut se faire rembourser l’argent qu’elle a prêté à son ex-copain pour l’aider à reprendre sa vie en main. La Hyundai perdue et retrouvée : Une mystérieuse transaction d’automobile impliquant la vendeuse, l’acheteur …et un fantôme ! C’est le bouquet ! : Une passionnée d’horticulture poursuit son ex-propriétaire pour la valeur des plantes qu’elle n’a pas pu récupérer à son départ.
Campagne de salissage : Une femme accuse son ex-belle-mère de mener une campagne de salissage à son endroit et lui réclame 3,000$. L’ex de ma fille : Une femme victime de violence conjugale veut récupérer les meubles qu’elle a entreposés chez son ex-gendre. Alerte sur la Malibu : Un homme veut récupérer le solde que lui doit la dame à qui il a vendu sa Chevrolet Malibu.
Les ex déconnectés Deux ex-collègues de travail, qui ont eu une brève relation amoureuse, s’accusent de harcèlement et d’intimidation. L’indemnité coûteuse Une bénéficiaire de l’aide sociale a prêté de l’argent à une connaissance d’un ami. Mais celui-ci prétend qu’ils ont plutôt procédé à un échange de véhicule. Ma locataire a déguerpi Une locataire amateure d’animaux exotiques est poursuivie par son ex-propriétaire pour loyer impayé.
Les funérailles de notre frère : À l’occasion du décès d’un de leurs frères, les démons qui hantent les membres d’une famille remontent à la surface. Idylle à Amqui : Deux ex-conjoints de la région d’Amqui, en Gaspésie, vivent des lendemains de séparation difficiles.
Complètement rateau! : La cohabitation entre deux conjointes est compromise quand l’ex-conjoint de l’une d’elles, un criminel recherché par la police, vient squatter leur logement. Dans la cour du boss : Un homme achète le motorisé de son patron et s’installe dans la cour de celui-ci. Le tas de ferraille : Une femme regrette d’avoir acheté un véhicule d’occasion sans l’avoir fait inspecter.
Relation avec bénéfices : Une femme prétend qu’un ancien ami lui a promis un emploi dans le but d’obtenir des faveurs sexuelles. De son côté, il prétend qu’elle a profité de lui financièrement. Territoire occupé : Le nouveau propriétaire d’un duplex accuse la vendeuse d’avoir laissé ses meubles dans le logement du haut et de l’avoir privé de revenus de location. Jeune couple à la rue : Un jeune couple accuse leur ex-propriétaire de les avoir expulsés sauvagement de leur logement.
La séparation nébuleuse : Un homme accuse son ex-conjointe d’avoir quitté le domicile conjugal avec les électroménagers pendant qu’il était hospitalisé. La corde de bois : Une femme accuse un commerçant de lui avoir vendu du bois de chauffage mouillé. Le sofa : Une jeune femme veut se faire rembourser un fauteuil acheté sur Kijiji parce qu’il empestait la cigarette et qu’il était infesté de punaises de lit.
Le husky ravageur : Une jeune femme est terrorisée par son ex-conjoint, qui la poursuit pour des dommages que son chien husky aurait causés à son logement. Sauvez mon cheval! : Une femme veut se faire rembourser l’achat d’un cheval et les frais vétérinaires encourus pour traiter une maladie chronique aux poumons de l’animal. Entre les deux côtés : Un oncle poursuit un neveu aux lourds antécédents criminels à qui il a prêté de l’argent pour l’aider à refaire sa vie.
Beau-frère en sous-location : Une jeune femme regrette d’avoir sous-loué un logement à son beau-frère et lui réclame le remboursement de loyer impayé. Le chien récidiviste : Le propriétaire d’un rottweiler nommé Rambo doit rendre des comptes à la suite d’une série d’agressions perpétrées par ses chiens. Le château aux Méchins : Le vendeur d’un chalet en Gaspésie accuse l’acheteur de l’avoir empêché de récupérer son bateau et d’autres biens lui appartenant.
Le prêt en-dessous de la table : Un homme poursuit son ex-conjointe pour le remboursement d'un prêt pour l'achat d'une maison. Mais l'Arbitre découvre que cet homme est un véritable Bougon. Le spectacle country : Une dame âgée atteinte du cancer, chanteuse country à ses heures, se bat pour récupérer les 3,000$ qu'elle a prêtés à une productrice de spectacles. La toiture ancestrale : Un homme a embauché un ouvrier pour peinturer la toiture de sa résidence ancestrale. Mais la peinture s'est détachée au bout de quelques mois à peine.
Vengeance mise à nu : Une femme poursuit son ex-conjoint pour avoir publié sur Facebook des photos où on la voit nue. Elle l'accuse aussi de l'avoir agressée sexuellement durant leur relation. Les faux-cils : Une femme se fait poser des faux-cils et fait une réaction allergique à un produit utilisé sur des pommettes. Le lave-vaisselle : Un lave-vaisselle acheté sur Kijiji s'avère ne pas être l'aubaine du siècle -- du moins selon l'acheteuse.
L'abonnement au 911 : Les relations hostiles entre un couple de locataires et leur propriétaire mènent à de nombreuses interventions de la police... et même des pompiers! La mine d'or : L'héritier d'une mine d'or embauche une ex-courtière en valeurs mobilières pour lui trouver un prêteur, mais il finit par être celui qui prête de l'argent à cette femme. La justice sur le bras : Un jeune homme s'est fait tatouer sur un bras une femme aux yeux bandés symbolisant la Justice. Mais il n'est pas satisfait du résultat et il poursuit le tatoueur.
L'école d'esthétique : Une femme veut se faire rembourser le montant investi dans un cours d'esthétique après avoir découvert que la formation qu'elle a suivie n'est pas assurable. Le pouvoir des huiles : Le propriétaire d'une maison contaminée par la marijuana veut se faire rembourser une partie de la facture du spécialiste qu'il a embauché pour décontaminer la maison avec des huiles essentielles. Le logement infernal : Un propriétaire et son ex-locataire s'accusent mutuellement d'être responsable de l'état de délabrement avancé d'un logement.
Parents en deuil : Une femme poursuit son ex-conjoint pour les frais funéraires de leur fils décédé. Elle accuse son ex d’avoir utilisé l’allocation du gouvernement pour se payer un voyage à Punta Cana. La morsure paralysante : Une jeune femme prétend qu’elle a été mordue aux fesses par un rottweiller et que son nerf sciatique a été atteint. Elle poursuit le propriétaire du chien pour 5 000 $. La minoune à 1$ : L’acheteuse d’une voiture d’occasion a découvert que le véhicule en question était une minoune.
Couple imposé : Une femme découvre que son ex-conjoint, qui est le père de son enfant, a déjà fait de la prison pour agression sexuelle. Bail toxique : Un problème de moisissure empoisonne la vie d’une locataire et de son propriétaire.
Mettre le feu au passé : Une femme, qui avait déserté son logement à la suite d’une tentative de suicide, accuse son ex-propriétaire d’avoir mis toutes ses possessions à la rue. Le cheval de compétition : La triste histoire de Sunny, un magnifique cheval de compétition qui est en proie aux crises de panique. La tente-roulotte : L’acheteur d’une tente-roulotte veut se faire rembourser son achat pour cause de vice caché.
Prêt à partager : Une jeune mère monoparentale veut se faire rembourser sa partie du prêt qu'elle a contracté avec le père de son enfant. Tourner la page : Une femme qui a réussi à se relever d’une enfance marquée par les agressions sexuelles et la toxicomanie, poursuit l'éditeur de son autobiographie. Huit fois plutôt qu'une : L'incroyable saga d'une auto qui a été volée en 2007 et qui a été revendue huit fois par la suite.
Triangle toxique : Une jeune femme accuse ses deux ex-colocataires de l’avoir exploitée, notamment en l’encourageant à travailler dans un bar de danseuses nues. La voiture noyée : Un jeune homme accuse un individu d'avoir jeté son auto au fond d'un marais.
Aidante sous pression : Une jeune femme embauchée comme aidante par une amie est témoin d'un virulent conflit entre cette amie et sa soeur. Le conflit théâtral : Une femme qui dit parler aux anges est accusée d'avoir volé les droits d'auteur d'une pièce de théâtre. Dérapage incontrôlé : Deux ex-amis se disputent au sujet d’une facture de 76,86$ pour la location d’une auto qui a été accidentée en pratiquant des manœuvres de drifting.
Le chambreur mécontent : Un chambreur accuse sa propriétaire de l'avoir harcelé et insulté devant les autres chambreurs. Elle lui reproche d'avoir négligé l'entretien de sa chambre et de son chien Shiro. La snowbird refroidie : Une femme, qui avait payé d'avance pour la location d'une maison mobile en Floride, dit avoir éprouvé toutes sortes d'ennuis à cause du manque de préparation des lieux. La 5e vitesse : Deux hommes font plusieurs heures de route pour venir trancher un litige au sujet d'un véhicule à la transmission défectueuse.
Investissement international : Un concepteur de logiciel veut se faire rembourser les milliers de dollars qu'il a confiés à un lobbysite pour trouver des investisseurs internationaux. La guerre des neiges : L'amitié entre deux voisins est mise à rude épreuve à la suite d'une dispute au sujet du déneigement de la rue qui sépare leurs résidences. La police doit même intervenir. Le vélo électrique : Une dame poursuit le commerçant qui lui aurait vendu une batterie défectueuse pour son vélo électrique.
Bisbille à l'école : Un homme poursuit le père d'un garçon qui a mordu sa fille de 6 ans dans la cour d'école. Le père du garçon accuse le père de la fillette de l'avoir diffamé sur Facebook. Les mags : Une jeune femme veut se faire rembourser les roues mags qu'un commerçant lui a vendues, prétextant qu'elles ne sont pas de la bonne dimension. Lulu la terreur : Une dame prétend qu'elle a gardé des séquelles physiques et psychologiques après avoir été attaquée sauvagement par une petite chienne chihuahua de 12 livres.
Au bout du fil : Une jeune femme veut se faire rembourser l'argent qu'elle a avancé à sa soeur alors que celle-ci était aux prises avec de graves problèmes de toxicomanie. Les feux de l'amour : Deux ex-conjoints s'accusent de tous les péchés du monde au terme d'une relation houleuse qui s'est bien mal terminée.
La mère-poule : Une mère de famille regrette d'avoir endossé le bail de sa fille quand cette dernière a quitté le nid familial à l'âge de 18 ans. Elle lui réclame 3 115 $. La source du problème : Une jeune propriétaire poursuit son locataire pour loyer impayé. Le locataire allègue qu'il a été victime d'un dégât d'eau. Ça sent mauvais : Un couple veut se faire payer le solde d'une facture pour avoir déplacé du fumier chez une cliente. Une partie de la facture devait être payée en tatouage.
Les détestables : Deux femmes s'accusent de vivre des fruits de la criminalité et se poursuivent au sujet d'une automobile achetée avec un chèque frauduleux. Le petit bout de chou : La propriétaire d'une garderie en milieu familial poursuit une jeune mère de famille pour se faire payer des frais de garde qui lui sont dûs. La Chevy Van : Une femme poursuit l'homme qui lui a vendu une Chevy Van 1990, alléguant qu'elle avait des vices cachés.
Les infidèles : Deux ex-conjoints vivent une sépration houleuse marquée les infidélités et une plainte pour voies de fait contre l'amoureux déchu. Prends pas mon camion : Le propriétaire d'un Ford Ranger 1997 accuse son mécanicien d'avoir utilisé son camion à des fins personnelles.
Vengeance sur Facebook : Deux ex-amies se poursuivent pour des insultes et des images dégradantes diffusées sur les médias sociaux. La Chevy Van : Une vieille Chevy Van 1990 est l'objet d'une dispute entre le vendeur et l'acheteuse.
Home staging : Une propriétaire de maison a eu la mauvaise idée de demander à sa patronne au travail d'effectuer un contrat de home staging chez elle. Bernard et la bête : Le propriétaire d'un pitbull surnommé Beast est poursuivi pour les dommages causés par son chien.
Les malheurs de Monia : Une femme se serre la ceinture pour acheter une voiture d'occasion, mais elle oublie de payer ses contraventions. Madame Patate : Une jeune femme est la risée de son entourage après s'être fait tatouer des sourcils. Promesse non tenue : Un propriétaire poursuit une femme qui avait signé une promesse d'achat sur sa maison.
Viande à chien : Une petite chienne yorkshire survit miraculeusement à l'attaque d'un chien boxer. Les propriétaires en décousent devant L'Arbitre. Rénovations inachevées : Deux résidentes de l'Abitibi veulent régler un litige au sujet de la location d'une maison. Les cheveux rouges : Une cliente est insatisfaite de sa teinture de cheveux.
Je l'aimais : Une jeune femme prétend avoir subvenu aux besoins de son ex-conjoint durant leur relation tumultueuse. La roulotte aux champignons : Un homme poursuit celui qui lui a vendu une roulotte après avoir découvert qu'elle était rongée par la moisisssure. Le moteur fragile : L'arbitre doit décider qui, du vendeur ou de l'acheteur, doit payer pour le moteur défectueux d'une voiture d'occasion.
Le char pas payé : Un adepte du culturisme poursuit un garagiste à qui il a vendu un Honda CRX. La mémé gardienne : Une grand-mère veut se faire payer pour avoir gardé les cinq enfants de sa bru. L'accident de vélo : Un cycliste poursuit un automobiliste à la suite d'une collision dont il dit avoir gardé des séquelles physiques.
Vendredi 13 : Une jeune propriétaire de garderie en milieu familial poursuit le père de trois enfants qu'elle a gardés. Les reins solides : Un jeune homme souffrant d'une maladie aux reins veut se faire rembourser un dépôt pour un loyer.
Troc-moi ça : Un couple regrette d'avoir échangé un motocross presque neuf contre deux scooters usagés sur un site de troc. Le rêve équestre : La mère d'un enfant souffrant d'un trouble d'apprentissage veut se faire rembourser le forfait qu'il a gagné pour une randonnée à cheval. Incendie chez le voisin : Un homme réclame trois mois de loyer à la dame qui a acheté sa maison.
« Like » un artiste : Un étudiant en arts visuels poursuit un camarade de classe pour avoir « dé-liké » une œuvre qu’il avait affichée sur sa page Facebook. La maison de la belle-mère : Une femme poursuit le fils de son conjoint pour des arrérages de loyer.
L’amour n’est pas dans le pré : Une travailleuse agricole poursuit son ex-conjoint après l’avoir fait vivre pendant plusieurs mois. Cupidité et mensonges : Une femme est forcée de rembourser des prestations d’aide sociale et réclame que son ex-conjoint paye sa part. Le cylindre gonflé : Une remorque endommagée fait l’objet d’un litige entre son propriétaire et le jeune homme à qui il l’a louée.
Rend-moi ton cell : Une jeune femme veut se faire rembourser le solde d’un compte de téléphone cellulaire par son ex-conjoint. La maison du Far-West : Un conflit dégénère entre un locataire consommateur de drogue et son propriétaire aux méthodes musclées. Glissade des escaliers : Une femme réclame des dommages au conjoint de sa manicuriste après être tombée dans l’escalier menant au commerce. La motoneige maquillée : Un homme soupçonne que l’odomètre de la motoneige qu’il a achetée a été trafiqué.
Un réparateur de toiture poursuit un homme d'affaires qui a suspendu les travaux qu'il avait entrepris et une femme accuse le père de ses enfants de lui avoir volé ses oiseaux rares.
Une jeune femme accuse son ex-conjoint d'avoir littéralement Une jeune femme accuse son ex-conjoint d'avoir littéralement démoli son crédit et une jeune femme d'affaires tente de récupérer plusieurs mois de loyer impayés par une de ses locataires. et une jeune femme d'affaires tente de récupérer plusieurs mois de loyer impayés par une de ses locataires.
Un homme est floué alors qu'il croyait vendre son camion au frère d'un ami et une femme veut prendre l'héritage de ses enfants pour payer des dettes encourues alors qu'elle faisait vie commune avec leur père.
Une femme accuse un ami de ne pas avoir payé son loyer alors qu'elle l'avait accueilli chez elle et d'avoir profité outrageusement de sa générosité. Un homme poursuit l'ancien propriétaire de sa maison pour d'importants vices cachés.
Une femme reçoit une contravention salée alors qu'elle était convaincue d'avoir vendu sa voiture. Elle poursuit l'homme chargé de la vente. Un propriétaire tente de récupérer plusieurs mois de loyer auprès d'un locataire qui a déguerpi.
Une commerçante se défend contre sa propriétaire qui la poursuit pour loyers impayés et une femme poursuit les propriétaires d'un chenil à qui elle a confié son cochon domestique, après que l'animal se soit fait attaquer par deux chiens.
Suite à leur rupture tumultueuse, deux ex-amants se disputent la responsabilité du remboursement d'un spa financé conjointement et une grand-mère poursuit l'ex-épouse de son fils pour récupérer des bijoux qu'elle avait offerts à sa petite fille.
Un homme accuse celui à qui il a vendu sa voiture hors d'usage d'avoir causé une contamination écologique au moment de prendre possession du véhicule et un jeune couple se retrouve parents d'un enfant trop rapidement.
Une femme veut être remboursée pour un contrat d'asphaltage qui a été bâclé par un escroc qui n'y connaissait rien et une mère poursuit l'ancienne propriétaire d'un cheval acheté après que celui-ci soit mort subitement dans les jours suivants.
Un homme poursuit l'ancienne propriétaire de sa maison pour vice caché. Une femme poursuit le propriétaire de son appartement qui, selon elle, a vendu ses électroménagers quand il a repris possession du logement qu'elle avait abandonné.
Un homme poursuit le fils de son ex-conjointe pour une dette endossée afin de le supporter dans une période difficile et une femme poursuit un ami qui lui avait sous-loué l'appartement duquel elle a été expulsée.
Une jeune femme poursuit son ex-petit ami pour une dette qu'il ne lui a pas remboursée. Un père et une mère poursuivent le propriétaire d'un chien qui a attaqué leur fils Jeremy, en lui sautant au visage, lui causant de nombreuses blessures.
L'arbitre, c'est l'avocate Anne-France Goldwater qui jette un regard franc sur de véritables cas juridiques, tous plus insolites que difficiles à trancher! L'émission fait voir les dessous des petites créances avec un oeil nouveau, celui du divertissement.
Une ancienne administratrice d'un syndicat de copropriété poursuit les nouveaux administrateurs qui l'ont chassée de son poste et un homme poursuit celui qui lui a vendu une roulotte usagée prétendant qu'elle présente de nombreux vices cachés.
Un acheteur de moto-marine usagée poursuit le vendeur qui a, selon lui, fait des déclarations frauduleuses et un homme poursuit les vendeurs de sa maison qui, selon lui, ont omis de révéler plusieurs problèmes non apparents.
Un conducteur d'autobus poursuit les parents d'un élève turbulent qui lui a arraché ses lunettes et les a fracassées. Une jeune femme poursuit son ex-petit ami qui a utilisé le compte conjoint du couple, après leur rupture amoureuse.
Une chicane de voisin causé par les graves inondations qui ont frappé le Québec et une jeune mère de famille poursuit les anciens propriétaires de sa maison alléguant que celle-ci recelait des vices cachés, notamment un problème d'infiltration d'eau.
Une propriétaire poursuit son locataire qu'elle accuse d'avoir déguerpi et un homme poursuit celui qui a effectué des travaux de rénovations dans la salle de bain de sa maison, qui ont du être complètement refaits.
Les propriétaires d'un motorisé poursuivent le garagiste qui a effectué des réparations sur le véhicule, prétendant avoir été surfacturés. Une jeune femme se retrouve en mauvaise posture après avoir endossé sa meilleure amie pour un contrat de cellulaire.
Une propriétaire poursuit des voisins pour certains agissements qui lui ont rendu la vie pénible et une jeune femme poursuit la propriétaire d'un salon d'esthétique prétendant qu'elle n'a pas pu recevoir les soins qu'elle avait gagnés dans un concours.
Une femme poursuit l'ancienne propriétaire de sa maison pour vice-caché et une femme poursuit celui à qui elle avait confié sa déclaration d'impôts, prétendant que c'est suite à une erreur de sa part qu'elle a été cotisée par le fisc.
Un propriétaire poursuit un ancien locataire qui a déguerpi, laissant son logement dans un piteux état et une jeune femme réclame de son ex petit-ami le remboursement de plusieurs dettes qu'elle prétend qu'il a contractées envers elle.
Dans cette émission spéciale, nous allons voir les meilleurs moments des causes mettant en vedette des histoires de familles, des conflits entre locataires et propriétaires, des histoires de véhicules, des amitiés brisées et des chicanes de voisins.
Dans cette émission spéciale, nous allons voir les meilleurs moments des causes mettant en vedette des histoires d'animaux, des histoires de vices cachés, de confiance trahie, des histoires de couples et des histoires touchantes impliquant des enfants.