Dans l'épais brouillard de la nuit, Niemans poursuit un moine dont il aperçoit la soutane sous les reflets de la lune. Le religieux s'écroule. Alors qu'il s'apprête à lâcher son dernier souffle, le frère Guillaume prononce quelques mots : «le glaive et le serpent». Il montre la paume de sa main gauche à Niemans, entièrement tatouée de bleu…
Un nouveau cadavre est découvert suspendu par les poignets dans le parc de la clinique de Clinagen. La victime porte les mêmes stigmates que la première: une rosace sur le ventre. Les deux femmes auraient été torturées selon un rituel utilisé par les bourreaux pendant l'Inquisition. Les enquêteurs découvrent que les deux femmes étaient porteuses du même groupe sanguin, qu'elles ont perdu beaucoup de sang et qu'elles suivaient le même programme de revitalisation. La directrice du laboratoire et Claude, la sorcière, continuent d'intriguer les deux enquêteurs qui tentent de percer le mystère d'une sorcellerie qui semble terrifier tout le monde...
On découvre une scène macabre devant l'église d'un petit village. Le corps du prêtre est retrouvé nu, crucifié sur une croix inversée. Pierre Niemans et Camille Delaunay enquêtent sur ce meurtre, dont la mise en scène rappelle la mort d'un martyr du IIIe siècle. Par ailleurs, les reliques du saint ont disparu de la paroisse de la commune voisine. En pleine enquête, Camille découvre un mot du tueur dans sa veste : «La première lettre du nom du Père a été prononcée.» C'est alors que survient un second crime ; d'autres reliques sont à nouveau dérobées.
Le corps d'une femme noire est découvert dans un hangar désaffecté. Une mise en scène scabreuse, et un dièse gravé sur le front de la victime. L'enquête dirige les enquêteurs vers une jungle de migrants, à quelques kilomètres de là. Pour Niémans et Camille, il s'agit d'un crime rituel africain, teinté de vaudou et de mysticisme. Alors que Niémans découvre l'identité d'un premier suspect, Camille, elle, infiltre la jungle en se faisant passer pour une bénévole. Alors que les énigmes s'accumulent, le duo d'enquêteurs découvre l'existence d'un démon peule, qui semble terrifier les migrants du camp : le Kenbaltyu. Sa marque : un dièse gravé sur le front...
Alors qu’il parcourt le jardin de la propriété des Monferville, le majordome tombe sur un jeune garçon de 17 ans en piteux état. Selon lui, il serait Herminien de Monferville, enfant de la grande famille éponyme, disparu il y a 6 ans. De son côté, Camille, supposée en vacances, est à la recherche de son fils Léo dont elle ne retrouve plus la trace. Son enquête l’amène chez les Monferville. Car elle a compris le plan de son fils : se faire passer pour cet enfant disparu qui lui ressemble étrangement, afin de bénéficier du mode de vie luxueux de cette famille. Quelle n’est pas sa surprise quand Caroline de Monferville lui confirme qu’il s’agit bien d’Herminien ! Camille est persuadée que Léo profite du malheur de cette mère éplorée. Mais l’enquête prend une toute autre dimension quand elle reçoit un test ADN entre Léo et elle-même : aucune correspondance ! De son côté, Léo, enfermé dans cette inquiétante bâtisse, comprend qu’il s’est jeté dans la gueule du loup…
Alors que Camille est en vacances sur la côte d’Opale, elle rencontre Paul, dont la femme a disparu dans des circonstances étranges. Elle fait part de ses doutes à Niémans qui la rejoint immédiatement sur place. Niémans venait dans ce village durant son enfance, avec son frère et sa mère. Alors que des souvenirs douloureux semblent remonter à la surface, Niémans et Camille assistent à un accident mortel qui ne semble pas un hasard. Cela les mènera sur la piste d’un serial killer redoutable, qui semble tuer chaque victime dans l’ordre des signes astrologiques.
Alors que Camille et Niémans partent à la campagne à la rencontre d’Arnaud Morillon, un ancien collègue de la BRI et ami de Niémans, c’est la stupeur. Ils ne trouvent que son cadavre, infecté de bubons, témoins de la peste noire, pourtant éradiquée depuis des siècles… Alors qu’une première analyse révèle que l’infection était volontaire, un médecin de l’institut Pasteur, Gilles Hannequin, annonce qu’il vient d’y avoir un autre cas, resté secret pour éviter la panique. Très vite, les deux enquêtes semblent liées. Après la découverte du cadavre d’un autre collègue de Niémans à la BRI, lui aussi retrouvé mort de la peste, tout désigne l’ancien groupe de Niémans comme dénominateur commun. Niémans et Camille vont alors se lancer à la poursuite d’un tueur fou, portant le masque typique des « médecins becs » s’occupant des cas de peste à l’époque, et qui menace de diffuser cette bactérie mortelle dans la capitale. Dans une sorte de carnaval de Venise cauchemardesque, l’enquête les plonge vers ce qui ressemble à une vengeance envers l’équipe du commissaire Niémans, vingt ans auparavant…
Dans un petit village belge, une église prend feu. Alors que les pompiers luttent contre les flammes, le décor d’un sombre spectacle se révèle sous leurs yeux : deux corps, un homme et une femme, nus, cousus dos à dos et égorgés. Camille et Niémans, arrivés sur place, découvrent sur les victimes des bracelets provenant d’un festival néopaïen aux rituels étranges, perché dans la montagne. Niémans retrouve une ancienne collègue et amie, Audrey, qui travaille dans la PJ belge. Très vite, cette enquête amène le trio dans l’univers étrange des rites néopaïens et des tanneries de cuir.
Niémans est appelé en pleine nuit par Marek Volsnic, un ancien braqueur qui semble bien le connaître. Alors qu’il fonce sur place, Marek est retrouvé inconscient par un gardien dans sa cellule, au côté d’un autre camarade, visage mutilé, corps lacéré, yeux arrachés. Niémans, avec l’accord du directeur de la prison, enquête sous les radars avec l’aide de Camille. Cette dernière, sentant que Niémans lui cache la véritable raison de leur présence ici, renoue les liens avec Kleinert. Très vite, ils découvrent que Niémans couvre un terrible secret de son passé. Une enquête qui fera basculer Niémans de l’autre côté de la prison et où Camille devra redoubler d’efforts pour sauver son mentor…
Sous une pluie battante, un car roule prudemment, dans la nuit. Dedans, des adultes, des enfants, qui parlent en retournant chez eux. Soudain, le car s’immobilise. Jacques, le conducteur, descend vérifier. Une herse a été posée à terre : les quatre roues sont crevées. Et alors qu’il se relève, Jacques est brusquement attaqué par une silhouette sortant de l’ombre, qui lui assène un coup de griffes en métal dans les cuisses. Une cloche retentit. Jacques regarde autour de lui : ils sont sur un passage à niveau, et un train leur fonce droit dessus. Ayant fermé la porte du car en descendant, immobilisé à cause de sa blessure, il ne peut que fermer les yeux au moment où le train percute le car. C’est dans ce contexte douloureux que Niemans et Camille sont appelés à l’aide. Et, alors que l’enquête démarre, d’autres morts suivent ce terrible drame. Et une évidence se dessine pour nos policiers : chaque victime semble avoir été soupçonnée par le passé, dans divers dossiers de police. Le tueur à
Niemans et Camille débarquent à l’institut des Beaux-Arts de Malpas. Deux étudiants ont découvert le corps d’une autre élève, exsangue, accroché devant un tableau aux couleurs sombres, peint avec le sang de la victime. Un cadre macabre pour nos deux enquêteurs, dont les soupçons se portent rapidement sur Ariane Maubert, la professeure de la victime. Et les raisons sont nombreuses : Ariane n’est autre que Lilith, une personnalité controversée, peintre de génie et créatrice de l’Anima Obscura, un mouvement pictural qui cherche à peindre la noirceur de l’âme, et dont l’institut se revendique comme étant le fer de lance des futurs génies du genre. Et Lilith est connue pour pousser ses élèves à bout, pour aller puiser dans les tréfonds des corps pour libérer l’énergie créatrice. Mais, en se rapprochant d’elle, Camille découvre une femme plus complexe, loin de l’artiste provocante et glaçante. Niemans, lui, cherche à comprendre les secrets que renferment cet institut, au moment où un nouvel
Niemans est cette fois-ci convoqué au ministère de l’Intérieur, à Paris. La demande est atypique : Philippe Cernac, un dangereux prisonnier qui chassait ses victimes à l’arc, s’est porté volontaire pour intégrer le programme de recherche de l’UMD, l’Unité des malades difficiles. Sa seule condition : il veut que Niemans, celui qui l’a arrêté par le passé, soit responsable de son transfert. Flairant le piège, le flic accepte, à condition de pouvoir faire le trajet avec son adjointe, Camille. Une fois sur place, Niemans et Camille font un constat troublant : au sein de cet institut plongé dans la forêt des Landes, plusieurs prisonniers se sont échappés. Pas étonnant selon Niemans, qui reproche aux dirigeants de l’unité d’avoir créé un Club Med pour les plus dangereux criminels de France. Lorsque les corps des prisonniers échappés sont retrouvés dans la forêt, et que dans le laboratoire des fioles de sang disparaissent soudainement, Niemans et Camille comprennent que leur séjour sur plac
Lors d’une descente de police près d’un château abandonné, le corps d’une femme est retrouvé au milieu de ruines. La victime gît au milieu d’un décor improbable, couverte d’étoles, avec un miroir attaché aux mains, dans une mise en scène tout droit sortie de l’Antiquité. Pour le flic qui découvre le corps, c’est la douche froide : en effet, il s’agit de Chloé, l’ancienne binôme de Camille. Pour Chloé, ce meurtre vient tout droit du passé : en effet, son père a été arrêté douze ans auparavant, pour un crime similaire. Et il purge sa peine dans un hôpital psychiatrique à quelques kilomètres d’ici, sous haute surveillance. Chloé demande de l’aide à Camille, qui s’installe chez elle pour faire la lumière sur cette histoire. Car le tueur veut Chloé sur cette enquête : quelques heures avant la découverte du corps, il lui a envoyé une photo du meurtre. Très vite, et avec l’aide d’Éva, psychiatre et meilleure amie d’enfance de Chloé, Camille et Chloé plongent dans un monde jusqu’à alors inconn