Fondant espoir d’être entendue par une équipe majoritairement féminine, la jeune Simona Clark, 19 ans, se présente pour dénoncer une agression qui remonte à un mois. Elle est reçue avec bienveillance par Alice, qui l’aide du mieux qu’elle peut à raviver sa mémoire. L’équipe se met en marche pour corroborer le récit de Simona, malgré les doutes de certaines personnes sur sa vraisemblance.
Alice et Frédéric se démènent sur le dossier de Simona, qui, de son propre chef, embrouille l’enquête en plus de faire face à une réalité familiale éprouvante. Le chef Alario s’inquiète de l’implication alléguée dans l’histoire d’une personnalité connue – Jérémy Larose. Alice n’hésite pas à lui tenir tête. À l’issue d’une dure journée de travail, Alice et Lucie se retrouvent dans le bar où elles ont vécu un drame.
L’enquête « Simona » se complexifie. Alice et le GICCS doivent collaborer avec le sergent-détective Olivier Tanguay, ancien collègue et bête noire de Frédéric. Alice et Frédéric retrouvent la sœur et le frère de Simona dont on avait perdu la trace en compagnie d’une proche de Simona : Violetta. Celle-ci incrimine Antonin, voisin et proxénète de Simona. Au GICCS, on continue parallèlement à chercher des témoins qui auraient vu Simona à l’hôtel Gaïa le soir de l’agression alléguée.
Gabriel Cormier, 18 ans, affirme avoir été victime d’un viol collectif perpétré lors d’un party nocturne en plein air où il s’était rendu en compagnie de coéquipiers du club de vélo Les Dragons pour fêter une victoire. Les témoignages ne concordant pas, Alice et Frédéric sont appelés à revoir les enregistrements réalisés par Abigaëlle et Jo avec les témoins clés : le coloc, Jacob, une copine, Bianca, ainsi que leur entraîneur, Samuel. La nouvelle ronde d’interrogatoires met en lumière de troublantes dynamiques.
Conscients du climat toxique qui régnait dans le club cycliste Les Dragons, Frédéric et Alice tentent d’y voir plus clair dans les relations entre les jeunes et avec leur entraîneur. Le duo réécoute les premiers interrogatoires et rencontre les gens de nouveau. Parviendra-t-il à démêler le vrai du faux pour faire la lumière sur l’agression dont Gabriel a été victime?
Jacques-Raymond Beauchamp sollicite l’aide d’Alice pour s’occuper de sa fille de 16 ans - Clara - séquestrée, violée et menacée pendant 24 heures. Alice écoute Clara avec bienveillance. Celle-ci qui rêve d’une carrière de chanteuse, accuse Cédric Cabana, son preneur de son, d’être son agresseur. Interrogé à son tour, Cédric raconte une tout autre version de l’histoire. Paolo, le guitariste qui les connaît tous les deux pourra-t-il fournir une piste de solution?
Alice, Frédéric et Lucie travaillent fort pour y voir clair dans les témoignages contradictoires de Cédric et Clara. Ils rencontrent le frère de Cédric, Bobby Cabana qui tient une école de boxe, ainsi que sa femme Samantha, une fleuriste qui a brièvement engagé Cédric comme livreur. Ils revoient le père de Clara et convoquent sa mère Myriam.
Olivier Tanguay, des crimes contre la personne, sollicite Alice pour l’assister dans l’enquête d’une jeune inconnue retrouvée morte vraisemblablement suite à une agression sexuelle. Une employée des Ateliers Fushia où l’on conçoit des jeux vidéo, Hannah Forget appelle au GICCS pour signaler la disparition de sa collègue et amie Jessica Nicolas. Elle met l’escouade sur la piste d’un collègue un peu bizarre qui a récemment quitté l’entreprise, Natan Lavallée.
Alario annonce à Alice qu’une plainte a été déposée contre elle et qu’elle est menacée de suspension. Il lui demande de ne rien cacher sur ses démarches dans le cadre de son travail. L’hôtel Gaïa est de nouveau un centre névralgique de l’enquête alors qu’on apprend que Jessica le fréquentait. L’équipe tente de percer les secrets d’une partie de poker hebdomadaire qui réunissait généralement les mêmes joueurs.
Dorcely doit trancher sur l’enquête à prioriser. En cherchant à en savoir plus sur la famille de Denis Dubreuil, Alice réalise qu’il est en très mauvais termes avec son frère Normand. En compagnie de Fred, elle rend visite à ce dernier. Fred essaie de convaincre Lucie de revoir Pierrette malgré les instructions reçues. L’enquête sur Dubreuil progresse suffisamment pour qu’on amène celui-ci en interrogatoire. Une joute serrée s’amorce avec Alice.
Alice et Fred se rendent dans une résidence pour personnes âgées semi-autonomes. Angèle Cournoyer y a été victime d’une brutale agression qui s’apparente à bien des égards à celle commise contre Pierrette. Ils recueillent la déposition du propriétaire Claude Simoneau et de l’infirmière Murielle Dansereau. Samir Ahmadi, un réfugié syrien qui fait du bénévolat en allant porter leur repas aux pensionnaires est introuvable. Ils rencontrent le fils de la victime, Jean-Benoît.
Julie Mivillle, une infirmière mère célibataire, se présente au GICCS avec son fils Léandre qui affirme avoir été agressé sexuellement pendant des années par un adulte de confiance. Les enquêteurs auront fort à faire pour découvrir la vérité dans une enquête chargée d’émotion. Ils rencontrent notamment l’entraîneur de basket, le père et une ancienne blonde de Léandre pour tenter d’en savoir plus long sur lui.
Le jour même où il doit se marier, Thierry Caroit, le fils du propriétaire d’un hôtel de luxe, est arrêté par le GICCS. Sa fiancée Anne-Sophie l’accuse d’agression sexuelle. Alice et Fred, qui veulent interroger des membres du personnel, se font rabrouer par Delphine, la soeur de Thierry. Son père est déterminé à le tirer de ce mauvais pas. Thierry est-il vraiment l’homme charmant dont il projette l’image? Anne-Sophie dit-elle toute la vérité? Un beau cas pour Alice dont le mystère intrigue Fred de plus en plus.
Animateur d’un spectacle de drag queens dans le Village, Olivier Côté croit qu’un de ses artistes, Pascal Lacharité alias Kelly Idole, a été victime d’une agression sexuelle. Alice et Fred vont rencontrer celui-ci qui est très réticent à porter plainte. Ils entreprennent néanmoins leur enquête et obtiennent l’aide non sollicitée du policier Vincent Dauphinais, qui patrouille dans le quartier depuis trois ans.
Olivier Tanguay des homicides se présente au GICCS avec une vidéo qui lui a été transmise par Interpol. On y voit une jeune femme violée et torturée avant d’être étranglée. La victime a été identifiée comme étant québécoise. Tanguay précise qu’il s’agit de Jessica Nicolas. Alice et Fred vont rencontrer un de ses voisins, Georges Dion, ainsi que sa sœur Jade. Ils découvrent par ailleurs que le groupe a fait d’autres victimes, des prostituées disparues sans laisser de traces.
L’équipe a pu relier les créateurs des vidéos de torture à une entreprise d’extermination parasitaire située près du port de Montréal. Tanguay les félicite pour avoir constitué une preuve circonstancielle intéressante, mais ce n’est pas suffisant. On élabore une opération au cours de laquelle Charline occupera un rôle crucial. Malgré les progrès de leur enquête, la tension entre Fred et Alice demeure palpable.
Aida Roussel, étudiante en génie mécanique, se présente avec sa mère Murielle pour dénoncer le viol collectif dont elle a été victime dans une chambre de la résidence universitaire. Alice recueille sa déposition, mais Aida n’est pas très loquace, ce qui complique son dossier. Fred n’est pas très convaincu. De son côté, Charline cherche à trouver des indices dans l’enquête sur le viol d’une joggeuse pendant la nuit dans un parc.
Une deuxième joggeuse est violemment agressée au parc. Alice et Fred interrogent les quatre étudiants dénoncés par Aida : Manuel Roy, Tobby Horvath, Gabriel Caron et Pierrick Bilodeau. Le duo va ensuite revoir Murielle qui les dirige vers Tran, la meilleure amie d’Aida. Alice a le sentiment que tout tourne autour d’une seule question : où commence et où finit le consentement? Mais parviendra-t-elle à convaincre Aida de ne plus rien lui cacher?
Simon Ledoux, sergent détective aux affaires internes d’un corps policier de la Rive-Nord, demande l’aide du GICCS pour régler un cas d’agression impliquant deux agents de la paix qui aurait eu lieu après une soirée arrosée dans un bar près du GICCS. Alice insiste pour rencontrer la plaignante, Catherine O’Connor. Ledoux, qui croyait qu’on allait l’aider à épingler rapidement son principal suspect, tombe des nues en voyant Alice reprendre l’enquête à zéro. Pour elle, tous les agents présents à la soirée doivent être considérés comme suspects jusqu’à preuve du contraire.
Alice visite un magnifique chalet offert à prix relativement abordable en compagnie de l’agent d’immeuble Rémy Deblois, Geneviève Pilon, qui travaille dans une maison de transition pour ex-détenus, se présente au GICCS pour accuser son nouveau patron Marc-André Dallaire de l’avoir agressée dans son bureau. Les enquêteurs interrogent ses collègues pour tenter d’avoir l’heure juste. Charline se désole du peu de progrès dans l’enquête sur les agressions au parc.
Alice, Fred et Charline trouvent plus de questions que de réponses dans leur enquête sur la plainte de Geneviève Pilon. Leur a-t-elle tout dit? Et la démission soudaine d’Ariane Drouin, qui dirigeait la maison Ancrage avant Marc-André, a-t-elle un lien avec l’affaire? Alice rencontre Jean-Philippe Rivière, le conjoint de Geneviève, qui lui fait des confidences sur sa vie de couple.
Anna Maria Romero, une jeune femme qui joggait la nuit au parc, a été agressée à son tour. Elle vient rencontrer Alice au GICCS. Dorcely trouve que l’enquête sur cette affaire n‘avance pas et il met de la pression sur Alice. Celle-ci voudrait avoir la permission de mettre à contribution Yvan Belzile, un agresseur notoire qui a fini de purger sa peine, afin d’établir le profil d’un suspect dont on sait très peu de choses.
Alice et Fred demandent à Charline d’infiltrer le groupe de citoyens et de citoyennes qui patrouille dans les parcs, pensant que le suspect pourrait en faire partie pour narguer la police. Leur attention se porte plus particulièrement sur un certain Alex Gravel, qui a été remercié du département d’urbanisme deux mois auparavant.
Isidro Jean, qui travaille depuis peu comme barman dans un club de danseuses, affirme avoir été témoin d’une agression commise sur une mineure. Alice et Fred lui promettent d’enquêter là-dessus. Peggy Lalonde, spécialiste du crime organisé, leur apprend que le propriétaire de l’établissement, Junior Gattereau, fait partie d’un gang de rue. Elle leur recommande de faire preuve de prudence quand ils iront y faire un tour. Dorcely convoque une réunion d’urgence.
On a retrouvé la jeune danseuse agressée, Gina Glémaud, mais elle ne veut pas porter plainte. Alice et Fred vont rencontrer le travailleur social de son école, Stéphane Toussaint puis Orélie Bouchard de la DPJ qui leur parle de la relation de Gina avec son père toxicomane. Parallèlement, on cherche par tous les moyens à repérer le complice du principal suspect des viols dans les parcs. Après le travail, Alice retrouve Rémy Deblois pour lui dire ce qu’elle ressent pour lui.