C'est soir de première! Marc Labrèche reçoit la chanteuse Martine St-Clair pour revisiter 1986, année de parution du succès Ce soir l'amour est dans tes yeux. Fred Savard s'interroge sur les sujets sensibles en culture. Janette Bertrand aurait-elle inventé la médiation culturelle? Simon Boulerice tente de convaincre Fred d'assister à un spectacle de danse contemporaine pour vivre des choses qu'on ne peut vivre ailleurs. Émilie Perreault avoue son plaisir coupable de 1986 : le film Bach et Bottine.
Marc Labrèche reçoit la comédienne Karine Vanasse pour revisiter 1999, année de sortie du film Emporte-moi, de Léa Pool. Émilie Perreault se demande si on snobe la musique qui vient des régions en relatant le succès des groupes La Chicane et 2Frères. Simon Boulerice se confie sur sa passion pour la comédie musicale avec le phénomène Notre-Dame-de-Paris. Fred Savard parle de l’art engagé avec les œuvres percutantes L’Erreur boréale et J’aime Hydro.
Marc Labrèche reçoit la comédienne et animatrice Danielle Ouimet pour revisiter 1968, année où elle a tourné le film Valérie, réalisé par Denis Héroux. Simon Boulerice parle de féminisme au théâtre et de la véritable petite révolution qu’a engendrée la pièce Les Belles-Sœurs. Fred Savard fait quelques confidences sur le phénomène de L’Osstidcho et son précieux héritage. Émilie Perreault se demande s’il y a toujours des artistes politisés aujourd’hui.
Marc Labrèche revisite l'année 1987 avec Yves Jacques.
Marc Labrèche reçoit Carole Laure pour revisiter 1973, année où la comédienne triomphe dans le film La Mort d’un bûcheron, de Gilles Carle. Simon Boulerice se questionne sur la littérature pessimiste. Est-elle lourde ou salvatrice? Il aborde les œuvres de Réjean Ducharme et de Jean-Philippe Baril Guérard. Fred Savard se dévoile sous un nouveau jour en louangeant Elvis Presley et son album Aloha from Hawaii. Émilie Perreault mène une discussion sur l’art visuel et la préservation du patrimoine.
Marc Labrèche reçoit Diane Tell pour revisiter 1981, année où la chanteuse vogue sur le succès de la chanson Si j'étais un homme. Fred Savard présente l'époque phare du rock québécois, un genre musical qui semble en voie de disparition de nos jours. Simon Boulerice a découvert la danse contemporaine grâce à Louise Lecavalier, qui amorce l'aventure La La La Human Steps cette année-là. Émilie Perreault se questionne sur la pertinence du documentaire et sur son influence politique.
Marc Labrèche reçoit Marc Séguin pour revisiter 2001, année où l’artiste en arts visuels se lance à la conquête du monde avec l’exposition Les Rosaces. Émilie Perreault explique comment les films canadiens parviennent à se tailler une place dans la prestigieuse course aux Oscars. Fred Savard se remémore la tragédie du 11 septembre et l’effet qu’elle a eu sur son parcours professionnel. Simon Boulerice se souvient de Nelly Arcan, qui lance Putain cette année-là.
Marc Labrèche reçoit Dominic Champagne pour revisiter 1992, année où l’artiste présente la pièce Cabaret neiges noires. Fred Savard parle du vieillissement en humour. Simon Boulerice profite de la Pause tendresse pour exprimer son amour envers Whitney Houston et le film The Bodyguard. Émilie Perreault se questionne sur le risque que prennent les acteurs en incarnant des personnages que le public aime haïr.
Marc Labrèche reçoit la contralto Marie-Nicole Lemieux pour revisiter 2000, année où elle prend son envol en remportant de grands concours internationaux. Fred Savard s'intéresse aux livres de cuisine et Émilie Perreault rend hommage au chanteur du groupe Les Colocs, André « Dédé » Fortin, qui s'éteint le 8 mai 2000. Simon Boulerice plonge dans l'univers des séries policières à la télévision avec Fortier, District 31 et Faits divers.
Marc Labrèche reçoit le chanteur Michel Rivard pour revisiter 1974, année où le groupe Beau Dommage présente un premier album qui marque de façon indélébile l’histoire de la musique au Québec. Émilie Perreault parle de parité au cinéma et Fred Savard s’interroge sur les habitudes du public culturel anglophone au Québec. Simon Boulerice discute de l’importance des concours musicaux en soulignant la victoire de René Simard au Festival international de la chanson de Tokyo à l’âge de 13 ans.
Marc Labrèche reçoit le chanteur Richard Séguin pour revisiter 1988, année où paraît son album Journée d’Amérique. Simon Boulerice parle de la pertinence des albums et des spectacles hommages. Émilie Perreault se remémore le Club des 100 watts durant une pause tendresse. Fred Savard se demande si l’École nationale de l’humour, fondée en 1988, a formaté l’humour au Québec.
Marc Labrèche reçoit l’humoriste Michel Barrette pour revisiter 1983, année de naissance de son personnage Roland Hi!Ha! Tremblay. Fred Savard se souvient du film Bonheur d’occasion, de Claude Fournier, et ouvre la discussion sur les films d’époque. Les Lundis des Ha! Ha! ont permis à toute une génération d’humoristes d’éclore. Plus de 25 ans plus tard, Émilie Perreault dresse le portrait des soirées d’humour au Québec. Simon Boulerice rend hommage à Gabrielle Roy, grande disparue de l’an 1983.
Marc Labrèche reçoit le chanteur Michel Fugain pour revisiter 1972, année où il présente l’album Fugain et Le Big Bazar. Simon Boulerice se demande s’il est absolument nécessaire, pour les artistes québécois, de s’adapter pour percer en France. Fred Savard se livre sur son affection pour Claude Péloquin, Jean Sauvageau et leur album Laissez-nous vous embrasser où vous avez mal. S’inspirant d’Antonine Maillet et de La Sagouine, Émilie Perreault parle du combat pour l’identité francophone en Amérique.
Marc Labrèche reçoit l’auteure Marie Laberge pour revisiter 1996, année de parution du livre Annabelle. Fred Savard accueille Frédéric Pierre pour parler de diversité culturelle. Émilie Perreault se remémore le phénomène des Backstreet Boys. Finalement, Simon Boulerice souligne la mort de Gaston Miron, en 1996, et nous incite à découvrir quelques poètes qui ont le vent dans les voiles.
Marc Labrèche reçoit le chanteur Pierre Lapointe pour revisiter 2004, année de parution de son premier disque éponyme. Émilie Perreault se questionne sur les qualités d’une bonne œuvre biographique. Fred Savard nous parle des chansons d’actualité et du phénomène Libérez-nous des Libéraux. Simon Boulerice s’interroge sur l’urgence de créer des artistes atteints de maladies graves.
Marc Labrèche reçoit la chanteuse Michèle Richard pour revisiter 1966, année où elle lance la chanson Les boîtes à gogo. Fred Savard discute de musique légère en présentant les artistes contemporains et les groupes musicaux des années 1960. Émilie Perreault se remémore le mystère de Réjean Ducharme, qui lançait L'avalée des avalés cette année-là. Finalement, Simon Boulerice se demande quelle vitrine culturelle remplit le mandat de l'émission Les Beaux Dimanches de nos jours.
Marc Labrèche reçoit l’auteur Éric-Emmanuel Schmitt pour revisiter 2002, année où il publie Oscar et la dame rose. Émilie Perreault s’intéresse à la popularité grandissante de la musique néo-classique. Simon Boulerice rend hommage à Jean-Paul Riopelle, et Fred Savard se demande si les artistes peuvent se remettre d’un flop. Ricardo Trogi débarque également sur le plateau, le temps d’une P’tite vite culturelle.
Pour la dernière émission de la saison, Marc Labrèche reçoit Claude Meunier pour revisiter 1976, année où le trio Paul et Paul voit le jour. Simon Boulerice se penche sur la publicité québécoise et présente quelques trouvailles mettant en vedette l’animateur et son invité. Fred Savard propose de découvrir Parlez-nous d’amour, un film culte de Jean-Claude Lord, et Émilie Perreault s’inspire du député-poète Gérald Godin afin de discuter de la place des artistes en politique.
Marc Labrèche reçoit la légende Robert Lepage pour revisiter 1994, année de création de sa compagnie Ex Machina. Nos collaborateurs Simon Boulerice, Émilie Perreault et Fred Savard s’intéressent au traitement du thème de la vieillesse dans les œuvres culturelles et se demandent s'il est encore possible de produire un film politique en 2019. La folie s’invite alors qu’une Céline Dion en pleine forme se confie à un Josélito quelque peu dépassé. Une surprise de taille débarque en fin d’émission!
Dans cette émission où 1984 est à l’honneur, Marc Labrèche reçoit Guillaume Lemay-Thivierge, qui se transformait cette année-là en Monsieur Émile dans Le Matou, et Sylvie Léonard, qui terminait le tournage de Terre humaine. Émilie Perreault se questionne sur l’évolution du féminisme en musique, Simon Boulerice s’intéresse au spectacle solo au théâtre et Fred Savard se fait surprendre par une marionnette… Tout ça avant que des steppettes impressionnantes viennent mettre le feu au Club Soda!
Marc Labrèche et ses collaborateurs reçoivent Michel Louvain qui, en 1957, gagnait le coeur des Québécoises avec sa chanson Buenas noches mi amor. Simon Boulerice, Émilie Perreault et Fred Savard s'intéressent à la modernisation du ballet classique et à l'évolution du français depuis 1957, alors que Marc fait passer des auditions pour la nouvelle version de Bobino et passe une nuit blanche avec le chanteur américain Mika. Tout ça, avant qu'un des collaborateurs se transforme en bête du rock!
On replonge en 2003 avec Ariane Moffatt, qui recevait cette année-là trois Félix pour Aquanaute. On s’intéresse aux documentaires biographiques et à l’humour intellectuel. Marc rencontre Julie Snyder et Stéphane Laporte, qui connaissaient le succès avec Star Académie en 2003.
Marc Labrèche et ses collaborateurs revisitent 1985 avec Joe Bocan, qui chantait cette année-là Paradoxale, et avec Louise Lecavalier, qui dansait dans Human Sex. Émilie Perreault, Fred Savard et Simon Boulerice s’intéressent à la dualité des cultures comme source d’inspiration artistique et au pouvoir de clairvoyance de la littérature de science-fiction. Marc nous dévoile quant à lui en primeur la rencontre surréaliste entre Mathieu Bock-Côté et Greta Thunberg lors de son passage à Montréal.
On plonge en 1975 avec Ginette Reno. On s’intéresse aux œuvres abordant des drames collectifs et aux documentaires portant sur les régions éloignées. Louis-Jean Cormier nous parle de l’influence de la musique des années 1970 sur son oeuvre.
Marc Labrèche revisite 1982 avec Normand Brathwaite. On s’intéresse aux documentaires portant sur la chasse et à la révolution technologique en art vidéo. Salomé Corbo rend hommage à la LNI et Marc s’entretient avec les très opiniâtres ex du Club des ex.
Retour en 1977 avec Patsy Gallant. Quitter un groupe pour entamer une carrière solo? La radio est-elle encore pertinente? Et des images exclusives du passage raté de Patrick Bruel à En direct de l’univers. Ingrid St-Pierre interprète À toi, de Joe Dassin.
On revisite 2009 avec Kim Thúy. On s’intéresse au thème du gangstérisme au cinéma et à la popularité des chansons d’amour. Marc nous fait découvrir le surprenant nouvel album de Marie-Élaine Thibert, et s’entretient avec Marc-André Grondin.
On revisite 1998 avec René Richard Cyr. On s’intéresse à la tradition du « road movie » et au thème de la solitude dans les œuvres québécoises. Ines Talbi rend hommage à Pauline Julien. Marc nous offre une parodie de Format familial.
On s’intéresse aux reprises musicales et aux œuvres qui reviennent sur notre passé colonial. On découvre la mode en 1965. Marc s’entretient avec une Sophie Durocher de mauvais poil et une Anne-Marie Losique déjantée interprétée par Bruno Blanchet.
Marc Labrèche et ses collaborateurs revisitent 1967. D'abord, avec Louise Forestier qui, en plus de chanter à l'Expo 67, lance cette année-là son premier album. Ensuite avec Vincent Vallières, dont la musique est souvent inspirée par les années 1960.
Marc Labrèche et ses collaborateurs se retrouvent en Nouvelle-France au 17e siècle avec Chrystine Brouillet, dont la célèbre trilogie « Marie Laflamme » s'amorce en 1663. Au menu de cette traversée : quatre siècles de culture et de métissage!
Marc Labrèche et ses collaborateurs revisitent l'année 1989 avec Mitsou qui, cette année-là, fait souffler un vent de fraîcheur sur la pop avec son premier album. Il sera aussi question des débuts de La Bande des six avec Nathalie Petrowski.