Avec ses moteurs en flamme, l'X-Odus menace d'être désintégré à tout instant. Et les linguistes extrémistes se disputent pour savoir si l'on doit dire un chiotte ou une chiotte. Entre les deux problèmes, l'équipage débat pour savoir lequel est le plus urgent.
Le Commodore découvre qu'une arme dévastatrice est à bord du vaisseau. Et quelque part, un bouton pourrait déclencher l'apocalypse. Mais une nouvelle fracassante balaye ces inquiétudes. L'astre vers lequel se dirige l'X-Odus : c'est la Terre !
Cortex a peut-être injecté du sang de labrador au Commodore pendant sa vaccination. Létik estime que si le leader de l'X-Odus se transforme en chien, il faut le remplacer. Pour s'en assurer, le Commodore va subir un test de décanisation.
La découverte d'un sablier déchaîne les passions. Le Commodore et Létik sont convaincus qu'il s'agit d'une machine à voyager dans le temps. Le Commodore voudrait aller dans le passé. Létik dans le futur. Chacun a ses raisons secrètes. Leur dispute est violente.
Un météore gigantesque fonce sur l'X-Odus. Il faut évacuer. Mais il ne reste qu'une seule capsule d'évacuation. Le Commodore se l'attribue. Létik la lui conteste. Qui aura le courage d'affronter la mort ? Qui aura le courage d'assumer le déshonneur de la fuite ?
Les épuisettes de Cortex, plantées sur les parois extérieures du vaisseau, ont capturé quelque chose. Sûrement une forme de vie. C'est le branle-bas de combat pour accueillir un potentiel extra-terrestre à bord. Ou un membre de la famille, si ça se trouve.
Le Commodore a fait une connerie. Létik saute sur l'occasion pour citer les textes de lois des grands anciens. Selon elles, si le Commodore a fait une connerie, il doit être puni. Il doit montrer son zizi.
Un objet mystérieux retrouvé dans les combles persuade le Commodore que des vampires sont à bord. Bidon, lui, est sûr d'avoir aperçu un mouton dans les soutes. Entre les vampires et un mouton, l'équipage doit donc se préparer à affronter deux monstres sanguinaires.
Un organisme mystérieux est enfermé dans un caisson étanche. Ses propriétés, désastreuses ou merveilleuses, ne sont pas claires. Elles pourraient nuire au Commodore et à l'institutrice Skrabeul. Létik va tout tenter pour faire ouvrir le caisson.
Le Commodore a un peu sous-estimé le pouvoir du peuple. Désormais planqué dans les soutes, sous les hurlements de la foule, il attend d'être lynché, et fait le bilan de sa carrière. Il s'était imaginé une mort moins pathétique.