Grâce au bénévolat et à leur implication, Karine et ses enfants réussissent à s'en sortir; atteinte de fibromyalgie, Karine ne peut pas travailler; chose certaine, la famille ne chôme pas; par sa débrouillardise, elle arrive à boucler la fin du mois.
Emmanuelle était dans la classe moyenne; suite à sa séparation, sa vie financière bascule; aujourd'hui, elle a recours à une banque alimentaire pour nourrir ses deux enfants; elle fait tout pour s'en sortir et donner une vie normale à sa famille.
Immigrants mexicains, Célia, Gilberto et leurs deux enfants vivent avec 1300 $ par mois; Célia refait ses études en soins infirmiers pour pratiquer ici et dans le but d'avoir une vie meilleure; ensemble, ils trouvent des astuces pour économiser.
Quand le congélateur de Claudine et Marieve est plein, la vie va bien pour cette famille de six; par ses recherches et ses initiatives, Claudine a permis à deux de ses garçons de jouer au hockey; Marieve travaille pour nourrir toute la famille.
Suite à l'incendie de leur maison, Manon et Serge se sont endettés; malgré tout, ils réussissent à faire fonctionner leur compagnie de déménagement, à avoir un toit et de la nourriture sur la table.
Nathalie, mère monoparentale, tente de reconstruire sa vie personnelle et financière; autrefois victime de violence économique, elle retourne à l'école pour trouver son indépendance et pour montrer à son fils que tout est possible, même si on a peu.
Emmanuel Komi et sa famille immigrent du Togo avec 25$ en poche; avec son doctorat en main, il croyait s'offrir une vie meilleure au Québec; surqualifié, il travaille hors de son domaine; sa femme Ruth travaille aussi, mais ce n'est pas suffisant.
Danielle a travaillé toute sa vie comme auteure; à 72 ans, sa vie bascule et elle se retrouve sans le sou; pour survivre, elle fait du bénévolat dans un comptoir d'aide alimentaire.
Après un choc post-traumatique, Steve ne peut plus travailler; sa compagne Lorraine a dû se résigner à cesser de travailler avec une condition physique précaire; une fois les dépenses payées, ils doivent survivre avec 20 $ en poche par mois.
Arrivée au pays en 2017, Sarra a vécu la première année avec 10 000 $; depuis décembre, elle travaille à temps plein et peut vivre une vie presque normale avec son fils de 3 ans et demi; malgré tout, elle demeure tout de même sous le revenu viable.
Esther a toujours été une entrepreneure dans l'âme; venant d'un milieu modeste, elle a décidé de démystifier les tabous, de réaliser son rêve et d'avoir sa propre ligne de vêtements.
Suite aux inondations de Sainte-Marthe-sur-le-Lac en avril 2018, Caroline et Hugo ont dû faire démolir la maison qui avait vu grandir leurs deux enfants; une situation qui a bouleversé cette famille qui reste toutefois unie à travers les obstacles.
Stéphane et Annick ont un emploi; parents de deux enfants, ils composent avec plusieurs microprêts accumulés et doivent prendre une décision importante quant à leur santé financière.
Mère monoparentale de quatre enfants, Julie a vécu de mauvaises expériences en raison des logements à prix modiques; elle doit de plus jongler avec les besoins spéciaux de ses enfants, ce qui l'empêche d'occuper un emploi à horaire typique.
Repartir à zéro comprend son lot d'embûches financières; Thomas et sa famille arrivent au Québec pour refaire leur vie; Thomas est retourné aux études en soudure; grâce à l'entraide de la communauté, leur fin de mois est moins pénible.
Danielle avait un bon emploi gouvernemental, mais pour des raisons de bien-être mental et physique, elle a décidé de devenir sa propre patronne; financièrement fragile, elle multiplie les emplois pour subvenir à ses besoins et ça lui réussit bien.
Jonathan, père de deux jeunes filles, vit simplement avec un revenu annuel de 26 500 $; par sa débrouillardise et sa volonté de vivre en communauté intentionnelle, Jonathan boucle les fins de mois en ne dépensant que pour l'essentiel.
Marie a eu plusieurs métiers; entrepreneure dans l'âme, elle a investi beaucoup dans ce qu'elle gère.
Francine avait un très bon salaire; un accident de travail est venu tout faire basculer; incapable de se retrouver un emploi qui respecte ses limitations physiques, elle doit demander l'aide sociale.
Un an plus tard, Jean-Marie prend des nouvelles de Manon et Serge, qui avaient perdu leur maison l'an passé, Emmanuelle, qui a fait faillite, ainsi que Karine, qui ne peut travailler dû à la fibromyalgie, mais qui s'implique toujours bénévolement.
Un an plus tard, on reçoit des nouvelles de Lorraine et Steeve ainsi que de Danielle, qui a dû apprendre à composer avec la maladie; Jean-Marie rencontre Sarra et la famille Kounakou, qui étaient venues s'installer et tout recommencer au Québec.