La première séquence de la web-série bruxelloise " Nic et Flup te racontent Bruxelles" se penche sur une question de la plus haute importance. Comment reconnaître un zievereir, ce personnage bien bruxellois que l'on rencontre souvent dans les estaminets de la capitale belge.
Dans cette séquence, Nic et et Flup te font découvrir l'un des fleurons du patrimoine gastronomique bruxellois : le Bloempanch. Appelé aussi "jambon du congo" il se déguste avec une bonne klouche de moutarde. A Bruxelles, on trouve même une allée du bloempanch dans le célèbre quartier des Marolles.
Nic et Flup se penchent sur une page d'histoire bruxelloise. Bruxelles est la seule ville qui a érigé une statue en l'honneur d'un citoyen qui a refusé de payer ses impôts; François Anneessens. Si ça ce n'est pas du surréalisme à la belge...
Nic et Flup vous aident cette fois à mieux faire la différence entre le brol, le bucht et le vlek. L'occasion d'évoquer aussi un haut lieu bruxellois, le marché aux puces de la Place du jeu de balle dans le quartier des Marolles.
Cette fois, Nic et Flup évoquent le symbole même de Bruxelles ; le Manneken Pis. Ce pauvre petit bonhomme obligé de montrer son tich ( zizi pour ceux qui "cosent" pas le bruxellois) à tous les touristes qui rigolent de lui et qui ne savent même que la statue de la rue de l'Etuve est en fait une copie. Mais alors, où le VRAI Manneken Pis ? Nic et Flup l'ont retrouvé et vous disent comment le reconnaître des autres copies.
Nic et Flup nous emmènent cette fois au "Galgenberg". Occupé depuis le 19e siècle par l'impressionnant Palais de Justice de Bruxelles, bâti par Joseph Poelaert, ce lieu fut longtemps, le Mont des Potences. Et l'on peut dire qu'il fût une époque où ça balançait pas mal au Galgenberg. Aujourd'hui tout ce qu'on y risque, c'est de se faire écraser. Une séquence historique façon zwanze bruxelloise.
Nic et Flup se penchent sur l'un des grands mystères gastronomiques bruxellois : Les choesels. Un plat typique que l'on a toutes les difficultés, aujourd'hui, à trouver à la carte des restaurants bruxellois.Un plat dont on se demande quels sont vraiment les ingrédients ? Un bel exemple de zwanze bruxelloise sur un sujet...très délicat. Amateur de cuisine légère et âmes sensibles s'abstenir...
Nic et Flup évoquent le tram à Bruxelles. Bruxelles sans tramway serait comme une couque au beurre sans raisins, comme une frite sans sel, comme une Rodenbach sans grenadine. Seulement voilà les trams d'aujourd'hui n'ont pas vraiment le charme de ceux d'hier... Zwanze et nostalgie sont au rendez-vous dans ce nouvel épisode qui met en avant un humour bruxellois plein de truculence.
Nic et Flup nous plongent dans le passé de Bruxelles, à l'époque ou les bateaux arrivaient jusqu'au centre de la ville pour décharger leurs marchandises. Une séquence sur le Port de Bruxelles entre Histoire avec un grand H et zwanze bien bruxelloise.
L' Ommegang est un des événements majeurs de la vie culturelle et folklorique de Bruxelles. On vient du monde entier pour y assister. Cette reconstitution historique en costume du cortège présenté en 1549 à Charles Quint et son fils Philippe II n'a pas manqué d'inspirer Nic et Flup, toujours prêt à étaler leur culture sur une bonne tartine de zwanze.
La légende bruxelloise de Sainte Gudule raconte que le diable pour l'empêcher de prier, n'a trouver d'autre tourment que de souffler sur sa bougie pour la plonger dans le noir et l'empêcher de rejoindre ainsi sa chapelle. La version de Nic et Flup est fidèle à la légende. Quoique...Avec ces deux conteurs zwanzeurs, il faut s'attendre à quelques surprises...
Le lambic, c'est la vraie bière bruxelloise ! Artisanale, avec des levures sauvages ! Elle ne s'importe pas et refuse de rentrer dans une bouteille. On ne peut donc la boire qu'à Bruxelles. Elle devrait être inscrite au patrimoine alcoolique de l'Unesco. Nic et Flup nous propose une séquence qui les plongent dans la grande ivresse des profondeurs...dans tous les sens du terme.
Les français l'appellent bulot tandis qu'en Belgique on le nomme caricole. Ce gastéropode, servit dans un bon bouillon poivré, se déguste dans les rues de Bruxelles. Ajoutez-y un peu de zwanze et l'animal a de quoi séduire tout le monde...sauf les touriste chinois. Pourquoi ? Il suffit de regarder la vidéo...
A Bruxelles, Saint-Michel est partout : sur les plaques des avenues et des "strotjes", sur les drapeaux, les camions, les poubelles… et bien sûr tout en haut de la flèche de l’Hôtel de Ville de Bruxelles, Il faut dire que ce Saint Patron, est un super-héros à qui rien ne résiste et certainement pas le diable. A part peut-être, le démon de midi... Nic et Flup te propose une bouffée d'histoire sainte...sans filtre.
Le roi n'est pas son cousin et on le croise facilement dans les bistrots bruxellois. Le stoeffer ne peut s'empêcher de se vanter et d'en remettre une couche en toute occasion. Il fait partie de la galerie des personnages bruxellois truculents dont on aime à se moquer. Nic et Flup ne s'en privent pas dans cette nouvelle séquence de zwanze bien bruxelloise.
Les bruxellois sont surnommés "les kiekefretters" , littéralement les bouffeurs de poulets. Mais d'où vient ce surnom ? Nic et Flup nous proposent une explication anecdotique et zwanzesque.
Parmi les manifestations folkloriques bruxelloises importantes, le Meyboom remonte au Moyen-Age et commémore la victoire de braves archers bruxellois contre des louvanistes venus chercher la bagarre dans une noce. Depuis, tous les ans au mois d'Août, on plante à Bruxelles l'arbre de Mai... Oui ça paraît bizarre...mais rien ne s'y déroule comme ailleurs. Quand au "buumdroeger", c'est tout simplement un porteur d'arbre.
Avec le printemps, il sort sa grande échelle, ses pots de peinture, sa grosse brosse : le façadeklacher. Sa bataille contre les mouches qui vont se "plekker" sur les murs fraîchement recouvert de peinture commence ! "Façadeklacher" une expression typiquement bruxelloise qui désigne un peintre en bâtiment et parfois aussi un artiste peintre qui au lieu de vouloir devenir un Grand Maître comme Rubens aurait mieux fait de se contenter de peindre au mètre carré.
Les Bruxellois ont de tous temps fait appel à la protection de nombreux saints patrons comme Saint-Michel qui a sa cathédrale et dont la statue domine la cité du haut de la flèche de l'hôtel de ville. D'autres sont peut-être moins illustres mais n'en sont pas moins chers au cœur des bruxellois. Tel est le cas de Saint-Géry qui a donné son nom à l'île qui est à l'origine même de la ville et qui fût autrefois un sacré pourfendeur de dragons. Quoi ? Des dragons à Bruxelles ? Hé oui...enfin au moins un.
Bruxelles ne manquent ni de statues ni de fontaines. Mais étrangement, celles-ci sont loin d'être immobiles. Elles se déplacent d'un coin à l'autre de la ville au gré des projets d'aménagement des boulevards, des places, des rues... C'est ce qu'on appelle le phénomène bruxellois des monuments à roulettes. Nic et Flup ne pouvaient manquer de zwanzer là-dessus...