Après des années d’enquête, les gendarmes font toujours face à une énigme. Il faut tout reprendre à zéro. Une nouvelle procureure tente de retrouver l’arme du crime, si particulière. Il s’agit d’une vieille arme suisse datant de la Première Guerre mondiale. Même si elle a été fabriquée en nombre réduit, la quête de cette arme est un travail de fourmi qui s’étend pendant des mois, dans plusieurs pays. Des années après la tuerie, les services des douanes alertent la section de recherche : des armes suisses ont été identifiées et leurs propriétaires vivent à côté de Chevaline. Le GIGN est saisi pour une interpellation musclée : on n’a jamais été aussi proche du but.