Les alibis de tous les suspects identifiés tiennent, mais il reste une dernière inconnue : l’identité du motard que tous les témoins disent avoir aperçu aux abords de la tuerie le jour J. Le dernier scénario auquel croient les enquêteurs implique ce motard. C’est peut-être lui le tueur. Et si ce n’est pas lui, il doit forcément avoir vu l’auteur ou le protéger. Un portrait-robot circule. L’homme est pisté par toutes les polices de France et d’Angleterre.
Après avoir cherché dans tous les magasins de casques de moto (les témoins parlent d’un casque bien particulier qui n’a été produit qu'en quantité réduite) et avoir scruté tous les registres des téléphones qui se sont connectés dans la zone le jour de la tuerie, la gendarmerie finit par identifier le motard. Sa garde à vue réserve d’incroyables rebondissements.
The alibis of all identified suspects hold up, but one last unknown remains: the identity of the motorcyclist whom all witnesses claim to have seen near the scene of the massacre on the day it happened. The investigators' latest theory revolves around this motorcyclist. He might be the killer. And if he isn't, he must have either seen the perpetrator or be protecting him. A composite sketch is circulating. The man is being tracked by police forces across France and England. After searching every motorcycle helmet store (witnesses described a very distinctive helmet that was only produced in limited quantities) and scrutinizing all phone records of devices that connected to the area on the day of the massacre, the gendarmerie finally identifies the motorcyclist. His interrogation in police custody leads to astonishing twists.