Louis-François profite de l’ouverture d’une deuxième succursale de son café « Chez Cheval » pour parler du parcours qui l’a amené à faire des affaires. Il nous fait part des bases de sa philosophie.
Louis-François parle de son lien avec les médias, rencontre Ooya, une entreprise qui a attiré son attention, et il emmène son fils voir les gars de Roch le Coq, un resto dans lequel il a investi.
Ooya et Roch le Coq, deux entreprises fondées par des camarades, font face à des défis. Le besoin de vacances se conjugue mal avec les affaires. Louis-François se lance dans un projet avec son frère.
Est-ce possible d’être vulnérable quand on fait des affaires? Louis-François et son frère nous dévoilent leur projet d’achat d’une usine et comment ils doivent compter sur leurs forces mutuelles.
Louis-François et son frère Jean-Michel visitent l’usine qu’ils vont acheter. Le duo découvre les particularités du repreneuriat. On assiste à la remise des clés de l’usine.
Les frères Marcotte continuent à courtiser Ooya. Ils rencontrent aussi les employés de leur usine pour la première fois. Ils réfléchissent à la manière de conserver la culture de l’entreprise.
L’usine à peine achetée, Louis-François et son frère vont rencontrer d’autres partenaires et visiter des fabricants de « fauxmage ». Avec leur mère, ils parlent de leur manière de faire des affaires.
Louis-François secoue les gars de Roch le Coq, qui lui annoncent une grande nouvelle. Avec son frère, il revient sur leur partenariat et sur leur méthodologie de travail.
