Les Verts se donnent comme défi de réinventer le concept d’écotourisme. Ils mettent sur pied le « Tour brun » des Verts et amènent des touristes visiter certains désastres écologiques causés par les activités humaines et industrielles dans la région de Montréal. Dans le Ring des Verts, Christian Vanasse s’attaque aux « petits gestes » écologiques et à la propension humaine à générer trop de déchets, qui nous coûtent cher collectivement. Dans l’Éco-confesse, Emmanuel Bilodeau s’accuse de rêver posséder un « gros char » polluant.
Les Verts relèvent le défi de vérifier si leurs corps absorbent certains contaminants chimiques présents dans l'environnement. Ils se soumettent à une expérience pour vérifier si en changeant leur alimentation et l’air qu’ils respirent, ils peuvent modifier la quantité de contaminants présents dans leur organisme. Les Verts se placent en Zone d'inconfort en faisant l'autopsie de sacs à ordures retrouvés sur la rue. Dans l'Éco-Confesse, Jean-Philippe Wauthier s'accuse d'être un grand consommateur d'eau chaude.
Confronté au dilemme de l'automobile, Frédéric et Jean-Sébastien se mettent au défi de rouler de façon écologique. Ils se rendent à Victoriaville où ils testent une voiture Diesel convertie à l'huile végétale. Ils rencontrent le professeur Dany Picard qui leur explique comment ça fonctionne. On les suit dans leur quête d'huile de friture usée dans les cantines de la région. Sur leur chemin, le spécialiste de l'énergie et professeur à l'UQAC Luc Gagnon leur expose les pours et les contres des biocarburants et explore les alternatives au pétrole.
Les Verts se mettent au défi de préparer un repas cinq services avec de la nourriture trouvée dans les poubelles. Sachant que près de la moitié de la nourriture mise en vente est gaspillée, Frédéric et Jean-Sébastien partent à la chasse aux trésordures dans les vidanges des supermarchés. Ils trouvent effectivement une grande variété d'aliments, parfois même encore dans l'emballage d'origine. Ils rencontrent ensuite Philippe Fravalo, spécialiste des bactéries pathogènes alimentaires à l'Université de Montréal, qui évalue si les aliments récoltés sont comestibles. Jean-François Archambault, fondateur de la Tablée des chefs, arrive ensuite pour les sensibiliser au gaspillage alimentaire à la maison, et les aider à concocter un repas cinq services qu'ils serviront au père de Frédéric. Ne manquez surtout pas le verdict de ce repas de trésordures!
Les Verts tentent de vivre à pied pour valoriser le transport actif non polluant. Ils mènent aussi une opération «guérilla» pour sauver le Pietonus urbanus, une espèce menacée par les villes construites pour favoriser l’automobile. L’aventure débute par une expédition hors du commun : faire leurs courses à pied sur une artère commerciale typique, le boulevard Taschereau, à Brossard. Les Verts se rendent ensuite dans un quartier typique de Montréal, où ils déroulent le tapis rouge pour permettre aux piétons de traverser une intersection habituellement interdite aux piétons. Dans l’Éco-Confesse, Stéphane Bellavance s’accuse de gaspiller de l’eau pour rincer les contenants destinés au recyclage. Kim Cornelissen, vice-présidente de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique, affronte dans le Ring des Verts le mythe selon lequel l’éthanol dans l’essence est une bonne chose pour l’environnement.
Les Verts se mettent au défi de manger des protéines animales ayant la plus petite empreinte écologique possible. Autrement dit, manger protéiné sans nécessairement manger végé. Dans l'Éco-Confesse, Sébastien Diaz s'accuse de prendre des sacs en plastique à l'épicerie. Les Verts se placent en Zone d'inconfort de pollution de l'air, dans le trafic et à vélo.
Les Verts s’attaquent au gaspillage de l’eau potable. Ils se donnent comme défi de diminuer de moitié leur consommation personnelle d’eau potable. Puisque les réseaux d’aqueduc vétustes sont les premiers responsables du gaspillage de l’eau au Québec, ils aident ensuite les cols bleus de Montréal à colmater des fuites. Dans l’Éco-Confesse, Cathy Gauthier s’accuse de surchauffer sa maison. Le cardiologue François Reeves affronte dans le Ring des Verts la croyance selon laquelle l’environnement ce n’est pas important parce que ça ne tue personne.
Les Verts se donnent comme défi de se sensibiliser à leur consommation d'électricité et de faire leur part pour la réduire. Ils poussent l'exercice de rationalisation en produisant leur propre électricité avec des méthodes non traditionnelles. Dans l’Éco-Confesse, Liza Frulla s’accuse de faire fonctionner sa voiture inutilement avec un démarreur à distance. Cette semaine, dans le Ring des Verts, Dominique Champagne nous parle de nucléaire.
Les Verts se donnent le défi de sauver du site d’enfouissement un objet du quotidien qui est souvent jeté dès qu’il est brisé : le grille-pain. Ils feront tout pour que leur objet chéri soit recyclé en entier. Dans l’Éco-Confesse, Sophie Faucher s’accuse de mener une double vie entre Montréal et les Laurentides. Les Verts se placent en Zone de confort pour conduire une automobile de manière écologique.
Les Verts se mettent au défi de vivre une semaine en produisant le moins de déchets possible. Ils accumulent tous leurs déchets chez eux, pour bien voir les obstacles à la mise au régime de leur poubelle et de leur bac de recyclage. Ils tentent d’utiliser leurs propres contenants à l’épicerie pour minimiser les emballages, font leur toilette presque sans générer de déchets, et sortent au cinéma armés de leur trousse anti-déchets. À la fin de la semaine, leurs déchets sont exposés au public. Dans l’Éco-Confesse, Jean-Thomas Jobin s’accuse de ne pas s’informer sur la provenance des aliments qu’il achète. Dans le Ring, Johanne Elsener s’attaque à la méchante banlieue.
Les Verts se mettent au défi d’aider les Québécois et les Québécoises à se préparer aux changements climatiques. Si la tendance se maintient, les experts prédisent un réchauffement global de 4 degrés Celsius d’ici la fin du siècle. Le Québec ne sera pas épargné et les changements climatiques auront des impacts concrets sur notre environnement, notre économie et notre mode de vie. Les Verts mettent sur pied l’Unité d’intervention pour l’adaptation aux changements climatiques (UIACC) et deviennent en quelque sorte des vendeurs pour faire la promotion de leur trousse d’adaptation aux changements climatiques auprès du public. Ils tenteront de vendre des objets qui deviendront peut-être essentiels aux citoyens vers l’an 2065. Dans l’Éco-Confesse, Chantal Lamarre s’accuse de ne pas avoir été une mère aussi verte qu’elle l’aurait voulu. Les Verts se placent en Zone de confort de bâtiment durable. Dans le Ring des Verts, Christian Vanasse nous dit s’il faut sauver la Terre ou non.
Cette semaine, les Verts se mettent au défi de rafraîchir leur garde-robe sans mettre la planète à nu. Fred et JS se placent ensuite en zone d'inconfort en analysant l'impact environnemental de la pelouse. Et dans l'éco-confessionnal, Fred reçoit le comédien Antoine Vézina qui lui confie pécher chaque jour en consommant son café dans une tasse en carton.
Cette semaine, les Verts se mettent au défi de réduire l'impact de l'environnement sur les bébés et de réduire l'impact de bébé sur l'environnement. Dans l'éco-confessionnal, Fred reçoit l'animateur et comédien Charles Lafortune qui s'accuse d'un péché électronique : l'abus de téléviseurs. Finalement, dans le ring des Verts, Maxim Martin, humoriste citoyen préoccupé par l'environnement, s'attaque au mythe qui dit que les écolos sont contre tous les projets de développement.
Les Verts se mettent au défi de renverser la tendance du rite funéraire à grosse empreinte environnementale. Dans l'éco-confessionnal, Réal Bossé confie son péché : la multiplication de moteurs à combustion. Finalement, dans le ring, Fabien Durif affronte l'idée selon laquelle les Québécois sont les plus verts.
Frédéric Choinière et Jean-Sébastien Busque se mettent au défi de s'attaquer au supposé problème d'image des environnementalistes et tentent du même coup de raviver l'intérêt du public pour l'environnement. Dans l'éco-confessionnal, Frédéric reçoit Catherine Trudeau, qui s'accuse de gaspiller de la nourriture.
L'habitation a un grand impact sur l'environnement. C'est pourquoi les Verts se mettent au défi de tester la tendance de la réduction de la maison, ce que l'on appelle en anglais, le downsizing. Dans l'éco-confessionnal, Sophie Cadieux s'accuse d'avoir nettoyé ses pinceaux à grande eau dans le lavabo.
Plus du quart de nos abeilles meurent chaque année et la majorité des espèces végétales qui nous entrent dans la nourriture destinée aux humains, dépend de la pollinisation par les insectes. C'est pourquoi les Verts se mettent au défi tester l'apiculture urbaine comme solution au déclin des abeilles. Sous la supervision d'Alain Péricard, apiculteur biologique et formateur en apiculture urbaine, ils installent leur ruche dans la cour d'une maison en plein coeur de Montréal. L'apiculture urbaine s'est développée entre autres parce que l'habitat naturel des abeilles est menacé. Dans un champ de maïs, JS et Fred rencontrent Madeleine Chagnon, professeure associée au département des sciences biologiques de l'Université du Québec à Montréal. Elle leur explique les différents problèmes que cause aux abeilles l'usage des pesticides néonicotinoïdes dans les grandes monocultures. Après trois mois d'apiculture urbaine, les Verts récoltent le fruit du labeur de leurs abeilles. Ils font le bilan de leur expérience et procèdent à l'extraction du miel. Mélissa Girard, agronome spécialisée en mélissopalynologie, (l'étude du pollen dans le miel) analyse le pollen contenu dans le miel de Fred et JS pour savoir si les abeilles ont eu accès à une diète variée en ville. Alain Péricard affirme que l'apiculture urbaine est surtout utile pour sensibiliser le public au rôle des pollinisateurs, mais que si rien n'est fait pour contrôler les pesticides le déclin va se poursuivre. Finalement, Fred et JS organisent une dégustation publique de miel de ville.
Les Verts se mettent au défi de démystifier le « BIO » et de voir si c'est une meilleure option pour l'environnement, notre santé, et notre portefeuille. Pour y voir plus clair, Jean-Sébastien et Frédéric commencent par un test de goût comparatif et à l'aveugle. Ils dégustent des tomates, des pommes et des carottes bios et conventionnelles. Quel légume sera meilleur au goût? Ils partagent ensuite leurs résultats avec la diététiste et nutritionniste Geneviève Nadeau, qui leur apprend l'absence d'études scientifiques au sujet du goût des aliments issus de l'agriculture biologique. Elle nous parle également de l'un des grands avantages du bio, soit le fait que les aliments biologiques ne comportent pas de traces de pesticides. Les gars quittent l'assiette pour se rendre au champ de Gilles Audette, un des plus gros producteurs du Québec spécialisé en agriculture biologique. Il défait entre autre le mythe du petit producteur grano sans rendement. Gilles explique à Fred et à JS comment il faut toutefois penser autrement la manière de cultiver et de voir l'agriculture de demain qui passera fort probablement par le bio. Si l'agriculture biologique à grande échelle est possible, peut-elle nourrir la planète? Les gars posent la question à Benoit Girouard, président de l'Union paysanne, qui en confirme la possibilité. Il rappelle que l'humanité a déjà vécu de l'agriculture biologique pendant 10 000 ans, avant l'arrivée de l'agriculture moderne, il y a à peine 50 ans. Fred et JS se rendent ensuite à l'épicerie pour constater qu'il est très difficile pour le consommateur de se retrouver dans les multiples appellations dites « bio ». Ils donnent quelques conseils afin de repérer plus facilement les aliments bios dans les tablettes. Le consommateur peut chercher certains mots sur les étiquettes : biologique, bio, organic, écologique ou biodynamique car, dans ce cas, ça veut dire que le produit a été certifié par un organisme indé