La danse sociale d’antan, avec ses sous-sols en préfini, sa musique cheap et ses costumes quétaines est une époque révolue. Aujourd’hui, la danse sociale se modernise, gagne des adeptes grâce à l’engouement pour les émissions de danse télévisées, et s’est transformée en danse sportive de haut niveau, permettant à ses adeptes d’être de plus en plus reconnus comme des athlètes à part entière au niveau mondial. Richard propose une incursion dans le Championnat du monde professionnel 10 danses, à Valleyfield, question de démystifier la discipline et d’interroger des amateurs. Nous aurons aussi la chance de nous immiscer dans une famille qui, des grands-parents jusqu’aux petits enfants, en passant par les cousins, vit une passion dévorante pour la danse sociale et sportive. Au total, une douzaine de danseurs et danseuses, avec le célèbre Jean-Marc Généreux comme cerise sur le gâteau, se sont réunis pour nous dans la maison familiale de Boucherville, équipée d’un studio de danse au sous-sol! Ce sera peut-être l’occasion pour Richard de ressortir ses meilleurs pas de danse de l’époque où il se faisait aller le popotin sur des rythmes endiablés… Benoît s’entretient avec Luc Grenon, professeur à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke, un spécialiste des avantages fiscaux dont bénéficient les organismes à caractères religieux et leurs généreux donateurs. Alors que débute la période de préparation des Pâques juives, des produits comme le chocolat kasher, la confiture, les olives, les croustilles, la margarine, en fait tous les aliments courants importés pour la fête juive, bénéficient d’un dédouanement et d’une exemption de taxes de vente! En fait, tous les organismes à caractère religieux au Canada bénéficient d’une série de mesures fiscales qui les allègent de leur responsabilité à contribuer au trésor public. Est-ce que subventionner l’avancement des religions fait vr