Christine, la nièce de Bonaventure, se fait agresser par un inconnu. Elle prévient son oncle qui, la sentant en danger, demande à son ex-femme de la placer en lieu sûr, dans son couvent. Ensemble, Gérard et Thérèse tentent de trouver les causes de cette tentative de meurtre et se rendent à l'appartement de Christine. ils y découvrent le corps de sa co-locataire.
Soeur Thérèse est appelée par une femme dont la fille a disparu depuis trois mois. La police n'a rien trouvé et a conclu qu'elle s'était enfuie avec son compagnon Marco. C'est Gérard, sur le point de partir en vacances avec sa nouvelle amie Lucie, qui lui a envoyée. Thérèse parvient à convaincre Gérard d'aller faire un tour sur le lieu d'habitation du couple disparu et dans le jardin, sous un arbre, ils découvrent un corps, celui de Marco.
Gérard est en garde-à-vue, accusé de viol par Carole Levallois, une de ses indics. Si Gérard se veut rassurant et confiant, Thérèse se montre néanmoins inquiète, et ses mauvais pressentiments ne tardent pas à se confirmer puisque le corps de Carole est retrouvé dans la cave de son appartement. La jeune femme a été tuée d'un coup de pistolet. En menant sa petite enquête, Thérèse découvre que la mère de la victime, Leslie, était une prostituée à la tête d'un réseau de prostitution sur Internet. Leslie vivait avec Albert Brossard, un criminel arrêté par Gérard grâce aux informations fournies par Carole. Mais l'affaire ne tarde pas à se compliquer. Leslie était également liée à Jean-Louis Desportes, qui n'est autre que le futur préfet de police de Paris. L'enquête s'annonce donc particulièrement délicate, d'autant que les premières analyses prouvent que la balle qui a tué Carole provient du pistolet de Gérard
Soeur Thérèse vole au secours de Soeur Florence, impliquée malgré elle dans le meurtre de Gilles Granat, célèbre chef d'un restaurant gastronomique. Avec la bénédiction de la mère supérieure et du commissaire Mazaud, Soeur Thérèse va aider son ex-mari et ex-collègue, Gérard Bonaventure, à découvrir le véritable visage du tueur.
Soeur Thérèse est réveillée en pleine nuit par Anna, la jeune femme qui restaure les statues du couvent. Elle prétend avoir tué, Hugo, son petit ami. Thérèse se rend compte qu'elle n'est pas coupable et en enquêtant auprès du voisinage avec Bonaventure, apprend qu'Hugo était un arriviste prêt à tout pour que sa peinture soit reconnue et qu'il était aussi l'amant de Florence Dutilleux de trente ans son aînée.
Un homme affolé frappe à la porte du couvent avec sa fillette dans les bras. La Mère Supérieure reconnaît tout de suite monsieur Cheng, qu'elle a bien connu autrefois quand elle était missionnaire en Chine. Elle l'accueille à bras ouverts ainsi que son adorable fille, Sue-Li, âgée de neuf ans. Pour la religieuse, le droit d'asile est sacré. Cheng est désemparé. Un homme a été tué dans un bureau où il fait le ménage de nuit. Il jure n'y être pour rien. Il a, d'ailleurs, appelé la police avant de se raviser, persuadé qu'on allait l'accusé de meurtre. En effet, Cheng explique qu'il a touché l'arme du crime, un extincteur plein de sang qu'il a ramassé dans la pénombre après s'être cogné dedans. Par ailleurs, il était apparemment seul dans les locaux à cette heure...
Soeur Thérèse a été invitée à la radio pour débattre avec Rémy Couty, le voyant qui monte. Soudain, le medium a un flash et annonce en direct que son ami libraire, Hermelin, est en train de se faire tuer. Ensuite, Couty s'évanouit. Soeur Thérèse se rend à la ibrairie et constate avec stupeur que tout est vrai.
Un beau matin, le couvent du Moulin du prieuré reçoit un don anonyme de 50 000 euros. Soeur Thérèse ne tarde pas à découvrir que leur mystérieux donateur est un chauffeur de taxi, gagnant du dernier tirage de la Loterie parisienne. Malheureusement, le pauvre homme n'aura pas le temps d'en profiter... Soeur Thérèse, venue le remercier, le découvre assassiné à son domicile. La Mère supérieure encourage Thérèse à résoudre cette nouvelle énigme. Le capitaine Bonaventure s'en réjouit car, autour de ce nouveau millionnaire, les suspects ne manquent pas
Le couvent change de mère supérieure, plus austère et revêche. Le courant passe mal avec les sœurs du couvent. En parallèle, Bonaventure, quitté par son amie, sauve une fille du suicide, et cette dernière commence à devenir plus pressante. En plus, il doit s'occuper du meurtre d'un coiffeur renommé.
Alors que le capitaine Bonaventure vient interroger le propriétaire d'un bateau-restaurant sur les quais de Seine, il découvre que ce dernier a été assassiné d'une balle dans le coeur. L'arrestation d'un suspect sur les lieux du crime devient un cauchemar lorsque le policier croit avoir à faire à Soeur Thérèse. En effet, la femme qui essayait de fuir le bateau après l'arrivée de la police ressemble comme deux gouttes d'eau à son ex-femme...
Branle-bas de combat au Couvent. La Mère Supérieure attend l'arrivée imminente d'Astrid sa petite nièce qu'elle n'a pas vue depuis cinq ans. Parallèlement, Benoît Morin, patron de "reussir ses rencontres.fr", célèbre site de rencontres sur Internet, débarque en panique à la PJ afin de signaler une découverte macabre.
En route pour le pélérinage de Lisieux avec le couvent au grand complet, Soeur Thérèse découvre le cadavre d'un cycliste dans un fossé. Un banal accident de la route selon les gendarmes. Mais Soeur Thérèse doute de cette version, convaincue que la victime a été assassinée. Elle glisse le numéro de Bonaventure dans la poche du défunt, laissant croire qu'il s'agit de son indic... Ainsi, ce dernier doit venir sur place élucider l'affaire. Les voici donc réunis pour apprendre que cet homme appartenait à une communauté, les Rigonites, qui vit en autarcie non loin de là. La communauté, solidaire, protégerait-elle l'assassin ? Pour le savoir, Soeur Thérèse décide de s'introduire dans le hameau en se faisant passer elle-même pour une Rigonite. La voici donc affectée aux travaux des champs et à la traite des vaches alors que le chef de la communauté commence à se méfier d'elle...