"Rape and revenge", viol et vengeance : c'est un genre cinématographique. Avec ses codes. Avec ses passages obligés. Un genre, rappelle Rafik Djoumi, né du film gore, lui-même né de la libéralisation des mœurs des années 70. ""Quand on s'est rendus compte que la nudité n'était plus sulfureuse, il a fallu trouver des choses qui choquent. Du sexe choquant".