Katharina Locher se rend dans une région de forêts, au Nord de la Suisse, dans le canton de Soleure. C’est dans ce paysage de contes de fées que nous découvrons un jardin d'artiste, on se trouvent aussi des oiseaux, des anges, des chaussures, des chevaux et même un groupe de lutrins
Katharina Locher découvre un petit bijou dans le village d’Oberrieden, au bord du lac de Zürich. Ce n'est pas seulement la taille du jardin qui est particulière, mais aussi son emplacement car il se trouve au beau milieu d'une zone agricole. Pour un jardin ornemental, c'est plutôt rare.
En se baladant dans la vieille ville de Berne, difficile d’imaginer que pas loin d'ici poussent des baies, des arbres et des légumes. Depuis la place de la cathédrale, on aperçoit un grand jardin urbain, en contre-bas. Cet espace de verdure est ouvert à quiconque veut le jardiner.
Kurt Aeschbacher se rend dans le canton des Grisons, dans une vallée connue pour ses nombreux villages, juchés dans les hauteurs. Dans le village de Rothenbrunnen, se cache un jardin paradisiaque, comme un petit morceau de montagne niché entre les maisons.
Kurt Aeschbacher nous emmène dans le canton de Bâle-Campagne. Plus précisément à Böckten, un village de 800 âmes. C'est ici que se trouve un jardin tout à fait particulier. Il est le fruit d’une collaboration entre une artiste et un architecte.
Cet épisode met le cap sur la montagne. En dessous du col de la Strela, dans les Grisons, trône un insolite jardin alpin. Ce jardin botanique, l'Alpinum Schatzalp, est perché à 1900 mètres d'altitude, au-dessus de Davos, la ville la plus haute d'Europe, et recèle quantité de plantes de haute altitude.
Kurt Aeschbacher nous invite au bord du lac de Bienne, à Sutz-Lattrigen, où des propriétés affleurent le lac. On trouve ici de très beaux jardins. Le portail de l’un d’eux est dissimulé par une imposante forêt de bambous. À peine entré, on se croirait dans une jungle exotique.
Nous voilà en Suisse centrale, dans le canton de Nidwald. Les fermes du village sont éparpillées dans les collines, et nous rencontrons un couple qui cultive et jardine avec tout son cœur et toute son âme. Elle est artiste, il est architecte et ils forment un duo très créatif.
Le canton de Thurgovie est parfois désigné comme le verger de la Suisse. Kurt Aeschbacher visite un jardin dont on parle beaucoup sur internet car ses propriétaires en ont fait un véritable lieu de vie, un salon en quelque sorte.
Bienvenue à l’abbaye de Hauterive. Cet imposant bâtiment, construit il y a environ 900 ans, se situe près de la ville de Fribourg, sur les rives de la Sarine, dans un paysage entouré par une falaise de grès. Dans cet édifice baroque, vivent aujourd’hui 18 moines cisterciens qui entretiennent un superbe jardin.
Dans cet épisode qui clôt cette saison de « Histoire(s) de jardins », Kurt Aeschbacher et Katharina Locher retrouvent à Zurich tous les jardiniers qui durant l’été ont ouvert leurs portails, présenté leurs plantations et dévoilé leurs secrets.
Celui-ci se compose d’un verger, d’un jardinet traditionnel orné de nombreux pots hébergeant des arbustes sur lesquels poussent des agrumes, ainsi que d’un parterre de roses.
Dans son "Jardin Debussy", Anne explique sous quelle forme se produit la rencontre avec la musique, l'une de ses passions, et aussi comment les petits jardins peuvent être conçus de manière efficace.
Le jardin d’Edith Basler et de Martin Vogelsang est situé au-dessus du village vaudois de Rossinière, sur un alpage à 1300 mètres d’altitude. Les défis à surmonter en matière de jardinage sont non seulement l’altitude, mais aussi l’emplacement qui n’est autre qu’un flanc escarpé de la montagne.
Un jardin biblique a été aménagé à côté de l’église catholique de St-André à Gossau, selon les conseils de l’ancien responsable de la paroisse Alois Schaller. Depuis lors, 70 des quelques 130 plantes mentionnées dans la bible sont cultivées à cet endroit et réparties thématiquement.
Heinz Sommerhalder consacre tout son temps libre à sa passion, les fuchsias. Il les collectionne depuis plus de vingt ans et, désormais, ces fleurs décorent la maison et le jardin par centaines. Chaque année, il achète encore d’autres variétés pour lesquelles il doit trouver un endroit approprié.
Le jardin paysan traditionnel d’Anna-Katharina et Heinz Schwab dans l‘Emmental est conçu dans un style français et délimité par des rangées de buis. Il héberge aussi bien des denrées alimentaires que des plantes décoratives. Derrière la ferme, se trouve un autre jardin avec un étang de baignade.
Alexandra Scholz a aménagé le jardin de sa maison en créant un espace qu’elle a personnalisé avec une touche japonaise. Une rangée de frênes a dû être coupée et depuis lors, son jardin japonais est trop exposé au soleil. Par conséquent, il est nécessaire de le déplacer vers un endroit plus ombragé.
Le jardin d’Ursi et Peter Eichenberger au Tessin est décoré de centaines de plantes différentes. Le climat tempéré du Tessin permet aux plantes « plus exotiques », telles que les camélias, les magnolias et même les agrumes, de se développer particulièrement bien.
Franz Bilger et son épouse Margrit Gähler ont aménagé un jardin naturel sur le site de la ferme familiale. C’est ici que se développent des plantes sauvages indigènes, attirant insectes et autres animaux. Conçu de manière précise et créé délibérément avec différents espaces de vie.
Le jardin potager Rossboden permet à un public de tout âge de réaliser des projets et propositions en relation avec la nature et la culture. Les cours de jardinage pour enfants, très fréquentés, constituent son élément central.
Le best-of diffuse une sélection des images ainsi que des instants les plus beaux et les plus impressionnants parmi ceux qui ont été capturés au fil des dix émissions de la saison.
Collectionner, tester, découvrir de nouvelles essences, réaménager – le jardinage est devenu la grande passion d’Herbert Frei, professeur à la retraite. Au fil des années, il apprend à optimiser un terrain difficile, parfois pentu, en ville, sous un certain microclimat.
Yvonne et Thomas Schindler sont des novices du jardinage. C’est en emménageant dans un moulin, niché dans un jardin aux allures de conte de fée, qu’ils se découvrent cette passion. En cinq ans, ils ont créé un jardin idyllique, conjuguant authenticité et originalité.
C’est un séjour en Angleterre, il y a 21 ans, qui va sceller la passion de Sämi et Liselotte Buess pour les plantes et le jardinage. Sur leurs 2100 m2 de terrain, ils créent alors un véritable paradis où se côtoient potager, allée de roses, prairies, murs en pierre et parterres à l’anglaise.