L'Allemagne accélère le processus d'extermination des juifs d'Europe. La "solution finale" est amorcée. Face à ce phénomène, la Résistance s'implique avec des réussites notoires ou des échecs cuisants. Dans le même temps, des juifs refusent le sort qui leur est fait, organisent leur survie et parfois prennent directement les armes...
Après El-Alamein et Stalingrad, la défaite du IIIe Reich semble désormais un horizon plausible. La Résistance devient alors un moyen de préparer la Libération à travers le combat des maquis et les sabotages. Par ailleurs, le service du travail obligatoire imposé par l'Allemagne, dans la plupart des pays soumis à son joug, fait basculer une partie hésitante de la population qui désormais s'engage.
L’Allemagne intensifie la répression contre les résistants. L’amélioration des techniques policières d’infiltration conduit à des massacres systématiques ainsi qu’à la déportation massive des prisonniers politiques. Mais la perspective d’un débarquement allié active tous les réseaux, aussi bien dans la lutte armée que dans le renseignement...
Durant les mois qui précèdent la Libération, les attentes sont immenses. Mais entre conflits internes et unification, la Résistance oscille. Une majorité espère que la Libération provoquera une nouvelle donne politique et sociale. Une partie redoute le poids des communistes. Mais par leurs décisions, les grands alliés ont déjà réglé le sort de bien des pays...