À la fin des années 60, l’immense majorité des territoires de chasse et de pêche au Québec est réservée à l’usage exclusif d’une minorité qui représente 0,5 % de la population. Bientôt, la bataille d’un groupe de chasseurs et de pêcheurs deviendra celle de tous les Québécois qui veulent se réapproprier leur territoire.