Chicot et sa femme, Phémie, vivent au rythme réglé du travail des champs. Le souci du moment, c’est l’agonie du beau-père de Chicot. Prévoyant et avisé, Chicot met en route les préparatifs de l’enterrement, qu’il fixe au surlendemain samedi, en accord avec le maire. Il commence une tournée dans les environs pour annoncer le décès. La nuit et la journée passent, et le vieux respire encore. Impossible de décommander l’enterrement. Quand les premiers invités arrivent le lendemain : il n’y a toujours pas de défunt ! On commence néanmoins à manger et à boire ! De temps en temps, quelqu’un va visiter le mourant, qui respire encore…