Le "Totenbuch", littéralement "livre des morts", registre où fut consignée la mort de 8320 prisonniers soviétiques en moins de cinq mois. Témoin et cause de la souffrance des prisonniers, la baguette du chef d'orchestre du camp, qui rythmait chaque jour une cadence de marche mortelle pour chacun. Les photos prises en cachette par un membre héroïque du Sonderkommando, pour capturer des preuves visibles de l'indicible.