Les kolbars, littéralement en kurde « ceux qui portent sur leur dos », risquent leur vie en traversant une frontière : celle qui sépare l’Iran de l’Irak. Quand ils ne meurent pas de froid, de chute ou d’explosion de mines, ils sont la cible des garde-frontières. En 2020, 61 kolbars ont été tués, 181 autres blessés, mutilés ou torturés.