À l’école Lucien-Pagé, une des plus pauvres de Montréal, le taux de décrochage dépasse les 50 %. Pour renverser la vapeur, on y a créé des programmes destinés à garder les jeunes sur les bancs de l’école : à travers la pratique soutenue de la danse ou du basket, on arrive à motiver et encadrer des jeunes qui pourraient autrement tout lâcher. Alder Pierre, lui-même issu du programme de basket, est revenu enseigner à Lucien-Pagé pour poursuivre un travail qui fait toute une différence.