Samir Kamel entame sa 52e année d’enseignement. C’est un prof de la vieille école : en classe, il porte le sarrau, écrit à la craie sur un tableau vert et essaie de transmettre l’amour des mathématiques à ses deux classes de 32 raccrocheurs. À l’école Marie-Anne, on a choisi de tourner le dos aux formules plus « modernes » adoptées par certaines écoles. On mise tout sur les relations humaines, l’encadrement et la force du lien entre professeurs et élèves. Et ça porte fruit !