Marie-Clémence, Diane, Guillemette et Ombeline sont des femmes dites “bien-nées”. Issues d’un milieu privilégié marqué par les codes et les traditions, elles ont fréquenté les meilleurs établissements scolaires, ont reçu une éducation religieuse et ont appris les bonnes manières. Leur soif de liberté les a poussé à rompre avec leur destinée familiale.