Une période difficile. Battu deux fois dans son comté aux élections, il reste chef du Parti québécois, mais non sans connaître une légère déprime. Son caractère et sa façon d'agir ne rallient pas tous les membres de son parti, où on commence son leadership. Son malaise se répercute dans sa vie privée: il n'est pas facile à vivre pour la femme qui partage sa vie. Néanmoins, sa ténacité et sa détermination le servent bien, et il réussit à solidifier l'esprit du Parti québécois jusqu'au soir de la grande victoire inattendue du 15 novembre 1976.