Die Atacamawüste im Norden Chiles birgt riesige Mengen an Rohstoffen. Der Abbau vor allem von Kupfer frisst sich durch die trockenste Wüste der Welt und hinterlässt Spuren der Zerstörung. (Text: arte)
Le sous-sol chilien est riche en nitrate, en argent, en lithium et surtout en cuivre. Les précieux minerais sont exportés dans le monde entier. Grandes consommatrices d’eau, ces exploitations captent l’eau des rivières dont dépendent pourtant les paysans.
Le désert d’Atacama, à l’extrême nord du Chili, regorge de matières premières. Ici, l’industrie minière grignote le désert le plus aride de la planète, laissant derrière elle un spectacle de désolation. Pendant des millénaires, les habitants ont réussi à cultiver ces terres difficiles. Mais sans l’eau que les mines accaparent pour satisfaire leurs énormes besoins, leur culture semble promise à une disparition à plus ou moins brève échéance. 360° - GEO a rencontré dans les villages andins déshérités des « indigènes » aux ressources étonnantes. Ils n’ont pas encore baissé les bras dans leur lutte pour l’eau.