Une intervention «coup de poing» lors d'une prise d'otages provoque la mort d'une jeune femme. Le commissaire Zappa, grièvement blessé, sombre dans un profond coma. Voilà François Kléber au chevet de son ami, en proie à une grave crise morale. Son supérieur, Cordina, rend en effet Zappa responsable de la mort de la jeune femme, ce que Kléber ne peut pas se résoudre à admettre. Il serait plutôt enclin à considérer que l'incompétence de Cordina est à l'origine de ce désastre. Il démissionne. Après quelque temps passé au pied du lit de douleur de Zappa, Kléber secoue enfin sa torpeur. Son ami se réveille. Contacté par la DGPN, le commissaire reprend du service, mais en exigeant de ne dépendre de personne et de choisir ses collaborateurs...
Esther rentre dans son parking. Elle y trouve Léo, un petit garçon visiblement paniqué, qui refuse de parler. Secondée par François Kléber, elle tente de retrouver les parents du garçonnet. Les premières pistes ne sont guère encourageantes. Il en ressort surtout que l'oncle du petit Léo, Eric, est un dangereux psychopathe. Kléber comprend rapidement que le triste sire entend bien réunir dans la mort le petit garçon et ses parents, en une macabre mise en scène. Ayant fait lui-même les frais d'une famille déchirée, Eric ne peut en effet pas supporter que son frère Arnaud se soit séparé de sa femme. François Kléber et ses acolytes décident de se servir de la débrouillardise du petit Léo pour mettre son oncle hors d'état de nuire...
François Kléber décide de mettre un terme aux agissements pour le moins condamnables d'une bande de malfrats. Il n'imagine pas de moyen plus efficace que de prendre ses adversaires en flagrant délit. Pour ce faire, il utilise un stratagème efficace mais risqué : infiltrer le gang. Dans un premier temps, son plan semble fonctionner à merveille ; puis les choses basculent. Les gangsters mettent Kléber dans une situation des plus épineuses : ils s'en prennent à la coéquipière du policier, Esther, qu'ils kidnappent. François Kléber est gentiment prié de se surveiller. Mais il n'est pas à court d'idées...
François Kléber est en alerte. Une bande de malfrats dévalise méthodiquement toutes les agences bancaires de la région. Depuis son garage, François Kléber organise l'enquête. Avec ses coéquipiers, il reprend méticuleusement la recherche d'indices et branche son réseau d'informateurs sur l'affaire. Il semble que toutes les données convergent vers la société Technet, une entreprise de nettoyage. Mais les gangsters continuent de sévir. Un sentiment d'impunité semble même les animer depuis quelque temps. François Kléber se rend alors compte que, dans son entourage immédiat, se trouve une taupe qui renseigne régulièrement les malfaiteurs...
François Kléber est injustement soupçonné du meurtre d'un top model. Pour la première fois, le policier se retrouve en prison et goûte contre sa volonté les affres de l'enfermement. Outre le désagrément de la situation, il lui faut côtoyer les malfrats qu'il a jadis arrêtés et qui, bien entendu, ne lui veulent pas que du bien. Esther et Lavista, ses ex-coéquipiers, tentent de sortir leur patron de cette mauvaise passe. Ils décident donc d'enquêter dans le milieu de la mode, afin de percer à jour l'identité du vrai coupable. A force de patience et de recherches, ils découvrent un vaste trafic de mannequins, dans lequel sont impliqués de hauts fonctionnaires...
François Kléber doit assurer la protection de Fabien Milan, un jeune homme menacé de mort. En effet, une mystérieuse organisation, se substituant à la justice, a entrepris d'exécuter sommairement les «assassins d'enfants» - chauffards et autres irresponsables -, et Milan fait partie de ces criminels qu'elle s'est promis d'éliminer. Il est désormais l'objet d'un véritable «contrat» que des tueurs s'apprêtent à exécuter au plus vite. Au départ, François n'a pas de sentiments particulièrement favorables à l'égard de Milan. Pourtant, une étrange amitié naît entre lui et son protégé et il tente d'en savoir plus sur les circonstances qui l'ont amené dans cette situation...