On peut être mou et surdoué. Premier exemple l'holothurie ou concombre de mer est l'animal le plus parasité. Composé d'une bouche d'un côté et d'un anus de l'autre avec 30 cm de matière molle au milieu, il mène la vie dure à tous ses agresseurs. Lassé de servir de planque à des poissons qui entrent en marche arrière par son trou de balle, il lance l'opération "dissuasion spaghetti" qui consiste à expulser de son organisme un bouquet de filaments qui entortillent l'intrus.
Après une présentation, en images et avec les commentaires off de Jean-Pierre CUNY, des différentes formes de vie et de leur comportements, qui seront évoquées tout au long de cette série, ce deuxième volet s'attache à nous faire découvrir la vie sexuelle de certains animaux et certaines plantes.
C'est à l'aide de dessins animés et sur un ton humoristique que Jean-Pierre CUNY raconte le cycle du parasite. Ce cycle est d'abord illustré par le pou vivant sur la peau ou dans les tissus. Ce parasite met 3 semaines pour se reproduire et le virus du typhus vit dans ses crottes.
Le prédateur des prédateurs, c'est l'homme, c'est ce que tend à démontrer ce documentaire, illustré par le commentaire acide et humoristique de Jean-Pierre CUNY : Observation de la chaîne alimentaire en partant d'une fleur, dévorée par des pucerons (images accélérées), lesquels pucerons sont ensuite englués et sucés de l'intérieur par les larves de la mouche "slurp". Pour se protéger des prédateurs, certains insectes prennent cependant des précautions, telle la mygale maçonne ou le scarabée péteur.
La tortue aspirateur gobe les poissons qui passent à sa portée ; le poisson cogneur précipite un oursin sur un rocher pour l'écraser avant de le déguster. On fait devant la caméra une expérience sur des poissons placés devant de faux oursins pour observer leurs réactions. - L'anémone de mer projette des épingles empoisonnées ; explication sur des images au ralenti de l'émission de ces micro-missiles. La limace, elle, avale les missiles de l'anémone, les disposent dans des papilles sur la tête et s'en sert ensuite sur ses proies.
Le schistosome, ver parasite à l'origine de la bilharziose. Le nom de ce parasite signifie "corps fendu", la femelle vivant dans le corps fendu du mâle comme l'explique un dessin animé qui donne la parole à l'un d'entre eux. Pour parasiter le corps humain il doit effectuer un parcours incroyable : sa vie débute dans les eaux des zones tropicales où le bébé schistosome a 24 heures pour pénétrer dans le corps d'un escargot dans lequel il se multiplie, jusqu'à 100 000 fois. Une fois échappés du mollusque ceux-ci, munis d'une queue de propulsion pénètrent la peau humaine jusqu'à une glande sébacée ; ils ont ensuite 8 heures pour percer une veine. Ils entrent ainsi dans le système sanguin et une fois atteint le système hépatique ils se nourrissent de globules rouges, grossissent, se déterminent sexuellement puis s'accouplent ; la femelle entre dans le mâle, se nourrit de globules rouges et pond ses œufs qui s'accrochent à la veine intestinale et retournent dans l'eau par les excréments.
Certains animaux sont capables d'effectuer des prouesses dans certaines circonstances, pour séduire une femelle, chasser ou fuir un ennemi. Tel le héron-équilibriste sur les roseaux au-dessus de l'eau, les pigeons qui rivalisent d'adresse lors des loopings de la parade nuptiale, le bousier mâle (scarabée du désert) qui présente à la femelle convoitée une boule d'excréments afin qu'elle puisse y déposer ses œufs et qui se fait violemment rejeter s'il n'apporte pas ce présent ; dans le désert russe, championnats de boules nuptiales avec parcours, épreuves et obstacles pour ces pauvres bousiers condamnés à traîner sans fin leur boule pestilentielle.
L'expression "Ces dames au salon" étaient utilisées dans les maisons closes pour signifier aux pensionnaires qu'elles devaient se présenter devant les clients. Dans la nature, c'est l'inverse qui se produit : les femelles choisissent les mâles ! Bagarres de mâles : poissons, kangourous, araignées brésiliennes, crevettes, cerfs-volants (insectes) rivalisent de force et de cruauté pour sortir vainqueurs de la bagarre et féconder la femelle convoitée. Les femelles n'hésitent pas à se battre aussi pour protéger leurs œufs, telles ces iguanes des îles Galápagos. Du côté des couples, les animaux primitifs de 2 millimètres appelés collemboles ont une façon bien particulière de se féconder : si la femelle n'est pas satisfaite des dons du mâle, elle l'éjecte violemment grâce à un arrière-train aussi puissant qu'un ressort.
Chaque espèce de luciole ayant son code lumineux, certaines lucioles ont appris à imiter celui des femelles d'autres espèces que la leur. Ce qui leur permet d'attirer les mâles... Pour les manger ! Ceux-ci ont d'ailleurs mis au point un système pour contrer cet odieux piratage. Ce poisson se déguise grâce à des excroissances de chair qui le font ressembler à un rocher recouvert d'algues. Il fabrique avec sa chair une canne à pêche au bout de laquelle frétille un (faux) ver qui attire les petits poissons.
Ce volet des "Inventions de la vie" est consacré à la prédation. Certains animaux et plantes sont pourvues d'armes très sophistiquées et d'une efficacité redoutable pour attraper leurs proies. Les commentaires de Jean-Pierre CUNY analysent avec humour des images étonnantes, de diverses origines (H Stelmann, FWV, SFRS,...).
Jean-Pierre CUNY montre avec humour comment est constituée la vie animale dans le sable du désert et de la mer. Dans la civilisation égyptienne, le scarabée, objet de nombreuses représentations (BT photos cartouches royales de pharaons égyptiens), est considéré comme un animal sacré. Le "scarabée bousier" fabrique à partir d'excréments d'animaux, une boule qu'il offre à la femelle. Un dessin animé montre comment la femelle enterre cette "balle nuptiale", y pond un œuf, et comment il se développe. Les bousiers répartissent dans le sol des excréments d'éléphants et contribuent à la fertilisation du terrain qui malgré tout s'appauvrit avec la disparition des éléphants.
Jean-Pierre CUNY décrit la vie et les particularités de ces animaux. - Près des côtes de Djibouti, dans la Mer Rouge, vivent plantés dans le sable, dans l'eau, les "Bâtons de Djibouti", animaux noctambules de la famille des plumes de mer- Quant aux ophiures dont l'allure évoque celle des étoiles de mer, elles résident dans les trous d'eau des côtes et grâce à leurs cinq bras formés de multiples pattes, elles ramassent le plancton et "nettoient" leurs cavernes envahies par le sable.
Les méduses sont composées de 99% d'eau, et sur les hydres, micro-animaux marins. Naissance, croissance, vie et reproduction sont décrits et toutes les "sortes" de méduses sont évoquées, avec leurs particularités. Gros plans et ralentis aident à comprendre ce que sont ces organismes étonnants.
Les Cténophores sont composés de plus de 99% d'eau et de moins 1% de matière vivante. Documentaire décrivant l'existence de ces créatures (plans au microscope). Également dans cet épisode : les mousses et les animaux reviviscents, capables de se momifier et de ressusciter. Enfin, images des crapauds du désert de l'Arizona, qui vivent une existence brève le temps d'une flaque d'eau.
Jean-Pierre CUNY s'intéresse à la vie des insectes et des plantes, apparus bien avant les dinosaures. C'est au Brésil, sur les berges des fleuves, dans une humidité à température constante, que l'on trouve un fossile vivant : le péripate. Son nom (même étymologie que les péripatéticiennes) signifie qu'il se promène de long en large. Il tient du vers marin et du mille-pattes. Aveugle, il fuit la lumière et se dirige dans l'obscurité grâce à ses antennes. Doté d'un corps articulé, c'est un lobopode équipé de trois vitesses de marche et d'une marche arrière.
Jean-Pierre CUNY raconte comment la vie a de plus en plus perfectionné le vol des insectes. - En lever de rideau, un marsupial de 1kg, le grand Phalanger qui fait des vols planés de 100m. Un dessin animé explique comment la puce a perdu ses ailes, et a dû inventer "le coup de la force tendue" pour se produire dans les cirques, où on la faisait jongler, sautiller... Aujourd'hui elle est menacée par les aspirateurs. L'insecte aux yeux d'or, la Chrysope, (filmée en vol à 1500 images/seconde) a 4 ailes mal synchronisées, mais possède un effet d'hélice.
Jean-Pierre CUNY, avec son humour habituel s'intéresse aux oiseaux : comment et pourquoi ont-ils commencé à voler ? À quoi sert la plume ? Il nous apprend donc que la vie, si elle a inventé la plume pour voler, l'a aussi inventée pour draguer... Rapace en chasse, goéland argenté, fou de Bassan, rouge queue, marabout, pélican, ibis sacré, autant d'oiseaux qui servent d'illustration aux explications de la technique et de l'art du vol, de l'envol au plané, du plané à l'atterrissage".
Va te faire faire un œuf, c'est en gros ce que la vie a dit à chacun des êtres vivants, et sur les images, Jean-Pierre CUNY s'attache à nous le démontrer à travers une série d'exemples particulièrement insolites. Tout commence dans l'infiniment petit, vu au microscope : un microorganisme végétal du plancton se nourrit de l'œuf du copépode, minuscule crustacé péridinien, grâce auquel il pourra poursuivre sa propre division végétative... La plante aurait donc inventé l'œuf, comme tendraient à le prouver les algues laminaires qui elles aussi pondent des œufs pour se reproduire. Sous l'eau, le microscope électronique capte également en direct l'éclosion d'un œuf de poulpe : le rejeton perce l'enveloppe de son œuf grâce à un procédé chimique, tandis que celui de la sépiole utilise à la fois enzyme et épine perforatrice. Toujours au rang des éclosions surprenantes, celle de la seiche qui doit traverser une membrane aussi souple que résistante ou encore celle des petits calmars.
"La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe "... Qu'a-t-il donc fait ce malheureux crapaud pour être taxé d'une telle infirmité. Qu'on le filme entrain de tirer la langue (qu'il a fort longue), de manger un vers, ou bien de copuler, qu'on se le dise, il ne bave pas ! Pourtant à travers les siècles le crapaud a été le mal aimé des hommes, baveur, obsédé sexuel, taxé de maléfique. Le puritanisme aidant, même les naturalistes se sont acharnés sur lui, et non des moindres, Cuvier, Lacépède... Pourtant la réalité est toute autre. Le crapaud n'est amoureux que 3 semaines par an et peut se taxer d'être un père porteur et accoucheur.
C'est avec sa pertinence et son humour habituels que Jean-Pierre CUNY nous conte dans ce nouveau volet l'histoire de ceux qu'il nomme les "salopards". L'histoire du mélèze, arbre nommé "pionnier" car il s'installe là où les autres ne le peuvent pas : altitude élevée (2.500m), versants Nord, couloir d'avalanches. La main de l'homme a rompu l'équilibre en le plantant un peu partout. Au printemps à ses pieds pousse le "melezin" peuplé de chenilles appelées chenilles tordeuses du mélèze. En effet elles tordent les aiguilles pour en manger l'intérieur. Tous les 8 à 10 ans, la tordeuse explose. Le mélèze est avalé par des dizaines de fils de soie. En 6 semaines une forêt peut être ravagée. L'homme fait alors appel à un "mercenaire salopard", une guêpe qui pond ses œufs sur les enfants des autres...
Jean-Pierre CUNY propose de découvrir le comportement particulier de certaines espèces animales et végétales dans leur milieu naturel : les chenilles processionnaires, l'abeille solitaire, l'oiseau indicateur et le hêtre. Toujours avec humour, Jean-Pierre CUNY décrit ces étonnants comportements. Sur des images de chenilles en procession, Jean-Pierre CUNY raconte comment le naturaliste FABRE a poussé ces chenilles à aller ainsi jusqu'à les faire tourner en rond.
À l'aide d'images réelles et un recours au dessin animé, Jean-Pierre CUNY raconte toujours avec son humour, l'histoire du "pdg" qui désire un gazon anglais sans l'ombre d'une mauvaise herbe ou d'une fleur. Raymond LAFONT, véritable président-directeur général à Monaco et Christiane GARDOU, botaniste au Muséum d'histoire naturelle prêtent leur concours respectivement dans le rôle du "pdg" et de sa femme. Jean-Pierre CUNY apparaît à l'écran pour introduire cette histoire qu'il qualifie de "botanique fiction".
Qui et comment dans la nature s'occupe de ses "enfants"? Telle est la question posée par Jean-Pierre CUNY. Pour illustrer l'indifférence des "géniteurs" dans le domaine végétal deux exemples sont avancés : le concombre à trappe (ou cornichon sauteur) qui éjecte ses graines à la vitesse de 15 mètres secondes (pression de trois atmosphères) et la scutellaire (ou plante petite cuillère) qui utilise la pluie comme contrepoids pour les catapulter. Les chenilles sont orphelines. Pour éviter les dangers elles utilisent divers moyens : projection d'odeurs nauséabondes, défense au moyen de poils urticants ou dissimulation. Cela ne leur évite pas d'être la proie des guêpes qui pondent leurs œufs dans la chenille vivante.
Depuis l'éponge qui a fabriqué un animal pluricellulaire la vie n'a cessé d'inventer des associations de cellules vivantes jusqu'alors indépendantes, mais aussi des associations de pluricellulaires. L'association la plus évoluée chez les mammifères supérieurs est celle du jeu. Diverses séquences illustrent ces affirmations : un furet joue dans un appartement avec un chien berger allemand et un chat. Une petite fille nettoie le furet au moyen d'une éponge. Après une brève explication concernant la formation et le mode de vie de cette dernière quelques images de crabes qui utilisent des morceaux d'éponge taillés pour se dissimuler. Les termites ont dissocié socialement les taches : pendant que les ouvrières ramassent les feuilles mortes qui vont servir à cultiver les champignons dont se nourrissent les larves, les sentinelles à grosse tête surveillent les alentours et donnent l'alarme.
Jean-Pierre CUNY s'attache, à l'aide de commentaires aussi pointus qu'humoristiques, à nous présenter la mouche, insecte guère apprécié par l'homme. CUNY nous montre quelques pauvres mouches prises au piège par différentes plantes carnivores. Il nous propose ensuite de mieux connaître l'anatomie et la physionomie de la mouche. À l'aide de très gros plans, d'animations et d'images au ralenti, nous sont présentés : les yeux à visions panoramiques de l'insecte, sa technique de vol et d'atterrissage, sa "trompe" système gustatif. Après avoir rappelé que les mouches sont de parfaits vecteurs pour le transport de germes ou bactéries de toutes sortes, on apprend (avec des images de ponte) que la mouche se reproduit d'une manière exponentielle mais que ce phénomène est stoppé par des pièges naturels tels que la liane rafflesia.
Jean-Claude CUNY montre que si l'homme a eu besoin du blé, le blé a également bien profité de l'homme. Mieux, cette "collaboration" blé-homme profite à des espèces animales comme les rats, les chevreuils et les fourmis.
Jean-Pierre CUNY nous apprend comment les petits d'animaux, livrés à eux-mêmes, organisent leur autoprotection ou comment leurs parents s'arrangent pour pourvoir à leur sauvegarde.
Dans cet épisode on voit comment l'instinct maternel dont on a pu dire qu'il n'existe que chez la femme) es présent en tous cas dans le monde animal: chez les singes, les loutres de mer, le sternes ou "hirondelles de mer" (qui créent des jardins d'enfants), les sauterelles, les loirs, les vipères, les hérissons, et enfin les musaraignes : lesquelles baladent leurs enfants, littéralement "à la queue-leu-leu" pour ne pas les perdre...
Documentaire sur la façon dont les différentes races d'oiseaux nourrissent leurs petits. Énumération pour différentes espèces de leurs pratiques d'alimentation, de la répartition des tâches entre le père et la mère, et de la construction du nid. Commentaire off et fond musical sur des images de leur vie quotidienne.
C'est "l'idée" de la sexualité qui a poussé la vie à inventer les fleurs. À partir de là, elle s'en est donné à cœur joie. Dans cet épisode, on assiste à une présentation de mode de la maison de couture "renoncules". On considère ensuite une sauge étonnante, celle des prés. On voit la fleur mime (dénomée Mimulus) "protester" contre un pollen qui ne lui convient pas...et d'autres fleurs inventer des techniques incroyablement sophistiquées pour s'assurer que leur pollen arrivera bien là où il doit arriver. On passe de "l'orchidée pistolet à colle" à la fleur qui tue des abeilles "sans l'avoir voulu", parce que son piège à pollen n'est pas assuré contre les accidents du travail...
Jean-Pierre CUNY se penche, à l'aide d'animation et de vues microscopiques, sur la vie secrète et passionnante de quelques espèces de champignons, du myxomycète à la levure de bière en passant par le pézize, le champignon du cognac, celui du caca de grenouille, l'ergot de seigle ou la centaurée jocea et le tout avec humour.
Cet épisode nous fait découvrir toute la complexité de la vie de famille. Une maman cloporte aquatique (ce qu'on nomme communément "puces de mer") colle ses bébés sur une antenne flexible de sa fabrication pour les exposer sans les perdre au flux oxygéné de la marée et c'est contre des fausses mamans, qui prétendent les manger, qu'elle défend ses petits. Une fausse maman pinson perturbe la sexualité d'un oisillon d'une autre race, en l'élevant à sa façon : c'est l'imprégnation sexuelle par une maman porteuse de malentendus.
Les espèces animales qui "s'en sortent mieux" sont celles qui vivent en société : Trois exemples sont pris parmi les oiseaux, et l'on commence par constater cette chose étonnante : que les vautours sont des êtres parfaitement civilisés. Non seulement ils ont organisés, entre eux, la division du travail, mais ils ont mis au point un système dont les hommes feraient bien de s'inspirer : celui qui mange avant les autres est toujours celui qui a le plus faim. La marche d'intimidation par laquelle il le fait savoir est un langage admis. Et chaque vautour a droit d'avoir son tour de préférence... au restaurant des abats.
Cet épisode de la série s'attache à décrire la vie du bourdon, depuis sa naissance au sein du nid jusqu'à ses relations avec les plantes. Ces dernières semblent totalement adaptées aux différentes morphologies des bourdons ; cependant, il est difficile de savoir lequel s'est adapté à l'autre au cours de cette co-évolution plante-animal..
Documentaire consacré à la vie des oiseaux et mettant en valeur, dans trois lieux différents, le rôle de la complémentarité des espèces permettant une cohabitation pacifique.
Documentaire qui décrit de manière détaillée la façon dont les abeilles mémorisent les couleurs et dont elles communiquent.
La vie, pour s'exprimer, ne demande pas toujours la parole. C'est ce que nous montre ce documentaire à l'esprit didactique, qui s'intéresse aux modes de communication des animaux et des fleurs, à l'aide de nombreux exemples.
Documentaire consacrée à l'histoire des hybridations de roses qui ont donné naissance à des fleurs toutes différentes. De Joséphine Bonaparte, "l'impératrice des fleurs", à Grace de Monaco, en passant par l'œuvre de Pierre Joseph REDOUTE, le peintre des fleurs, une illustration en images de l'histoire européenne de la reine des fleurs.
Cet épisode - conçu dans l'esprit de ce que fut "L'aventure des plantes" et en même temps dans l'esprit de la série "Les inventions de la vie" - nous fait visiter quelques-unes des grandes roseraies créées après celle de l'Haye les Roses près de Paris. On jette ainsi un coup d'œil sur "le plus grand rosarium du monde", celui de Sangerhausen en Allemagne (ex de l'Est) et aussi sur la roseraie de Dortmund.