Écoles et hôpitaux bombardés, civils tués d’une balle dans la nuque, viols, tortures… : ces crimes de guerres présumés en Ukraine sont semblables aux témoignages venus des terrains syrien et malien, où agiraient les milices russes Wagner. Sauf qu’en Ukraine, la Cour pénale internationale est déjà au travail. Pour comprendre comment elle fonctionne, sortons nos cartes.