Découvrez le premier épisode de la web-série de Première : Une séance presque parfaite, présenté par Axel Lattuada.
L'équipe d'Une séance presque parfaite s'intéresse au principe de la sérendipité appliqué au cinéma ou comment une erreur se transforme en une idée géniale. Comment Spielberg a eu l'idée de ne filmer que l'aileron du requin dans Les dents de la mer ? Comment est né le fameux bruit des sabres laser dans Star Wars ? Découvrez le dans ce nouvel épisode !
Découvrez le troisième épisode d'Une Séance Presque Parfaite, consacré aux films maudits. Avec Axel Lattuada.
4e épisode de notre série Une séance presque parfaite, consacrée au sexisme au cinéma et incarnée par Axel Lattuada
L'équipe d'Une séance presque parfaite s'intéresse ce mois-ci au concept de la suspension consentie de l'incrédulité.
L'équipe d'Une séance presque parfaite s'intéresse à l'exception culturelle française.
Après des vidéos consacrées aux bons films, au concept de la sérendipité et de films maudits, au sexisme dans le cinéma, le mensonge à l'écran ou encore l'exception culturelle française. Une séance presque parfaite s'attarde cette fois-ci sur la rentabilité dans l’industrie cinématographique. Pourquoi et comment sont gérés les flux monétaires dans l’industrie cinématographique : de votre place de cinéma au budget du dernier Avengers, en passant par votre pop-corn, mais aussi comment se finance et se rembourse un film après ses entrées en salles… Vous saurez tout sur le cinéma business avec Une séance presque parfaite.
Pourquoi les films sortent-ils le mercredi en France ? La réponse dans cet épisode d'Une séance presque parfaite !
Après des vidéos consacrées au sexisme au cinéma, à l’exception culturelle française et à la rentabilité, Une séance presque parfaite s'attaque au cinéma transgressif. Car tous les grands réalisateurs sont passés par là. Par des films transgressifs, avant de faire du cinéma plus populaire, à l'image de Brian de Palma et sa Carrie ou encore Jeunet et Caro, avec Delicatessen...
Avez-vous déjà entendu parler de la folie des grandeurs d'Alejandro Jodorowsky pour l’adaptation de son Dune, à la longueur et au casting démentiels ? Ou encore des ambitions de Stanley Kubrick et les dépenses folles de son Napoléon ? Flavio oui, et il vous en dit plus.