En 2002, deux tableaux sont dérobés au Van Gogh Museum d’Amsterdam. Récit rocambolesque d’un vol spectaculaire, raconté par les malfaiteurs eux-mêmes.
1994. Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver de Lillehammer, des cambrioleurs dérobent dans la Galerie nationale d’Oslo le tableau le plus connu d’Edvard Munch, "Le cri". Les soupçons se portent rapidement sur l’ex-footballeur norvégien Pal Enger. La police norvégienne et Scotland Yard se lancent dans une opération d’infiltration et parviennent finalement à confondre le voleur.
En 1983, plusieurs chefs-d’oeuvre de la peinture italienne, dont "La Madone Esterházy" de Raphaël, sont dérobés à Budapest. Récit rocambolesque d’un vol audacieux, raconté par les malfaiteurs eux-mêmes.
1969. Nuit d’orage à Palerme. Un des derniers tableaux du Caravage, "La Nativité avec saint François et saint Laurent", disparaît mystérieusement. La rumeur ne tarde pas à se répandre : Cosa nostra, la mafia sicilienne, serait derrière ce vol. Mais à ce jour, l’enquête n’a toujours pas abouti et cette toile grand format n’a pas refait surface. Elle compte parmi les dix oeuvres d’art les plus recherchées par le FBI.
1979. Gotha, en RDA. Cinq toiles de maîtres hollandais sont subtilisées de nuit dans le château baroque de Friedenstein qui surplombe la petite ville médiévale. La police judiciaire et la Stasi suivent de nombreuses pistes et font passer plus d’un millier d’interrogatoires, sans résultat. Quarante ans plus tard, un avocat contacte le maire de Gotha pour négocier le prix de la restitution des tableaux.
À Miami, un malfrat français pense avoir décroché le jackpot lorsqu’il apprend que des trafiquants de drogue veulent acheter des oeuvres d’art européennes. Quelques mois plus tard, des tableaux de Bruegel, Monet et Sisley sont dérobés au Musée des beaux-arts de Nice. Mais les choses ne se passent pas comme prévu...