Le rêve de René GRELIN était de fréquenter des champions cyclistes et de finir sa vie sous les cocotiers. La première partie est réalisée, bien qu'il dû, comme le montre les archives NB, abandonner en 71 le Tour de France, après l'ascension du Galibier. La deuxième partie, c'est maintenant, sous le soleil du Burkina-Fasso où il entraine des Burkinabés à souffrir sur leurs vélos comme de vrais petits français...mais la rigueur et la discipline n'est pas la même qu'en France, et puis les difficultés matérielles font que parfois les apprentis champions s'entrainent le ventre vide. (Benoît Mariage 1997)