Dans ce premier épisode, le vaillant Pipomantis (qui combattait une vilaine grippe ce jour là, soyez cléments) s'est entouré de Puyo la légende ainsi que de notre sémillant Meeea, qui officie chez nous dans l'émission 24 FPS, mais également sur son excellente chaîne YouTube et dans le magazine Video Gamer Rétro. Mais Rétro Dash, c'est aussi une émission en construction qui va évoluer au fil du temps et de vos remarques - que l'on espère aussi bienveillantes que possible. Par exemple, bien que cet épisode se concentre sur le curriculum vitae d'un studio, nous ne nous interdirons pas de varier nos sujets pour parler d'une console, d'une année, d'une série de jeux ou bien d'un game designer de légende.
Comme dit dans le premier épisode, Rétro Dash tâtonne. Du coup les épisodes se suivent et ne se ressemblent pas. Après avoir décortiqué la ludographie des Bitmap Brothers, notre équipe de choc (composée de Pipomantis, Puyo et Meeea - également chez nous sur 24 FPS) revient sur ses jeux préférés de la Mega Drive. Sans aucune volonté d'être exhaustive ou de vous faire un top des meilleurs titres de la console, l'équipe évoque plutôt ses souvenirs, personnels et intimes. Alors oui, peut-être que votre jeu préféré n'y est pas ou que cette licence cultissime que vous aimez tant s'est fait la malle mais promis, on a encore clairement de quoi faire pour un deuxième volet à l'avenir.
Après avoir parlé des Bitmap Brothers et fêté avec leur coeur les trente ans de la Mega Drive, nos rétrodasheurs d'amour ont fait un bond de vingt ans dans le passé pour passer en revue les différentes sorties de l'année 1998. Metal Gear Solid, Fallout 2, Half-Life, The Legend of Zelda : Ocarina of Time, Starcraft... autant de jeux cultes qui ont autant marqué les coeurs que l'industrie du jeu vidéo. Et tous sont sortis en 1998, année charnière pour de nombreux studios et éditeurs. Démocratisation des jeux d'infiltration, début de l'âge d'or de Square, grande période pour le PC... C'est incroyable ce que le jeu vidéo a pu se construire comme légende(s) grâce à cette année. Dans la joie et la bonne humeur, notre équipe constituée de Pipomantis, Puyo et Meeea (qui nous gratifie également de la série 24 FPS sur Gamekult Premium) fait un tour - forcément - non exhaustif de cette année en essayant de voir ce qu'on en a gagné (ou perdu) vingt ans après. Excellent visionnage !
Le temps passe passe passe et beaucoup de choses ont changé, les consoles de votre enfance sont maintenant miniaturisées ♫ et c'est donc l'occasion idéale pour se pencher sur elles dans ce quatrième épisode de Rétro Dash ! NES Mini, Neo Geo Mini, Super NES Mini, PlayStation Classic... ces dernières années ont vu une explosion des consoles hautes comme trois pépins de pomme et il nous paraissait important de revenir sur les plus importantes d'entre elles avant le jour fatidique de Noël. Qu'il s'agisse de la qualité des objets, de la fidélité des jeux ou des choix éditoriaux des éditeurs sur chacune des machines, nos infatigables rétrodasheurs décortiquent ces adorables presses-papier de luxe. Avec cette fois-ci une petite surprise puisque notre Meeea national laisse sa place à un nouveau challenger en la présence de Patrick Hellio, journaliste et auteur freelance, notamment dans les colonnes Premium de Gamekult.
Que vous l'ayez découverte en 1996 avec son tout premier épisode et son chien casse-vitres ou en 2005 avec son quatrième qu'on ne présente plus, vous avez forcément déjà croisé le chemin de la série Resident Evil. Virus, zombies, forces spéciales et autres blonds ténébreux sont au programme de ce généreux épisode de Rétro Dash, à l'occasion de la sortie de Resident Evil 2 Remake. On passera évidemment en revue les épisodes numéraires de la série, mais également les jeux annexes un peu plus intéressants ou épatants, qu'il s'agisse de la version GameBoy Color ou des divers jeux de tir accolés à la saga.
Ca y est, il y est arrivé ! Epuisé par ses connaissances et son regard aussi perçant que troublant, Pipomantis a enfin bouté Puyo hors de Rétro Dash - ne vous en faites pas, il reviendra dès la prochaine rhoooo. Mais pour parler de Richard Garriott et d'Ultima, il fallait deux experts assermentés. C'est pourquoi nos rétrodasheurs du mois sont Raphaël Lucas (journaliste chez Jeux Vidéo Magazine et Gamekult, auteur - entre autres - des livres L'Histoire du RPG et La saga Legacy of Kain. Entre deux mondes) et Théo "Izual" Dezalay (journaliste chez Canard PC et auteur de l'ouvrage Fallout : Les Mutations d'une saga), qui ont fourbi leurs armes et autres pièces d'armure pour évoquer l'une des série les plus influentes de l'histoire du RPG.
Pour un épisode aussi familial que celui-ci, il était tout naturel que Rétro Dash n'appelle pas ses pimpants invités et se recentre sur son noyau le plus dur. C'est donc en compagnie de Meeea (amateur très éclairé de Disney) et de Puyo (bac+6 en daronnade) que Pipomantis va s'intéresser aux différentes licences de la firme passées par la moulinette du jeu vidéo. Quantité titanesque de jeux oblige, nos rétrodasheurs ne seront pas exhastifs mais tenteront toutefois de traîter les titres les plus importants de cette époque, sans toutefois oublier d'évoquer leurs coups de coeur personnels ou de s'écharper pour savoir quelle est la meilleure version d'Aladdin - spoiler alert, c'est la version Mega Drive.
Quel meilleur camarade que l'auteur des quatre tomes de l'Histoire de Nintendo pour nous conter l'histoire de la Game Boy, pleine de heureux hasards, de coups fourrés et de machinations ? Nous accueillons donc Florent Gorges, co-fondateur de Pix'n Love, fondateur d'Omaké Books et auteur fascinant, pour deviser pendant deux heures de l'histoire de la machine et évoquer ensemble de doux souvenirs en noir et blanc.
Une fois de plus, le sieur Puyo a été violemment bouté hors du plateau de Rétro Dash. Mais c'était pour le bien commun puisqu'il s'agissait d'accueillir l'inénarable Meeea ainsi que le merveilleux Patrick Hellio, qui ont tous deux échangé ressentis et anecdotes sur des titres aussi cultes que Night Trap, Under A Killing Moon ou encore Dragon's Lair, sous le regard amoureux et médusé de Pipomantis. Il fallait au moins ces strikers cinq étoiles pour cet épisode à la longueur exceptionnelle (plus de deux heures et demie !) qui revient sur les balbutiements du genre, son explosion, mais également les expériences plus modernes autour de cette technologie ainsi que ses descendants directs.
Au programme de ce putsch sportif, un voyage dans le temps évidemment, pour retourner aux origines d'un genre apparu très tôt dans les années 70 avant de se développer sur micros-ordinateurs dans les années 80, puis sur consoles et en arcade au cours des nineties. De NASL Soccer à ISS Pro Evolution, de Super Sidekicks à Pelé Soccer, nos experts du cuir et des lacets vous racontent plus de vingt ans d'adaptations footballistiques, jusqu'à la grande rupture temporelle que constitue l'apparition du duel entre FIFA et PES. Graphismes, gameplay, tendance à la simulation ou à l'arcade, représentations et mise en scène, licences officielles ou non, marketing, réalisme : ce trident très offensif réuni en pointe de l'attaque de Gamekult va défricher pour vous l'évolution de ce genre si populaire et en même temps si impopulaire à travers ses premiers âges (avant peut-être de s'attaquer à la suite d'ici quelques mois, qui sait...).
PaRappa the Rapper, Dance Dance Revolution, Guitar Hero, Rock Band, mais aussi Gitaroo Man, Ouendan ou Rhythm Paradise... autant de grands noms (et quelques plus petits) qui ont marqué l'histoire du jeu musical. Pour cette rétrospective d'environ 2h30 (encore un beau bébé), les suaves Pipomantis et Puyo s'accompagnent d'un guest de choc, de charme et de choix en la personne de Yamato, amateur éclairé de tout ce qui fait de la musique quand on tape dessus. Nos trois amoureux vont donc longuement deviser de leurs jeux préférés, des bornes d'arcade les plus improbables et de la meilleure version de DDR (ça se joue évidemment entre le 4th et le 5th Mix, soyons sérieux deux minutes) sans oublier de passer par leurs coups de coeur, leurs chansons de l'amour et autres anecdotes - qui se souvient de Lik Sang ?
Bordélique certes, mais il s'agit là surtout d'un record battu pour cet épisode qui s'approche tranquillement des trois heures de vidéo ! Trois heures durant lesquelles nos Rétrodasheurs d'amour évoquent leurs souvenirs émus (et parfois déçus) d'adaptations de films retrouvées au pied du sapin lors de nombreux matins de Noël pendant les décennies 80/90. Du Robocop, du Jurassic Park, du Batman mais également des titres originaux comme Head over Heels, Pushover et autres Mr. Nutz, sans oublier les portages micro de jeux d'arcade made in Taito ou Konami, Ocean Software était sur tous les fronts et dans toutes les bouches.
C'est un studio japonais qui luit de l'une des plus grandes auras, il faut dire que Treasure a longtemps mis tout le monde d'accord avec un savoir-faire technique et une maestria du design, au sens large, qui ont décroché quelques mâchoires. Une maîtrise qui a perdu des plumes au passage en force de la 3D, certains de ses jeux, notamment des jeux de commande, ne sont pas tous restés dans les annales. Toutefois il n'y a pas de quoi ternir le nom du studio qui a fait venir au monde Gunstar Heroes, Radiant Silvergun, Alien Soldier, Guardian Heroes, Gradius V ou encore Ikaruga, pour ne citer qu'eux. Ces titres posent tout de suite le décor, font fermer les bouches, le mieux c'est d'ouvrir les oreilles pour écouter nos Rétrogaijin parler avec passion de ces jeux découverts durant leur prime jeunesse.
Grand sujet s'il en est, le studio LucasArts est pêut-être l'un des plus grands pourvoyeurs de point & click de l'Histoire du jeu vidéo. Et pour discuter d'un tel sujet, Pipomantis est allé récupérer le dynamic duo du jeu rétro, les Laurel & Hardy des années 80/90, les Brangelina du point & click en les personnes de Patrick Hellio et Sylvain Tastet ! (Au passage, un gros bisou à notre Meeea national que nous n'avons pas pris le risque d'acheminer chez nous à cause des grèves mais on lui fait de gros câlins) Le sujet de l'émission était si vaste qu'on a été obligés de séparer la bête en deux parties. Toutefois, cette première partie ayant déjà la longueur d'un épisode normal, on n'a pas trop l'impression de se moquer de vous. Rangez vos blasters, vos grenades thermiques et vos casques noirs à la porte d'entrée, ici on ne parle pas de Star Wars mais de tous les autres jeux qui ont fait de LucasArts la légende qu'est devenu le studio.
On ne vous refait pas l'histoire, LucasArts a été un mastodonte du milieu. Il suffit de juger sur pièce : Monkey Island, Day of the Tentacle, Sam and Max, Maniac Mansion, Full Throttle, Grim Fandango et on arrête la liste ici. Ne perdez pas plus de temps, il vous en faut pour venir à bout de l'émission la plus longue de l'Histoire de Gamekult (hors live bien sûr). Faites commes Patrick Hellio, Sylvain Tastet et Pipomantis, perdez la notion du temps durant cette seconde partie.
C'est encore et toujours une équipe de choc qui vous retrouve pour ce nouvel épisode de Rétro Dash ! Accompagné du brillant Louis-Ferdinand Sébum et du non moins merveilleux Noddus, Pipomantis va dérouler l'histoire de Doom, du premier au troisième épisode en passant par la mouture 64 (qui n'est pas le 64e épisode, suivez un peu) et même les dungeon crawlers sur mobiles. L'occasion de dérouler les nombreuses (et très différentes) versions du titre sorties sur les consoles de l'époque, comme la version 3DO développée en dix semaines par une seule personne ou encore la version Super Nes qui n'aurait même pas dû exister tant elle maltraite la console. On en profitera aussi pour revenir ici ou là sur le modding, les Total Conversion et le speedrun autour la série, le tout dans une ambiance de fin des temps plutôt détendue où l'on prend même le temps de mettre quelques taquets à Doom 3 et réhabiliter l'épisode 64.
On ne pas se voiler la face, si on vous sert une spéciale F-Zero c'est qu'on adore la série, oui, mais c'est surtout pour avoir l'occasion de déclarer tout l'amour qui nous enflamme pour F-Zero GX. Sorti il y a une quinzaine d'années, il n'a toujours pas trouvé de successeur spirituel lui arrivant ne serait-ce qu'à la cheville, tellement il tapa haut, fort et magistralement sur Gamecube en 2003. On s'attarde sur lui mais on revient évidemment sur tous les épisodes de la série, du premier épisode sur Super Nes en 1990 au dernier sur Game Boy Advance en 2004. Attention ! Cette émission vous fera vous demander très fort "mais pourquoi ils sortent pas un petit remaster tout simple ?", et ça rend triste quand on finit par se rendre compte qu'il n'y a pas de bonne réponse. On chasse les idées noires avec une bonne dose de nostalgie, en feuilletant de vieux magazines dans notre rubrique Rétrozine en fin de programme, mais d'abord on commence par du vieux neuf avec les news rétro.
Pour cet épisode traitant d'un thème (toujours) très vaste, quoi de mieux que deux spécialistes pour discuter des adaptations dans le dixième art des oeuvres du neuvième art ? Ce sont donc les merveilleux Meeea et Raphaël Lucas qui sont invités à déballer leur expertise sur le sujet pour vos beaux yeux. Et on peut dire que les adaptations vidéoludiques de bandes dessinées étaient nombreuses, parfois à la qualité plus que discutable et souvent passées sous la houlette d'Infogrames (y avait-il un lien de cause à effet ? Rien n'est moins sûr...) : Pipomantis et ses deux invités font donc ici le tour des licences franco-belges, notamment Astérix & Obélix, Tintin, Les Schtroumpfs, Lucky Luke... Bref, de quoi contenter les fans de tous les univers, de revenir sur les incontournables de l'époque 16-bit, tout en rigolant avec bienveillance des jeux qui ont traumatisé bien des enfants.
Souvenez-vous : lors du Rétro Dash consacré à Ultima, nous faisions de très gros efforts pour éviter de passer trop de temps sur Ultima Underworld, promettant qu'il aurait un jour droit à son propre épisode. C'est aujourd'hui chose faite, avec ce Rétro Dash tout entier dédié aux Immersive Sims. Ultima Underworld certes, mais également la série des System Shock ou encore ce petit inconnu que l'on appelle Deus Ex... ils seront tous évoqués dans ce Rétro Dash au bon goût d'infiltration prudente et de portes protégées par des codes à quatre chiffres.
On souffle dans sa cartouche (même si ça sert à rien) et on l'insère dans sa bonne vieille Super Nintendo pour ce numéro de Rétro Dash ! La 16 bits du japonais vient de souffler ses 30 bougies, l'occasion toute trouvée de faire le tour des merveilleux cadeaux qu'elle nous a faits au début des années 90. Ce n'est pas un hasard s'il s'est autant vendu de Super Nintendo Mini, la nostalgie est effectivement puissante pour la 16-bit. Il faut dire que celle que l'on nomme aussi Super Famicom ou Super Nes a hébergé une pelleté de jeux cultes : Super Mario World, F-Zero, ActRaiser, Final Fantasy VI, The Legend of Zelda A Link to the Past, Contra III, Super Mario Kart, Star Fox, Donkey Kong Country, Super Metroid, Terranigma, pour ne citer qu'eux. Il nous faut plus de 2h30 pour essayer de faire un tour aussi succinct que possible de l'histoire de la machine, sans pouvoir évoquer chaque jeu important, c'est dire l'étendue de la trace laissée par la SNES.
Vous connaissez forcément son logo, vous avez certainement déjà galéré à prononcer son nom, Psygnosis fait partie des joyaux de la couronne des studios britaniques. S'il a atteint le paroxysme de sa notoriété lors de l'avènement de la PlayStation, avec l'inévitable Wipeout, le développeur avait déjà écrit de belles pages de son histoire auparavant. Barbarian, Shadow of the Beast, Blood Money, The Killing Show, Lemmings, Agony, Hired Guns, Microcosm sont quelques uns des dizaines, et des dizaines de titres que Psygnosis a sortis avant le milieu des années 90. Cette fois-ci Pipomantis est en plateau avec les puits de science que sont Patrick Helliot et Raphaël Lucas. A eux trois, ils essayent de couvrir le long parcours du studio anglais, après avoir passé en revue les news rétro et avant de déterrer les bons vieux magazines de notre jeunesse.
C'est accompagné de Greg, qui a vécu le lancement de la console au plus près, et de Puyo, grand amateur de la machine, que Pipo ouvre la grande boîte aux souvenirs, au centre d'un plateau richement décoré. Si la Nintendo DS a sans doute marqué durablement les esprits, l'équipe de Rétro Dash rend hommage à cette portable en Advance sur son temps, et aux trois variantes qui ont jalonné sa belle histoire. Entre le modèle classique mal éclairé, la GBA SP plus ergonomique que jamais et le modèle Micro pour les happy fews, la console a connu une exposition relativement courte mais sacrément mouvementée. C'est l'occasion aussi d'offrir un panorama complet des jeux les plus marquants de la machine et des pépites qui ont accompagné sa belle vie, entre les Mario, les Wario, les Metroid Fusion et les Mother 3, sans oublier les petits favoris de chacun qu'on vous laissera le soin de découvrir au gré de cette belle émission. Bon visionnage !
Rétro Dash c'est le produit de nettoyage le plus efficace, il dépoussière vos disquettes, vos cartouches et vos CD-ROM en profondeur. Appliquons un Rétro Dash sur du bon vieux Mortal Kombat : quelle puissance ! On vous parle des titres de la série comme s'ils étaient sortis hier. Entouré par Elfrid ‘RZA’ Sandre, pro player de Mortal Kombat et chroniqueur chez Le Stream, et Patrick Hellio qu'on ne présente plus, mais qu'on adore toujours, Pipomantis vous présente un nouveau numéro de Rétro Dash. Vous l'aurez deviné à la présence de RZA, ça va parler de combats mortels, de fatalités et de sang pixellisé. On retrace évidemment l'histoire de la série Mortal Kombat à travers les âges, avant cela on débute par des news rétro, enfin on termine traditionnellement en feuilletant quelques vieux magazines.
Ils règnent sans partage depuis le début du 21e siècle, FIFA et PES sont chacun montés sur le trône de la simulation de football la plus populaire. Chacune de leurs itérations apportant leur petite dose de nouveautés, de profondeur au gameplay. Dans ce Rétro Dash nous revenons évidemment sur ce duel mais également sur bien d'autres protagonistes. Si aujourd'hui PES et FIFA ne laissent pas de miettes, il y a 20 ans ils étaient nombreux à tenter de récupérer la couronne et à se placer sur le créneau du sport le plus populaire du monde. Epaulés par Pierre-Alexandre Conte, journaliste au journal L'Equipe et ancien de la presse jeu vidéo, Puyo et Le Père Fidalbion reviennent en longueur sur ce qui a fait le football virtuel depuis la fin des années 90. Cet épisode vient compléter un premier épisode dédié aux plus vieux jeux de foot, des premières expérimentations jusqu'à la fin des années 90.
Avec son processeur à 485 MHz, ses 40 Mo de RAM, son catalogue de jeux prometteurs et sa connectivité avec la GameBoy Advance, la GameCube avait tout pour plaire sur le papier... sauf que la compétition avait plus d'un tour dans son sac et a rapidement enterré la console de salon de Nintendo. Cela dit, si elle a marqué les esprits des joueurs malgré son aspect de grand jouet, c'est surtout parce qu'elle a servi de terrain d'expérimentations pour les développeurs, comme en témoignent les nombreux titres qui ont rebattu les cartes de genres bien établis (plates-formes, course, survival-horror etc.)
Si le rétro est votre da-dash, venez vous en servir une louche dans ce nouveau numéro de Rétro Dash consacré à une série sacrée du jeu de combat, j'ai nommé Fatal Fury. Si elle est moins populaire que des séries comme Street Fighter ou King of Fighters, Fatal Fury n'en est pas moins fondatrice pour le genre. Avant-gardistes, originales, techniques, les nombreuses déclinaisons de la licence ont poussé le jeu de combat vers le haut. Puyo et Virgile, accompagnés par le talentueux Ken Bogard, sont des amoureux de la licence, ils vous expliquent ce qui leur a tapé dans l'œil tout au long de ce Rétro Dash.
Après le départ de notre Pipomantis adoré, il nous fallait des pointures pour prendre la relève. Vous les connaissez déjà très bien, il s'agit des puits de savoir que sont Patrick Hellio et Raphaël Lucas, dont vous avez pu apprécier les interventions dans de nombreux épisodes du programme - c'est peu dire qu'ils étaient ici chez eux. Ils sont désormais aux commandes de l'émission, et c'est avec un plaisir non dissimulé qu'on les retrouve pour parler des jeux Batman à l'ancienne.
Il y a des années plus fructueuses que d'autres et 1992 fait partie des cuvées particulièrement rares de l'histoire du jeu vidéo. Rétro Dash en fait la démonstration en dépoussiérant les titres, les machines et les tendances de l'époque. Nous nous étions déjà intéressés à la riche année 1998, cette fois Patrick, Raphaël et Puyo jettent leur dévolu sur 1992, qui regorge elle aussi de pépites. Pour vous donner un ordre d'idées du catalogue de l'époque, on peut citer Wolfenstein 3D, Street Fighter II, Alone in the Dark, Thunder Force IV, Dragon Quest V, Super Mario Kart, entre tellement d'autres. Pas mal, hein ? Et vous n'avez pas encore tout vu, les grands titres, les tendances, l'évolution du marché en 1992, le trio magique passe en revue cette belle année dans cet épisode de Rétro Dash.
Ce mois-ci Rétro Dash s'attaque à un grand morceau de l'Histoire du jeu vidéo, avec l'inénarrable Amiga. Patrick et Raphaël sont dans les starting-blocks. C'était l'une des grandes marottes de Patrick, dans laquelle le suit son acolyte Raphaël avec grand plaisir, ça y est, l'épisode de Rétro Dash consacré à l'Amiga est enfin concrétisé ! On suit la machine à travers le temps, ses différentes versions, ses innovations et évidemment sa ribambelle de jeux mémorables. Puyo, en maestro, est le spectateur privilégié des deux puits de science amiguesques présents en plateau.
Qu'ont en commun Laurent Fabius, Astérix Le Gaulois et Billy La Banlieue ? Ils ont tous participé de près ou de loin à l'émancipation du jeu vidéo made in France, et même à l'émergence de ce que certains médias ont dépeint comme une autre forme de French Touch, ce je-ne-sais-quoi difficile à définir qui a fait l'attrait ou le piquant des productions hexagonales. Tout un pan de l'histoire que Raphaël, Patrick et Puyo, accompagnés cette fois de Alexis Blanchet, revisitent dans ce nouveau numéro de Rétro Dash, votre émission retrogaming favorite. Car non, il va de soi que la French Touch ne se résume pas seulement à Rayman, Flashback et Another World, même s'ils en sont les fiers représentants. Tout au long de cette émission qu'on voulait synthétique, mais qui a finalement un peu débordé, nos quatre spécialistes passent en revue la production hexagonale de cette époque sous toutes ses formes, et toutes ses influences.
Rarement un personnage aura autant crystallisé l'archétype ultime en son genre que l'Indiana Jones incarné par Harrison Ford. Indiana Jones c'est l'aventurier par excellence, et quoi de mieux qu'un aventurier pour un jeu d'aventure ? Les films de Steven Spielberg et George Lucas ont marqué l'inconscient collectif si fort, qu'ils ont infusé (terme adéquat et usité ad nauseum par Patrick dans cette émission, vous êtes prévenus) dans un nombre considérable de jeux vidéo à travers les âges. Sans l'ami Indy, certainement pas de Pitfall !, de Tomb Raider évidemment, pas la fameuse phase en chariot dans Donkey Kong Country, pas l'immense boule qui nous menace dans Crash Bandicoot et bien d'autres. Parmi les adaptations, citons aléatoirement Raiders of the Lost Ark sur Atari 2600 de 1982, Indiana Jones and the Fate of Atlantis de 1992 ou encore Indiana Jones and the Emperor's Tomb de l'ère 128 bits. Cette émission est chapeauté par l'inénarrable duo composé de Raphaël Lucas et Patrick Hellio,
Ce mois-ci, Rétro Dash vous fout le trouillomètre à zéro en quelques pixels. Patrick, Raphaël et Hoopy remontent dans le temps et s'attaquent à l'horreur en 2D. 'Y a pas à dire, il fallait avoir de l'imagination pour se représenter les décors, les personnages, et tout ce qui était censé être effrayant dans nos jeux vidéo dans les années 80. C'est sûr qu'à l'époque on n'avait pas des tripes sanguinolentes parfaitement modélisées sous les yeux, sublimées par du ray tracing. Les développeurs devaient redoubler d'ingéniosité pour susciter l'angoisse, composer avec les limites techniques, faire avec le peu de couleurs à disposition, la faible résolution. Patrick et Raphaël, canalisés ou catalysés par Hoopy, font un long tour d'horizon de ces vieux jeux qui ont parfois tutoyé l'horreur, d'autres fois ont simplement adapté une licence cinéma horrifique avec les moyens du bord, ou ont réussi avec si peu à suggérer une réelle frousse.
En raison des circonstances que vous connaissez déjà, c'est dans la douleur et avec pas mal de retard que nous pouvons finalement vous proposer cet ultime Rétro Dash. Bien que dépourvue de son emblématique introduction qui n'a pu être tournée à temps, cette émission s'étale sur une durée de 4 heures, un record qui fait jeu égal avec l'émission en deux parties dédiée à LucasArts. Promis, Patrick Hellio a laissé quelques secondes de temps de parole à Raphaël Lucas, ces deux érudits de la presse spécialisée étant encadrés dans la mesure du possible par le non moins brillant Sylvain Tastet. À l'image du dernier iro·iro et parce qu'hommage doit être rendu à ceux qui ont permis à cette émission d'exister pendant un peu plus de 4 ans, cet épisode final restera exceptionnellement disponible en accès libre, sur YouTube, Dailymotion ainsi qu'en podcast ci-dessous.