Pourtant, quand une série de morts suspectes frappe ce petit village sans histoire, et que Lila Sept-Vents, impétueuse entrepreneuse native du cru, découvre que toutes les victimes étaient des clients de son agence, la présence d’un flic sous son toit pourrait s’avérer précieuse. Quant à Samson, aider Lila à faire la lumière sur ces meurtres qui menacent son agence serait l’occasion d’enterrer la hache de guerre qu’elle brandit au-dessus de sa tête depuis son retour.
La femme qui se présente à Samson vient de la Villa Agatha, et Samson a de bonnes raisons de penser que la charmante vieille dame n'a plus toute sa tête quand elle affirme qu'on vole des objets de valeurs aux résidents, dont son beau pilulier en or, et que "cette femme" leur veut du mal. "Elle", c’est Irina, la nouvelle directrice de la résidence, une jeune femme réfugiée d'Europe de l'Est, cible idéale puisque étrangère. Là encore, Samson a du mal à croire aux élucubrations de la vieille dame, mais quand celle-ci décède "accidentellement", il se lance d'autant plus vite dans l'enquête que son propre père Joseph vit dans la résidence et confirme qu'l s'y passe des choses étranges. Avec l'aide de Lila, surdouée en informatique, ils décident d'installer leur propre système de surveillance électronique à la Villa Agatha. Ils découvrent alors que même les résidents ont des choses à cacher. Alors, qui tire les ficelles ? Une question à laquelle nos enquêteurs doivent répondre au plus vite,