Au 19ème siècle, de nombreux explorateurs anglais ont cherché, souvent en vain, les sources du Nil. Après des décennies d'expéditions harassantes, Speke, Baker et Stanley ont mis en évidence que le grand fleuve était une hydre à deux têtes et que les monts de la Lune, en Ouganda (mais pouvoir le prouver) abritaaient l'une des clés du mystère de sa naissance. Da fait, le grand fleuve africain possède plusieurs sources. Elles alimentent un réseau hydrographique complexe qui, de glacier -le plus beau continent- en torrents, de rapides en cascades, de lacs en marais, sillonnent une grande partie du territoire ougandais. L'équipe d'Okavango, en remonatant le dédale que constituent le Nil Albert et le Nil Victoria, partent sur les traces des explorateurs anglais. commencé dans la savane brûlante, le voyage s'achèvera dans les neiges de l'équateur.