De plus en plus de personnes se plaignent de troubles digestifs en lien avec des aliments contenant du gluten, du lactose ou du fructose. Et les supermarchés regorgent de produits de substitution : pâtes à base de lentilles, lait d’avoine ou gâteaux sans sucre. Quid de ces "intolérances alimentaires" ? S’agit-il de troubles réels ou d’un effet de mode ?
Toujours plus de personnes veillent à ce que leurs habitudes en matière de consommation n’alimentent ni la crise climatique, ni l’exploitation des populations et des ressources dans les pays du Sud. Le marché des produits équitables et écologiques ne cesse de croître.
Le monde du travail est en plein bouleversement. Une étude du Forum économique mondial révèle que dès 2025, davantage de tâches devraient être exécutées par les robots et l'intelligence artificielle que par des êtres humains. Avec, à la clé, la suppression de millions d’emplois.
L’hydrogène est considéré comme le pétrole de demain. Preuve en est, l’Union européenne a déjà prévu d’en produire 10 millions de tonnes d’ici à 2030 afin de mettre en service des bus, camions, bateaux et avions zéro émission. Par ailleurs, de plus en plus de villes essayent d’en injecter dans leur réseau de gaz. Sera-t-il bientôt possible de se chauffer ou même de cuisiner à l’hydrogène ?
Est-il possible de modifier notre patrimoine génétique ? La science a connu des avancées majeures, telles que le séquençage de l’ADN humain ou le système CRISPR/Cas9. S’il est devenu possible de guérir des maladies congénitales et de traiter à titre préventif les prédispositions à certaines pathologies, ces innovations ne sont pas sans danger et risquent fort d’être utilisées à mauvais escient.
Facebook, TikTok, Instagram et consorts relaient un vaste éventail de contenus, d’informations et d’opinions. Dans les pays où la liberté de la presse est limitée, les médias sociaux peuvent jouer un rôle essentiel. Pour preuve, la responsabilité de Facebook dans le génocide des Rohingyas en 2017, dénoncée par Amnesty International.
En pleine transition énergétique, une question s’impose : comment parviendrons-nous à couvrir nos besoins dans le futur ? Pour beaucoup, la réponse est toute trouvée : la fusion nucléaire. Elle est un peu le Saint-Graal en matière de production d’énergie car, en plus d’être un carburant inépuisable, elle n’émet pas de CO2 et ne produit quasiment pas de déchets radioactifs ou d’eau contaminée.
L’interdiction des organismes génétiquement modifiés (OGM) est un totem pour les agriculteurs bio. Leur refus des technologies de pointe est-il encore approprié ou ne risque-t-il pas au contraire de compromettre l’avenir de la filière ?
Qui ne souhaiterait pas rajeunir ? Mais de là à être immortel… Et si on en était réellement capable, quelles seraient les conséquences pour les individus, la société et la planète ? La quête de l’immortalité est-elle un doux rêve ou une abomination ?
Y a-t-il trop d’êtres humains sur Terre ? Ce débat qui divise les scientifiques depuis la révolution industrielle a été ravivé ces dernières décennies par les quantités de CO2 que nous rejetons chaque année dans l’atmosphère.
Des chasseurs-cueilleurs à l’autopartage… depuis la nuit des temps, humanité rime avec mobilité. Mais à l’avenir, les transports seront-ils individuels ou collectifs ? La mobilité se résume-t-elle à un simple mode de déplacement ou est-elle un enjeu essentiel ?