Les Deux Coqs est la douzième fable du livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. Cette fable est composée de 32 vers relativement courts ; structure traditionnelle de l’apologue : récit (v. 1-28) suivi d’une morale (v. 29-32).
Elle est construite selon le plan traditionnel d'un apologue : récit de 57 vers, adoptant une progression narrative et reposant sur une anecdote (un jardinier, dont le jardin saccagé par un lièvre, demande assistance à son seigneur qui finit par piller son jardin) et une morale de quatre vers ; remarque sur l'énonciation du récit : s'y mêle la narration à des dialogues, un aparté (du jardinier), mais aussi des commentaires de l'auteur).
L'Enfouisseur et son compère est la quatrième fable du livre X de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
Le Rat de ville et le Rat des champs est la neuvième fable du livre I de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, dédié au dauphin, fils de Louis XIV, et édité pour la première fois en 1668
Les Voleurs et l'Âne est la treizième fable du livre I de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
La Grenouille et le Rat est la onzième fable du livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Le Lion et le Rat est la onzième fable du livre II de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. Les conclusions morales de cette fable sont : On a souvent besoin d'un plus petit que soi et Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Le Geai paré des plumes du Paon est la neuvième fable du livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Le Chat et un vieux rat est la dix-huitième fable du livre III de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Le Lièvre et la Tortue est la dixième fable du livre VI du premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Cette condamnation de la cupidité et cette invitation à suivre la sagesse épicurienne en méprisant les richesses et en jouissant du présent
La Fontaine a puisé sa source chez Malherbe ou chez Faërne ("Un Père, un Fils et un Âne", Cent Fables, C) qui se sont eux-mêmes inspirés d'un conte connu dès le Moyen Âge en Europe et au Moyen-Orient. On le retrouve dans divers recueils de contes et d'exempla dont l'œuvre du géographe andalou Ibn Said (1213-1286), le Liber de similitudinibus et exemplis de Jacques de Vitry, le Comte Lucanor, livre écrit entre 1330 et 1335 par l'infant de Castille Don Juan Manuel, les histoires attribuées au Turc Nasr Eddin Hodja... Cette fable a été écrite lors d'un séjour à Valmondois
Le Loup, la Chèvre et le Chevreau est la quinzième fable du livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
L'Ours et les Deux Compagnons est la vingtième fable du livre V de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
Le Héron est la première partie de la quatrième fable du livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. La seconde partie de cette fable est composée par La Fille[1]. C'est une fable double comme Le Lion et le Rat / La Colombe et la Fourmi, La Mort et le Malheureux / La Mort et le Bûcheron, Le Loup, la Chèvre et le Chevreau / Le Loup, la Mère et l'Enfant et Le Pâtre et le Lion / Le Lion et le Chasseur.
Le Rat qui s'est retiré du monde est la troisième fable du livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
L'Aigle et le Hibou est la dix-huitième fable du livre V de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf est la troisième fable du Livre I des Fables de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668.
ette fable, très connue de générations d'écoliers, est celle qui a fait l'objet du plus grand nombre de commentaires, d'autant que La Fontaine ne prend pas parti et que la morale conclusive n'est pas explicitée. L'absence de morale permet à La Fontaine de valoriser l'un et l'autre des personnages en renvoyant dos à dos l'esprit matérialiste, individualiste et bourgeois de la Fourmi et le comportement aristocratique, artiste et bohème incarné par la Cigale.
Cette fable, dont les personnages sont, respectivement, un corbeau et un renard, était déjà présente chez Ésope et Phèdre. Elle apparaît également dans la quatrième aventure du Roman de Renart, où Tiecelin le Corbeau, qui avait dérobé un fromage à une vieille dame, s'en fait dépouiller par la ruse de Renart.
La Génisse, la Chèvre, et la Brebis, en société avec le Lion est la sixième fable du Livre I des Fables de La Fontaine situé dans le premier recueil des fables, édité pour la première fois en 1665.