La forêt québécoise génère des milliards de dollars en retombées avec une industrie qui crée 60 000 emplois. Mais la gestion des coupes forestières serait erratique au point de créer un bris de confiance. Difficile pour la population de faire contrepoids aux lobbys forestiers, les processus de consultation du gouvernement sont qualifiés de bidon. De plus en plus de voix s’élèvent afin de dénoncer l’emprise de l’industrie sur le ministère des Forêts, pour qui l’argent semble pousser uniquement dans les arbres coupés.