Le propriétaire d’un magasin de bijoux est retrouvé mort à la suite d’une attaque à la perceuse. Sur la scène de crime, Morgane reconnaît les bijoux volés par Serge. Lorsque l’équipe établit un lien entre la victime et Redbones, le biker à qui Serge doit de l’argent, Morgane va devoir résoudre l’enquête tout en dissimulant son implication indirecte dans le meurtre. Plus tard, lors d’un dîner, Karadec se confie à Morgane et l’embrasse passionnément. Mais leur relation s’écroule à nouveau lorsque Karadec découvre que Morgane est impliquée indirectement dans le meurtre du bijoutier. Aux urgences, Morgane apprend qu’elle est enceinte. Qui est le père ? Entre Timothée, David et Karadec, tout est confus.
The owner of a jewelry store is found dead as a result of an attack with a drilling machine. At the crime scene, Morgane recognizes the jewelry that Serge stole from the previous episode.
Un joyero fue hallado muerto tras un apuñalamiento. En la escena del crimen, Morgane reconoce las joyas que Serge robó. Cuando el equipo establece un vínculo entre la víctima y Redbones, el motociclista a quien Serge debe dinero, Morgane tendrá que resolver la investigación mientras oculta la participación indirecta en el asesinato.
Un uomo di origini tedesche uccide tutti coloro che entrano in contatto con una spilla rubata. Morgane è costretta a depistare i suoi colleghi e, soprattutto, a mentire a Karadec per evitare che le indagini portino a lei e a suo padre.
Eine Reihe von Morden wird verübt, die Opfer werden allesamt mit einer Bohrmaschine gequält und getötet. An einem Tatort wird Schmuck gefunden, der Schmuck, den Serge der alten Madame Martingale gestohlen hat. Morgane versucht nun, ihren Vater zu schützen und die Ermittlungen in eine falsche Richtung zu lenken. Die Spur des Schmucks führt nach Deutschland, wo Madame Martingale in der DDR für die französische Botschaft gearbeitet hat. Ein Schmuckstück gehörte einer jungen Frau, die versuchte, nach Frankreich zu fliehen. Madame Martingale behauptet, sie habe ihr dabei geholfen.
