In dieser Episode folgen wir Michael nach Italien, dem beliebten Urlaubsland, das um die Jahrhundertwende gespalten war zwischen Traditionen und Futurismus …
Bradshaw's 1913 Continental Railway Guide in hand, Michael Portillo visits Italy, where he experiences first-hand the nation's need for speed in a state-of-the-art Maserati sports car. Michael discovers how the leaning tower of Pisa was rescued from near collapse. In Carrara, he finds out how the marble used by Michelangelo is still quarried today and is invited to chip away at a contemporary sculpture. In Bologna, he embarks on a doomed search for spaghetti Bolognese until a cookery teacher shows him how to make a much more authentic tagliatelle al ragu. Following in the footsteps of Bradshaw's travellers, Michael explores the cradle of the Renaissance through Edwardian eyes. Heading north to Gargnano, Michael discovers the romantic hideaway of one of Britain's most famous writers, DH Lawrence, whose affair with his professor's wife scandalised his home country. Michael ends his journey in futuristic style with a high speed boat trip across Lake Garda.
Michael Portillo sillonne l’Italie, destination très prisée à l’époque édouardienne. Dès son arrivée, il y fait l’expérience d’une virée en Maserati, voiture de sport à la pointe de la technologie. Un ingénieur britannique lui explique comment l’effondrement de la tour de Pise a été évité de justesse. À Carrare, il découvre les procédés actuels d’extraction du marbre autrefois utilisé par Michel-Ange et taille une sculpture contemporaine. À Bologne, il se lance à la recherche des célèbres spaghettis à la bolognaise, une quête vouée à l’échec jusqu’à ce qu’un professeur de cuisine se décide à l’aider et lui enseigne l’art des tagliatelle al ragù, spécialité bien plus authentique. Sur les traces des voyageurs décrits par Bradshaw, le journaliste part à la découverte de Florence, berceau de la Renaissance, qu’il perçoit sous le spectre de l’époque édouardienne. Il y apprend que l’« Italietta » telle qu’imaginée par les touristes est très loin de la nouvelle Italie envisagée par les futuristes contemporains.