Jamais les forêts québécoises n'avaient tant brûlé. Même si l'écorce de l'arbre est calcinée, le tronc, lui, reste intact. Il n'a pas perdu de sa valeur; on peut donc le récupérer. Mais la quantité de bois à couper est si grande qu'elle dépasse la capacité de l'industrie. Alors, il faut faire des choix, prioriser les interventions sur le terrain.