Le 29 janvier 2017, quelques heures avant d’abattre six hommes à la grande mosquée de Québec, Alexandre Bissonnette a croisé le chemin d’un influent néonazi canadien sur les réseaux sociaux. Il ne pouvait pas savoir à qui il avait affaire. C’était précisément le but. Jeff Yates dresse le portrait d’une vaste machine mondiale de propagande extrémiste sur le web, active aussi au Canada.