Face au massif du Luberon, Benoit visite un village ancré sur les hauteurs d’un piton rocheux, adossé sur le flanc Sud des contreforts des Monts du Vaucluse : la splendide Gordes. Benoit commence son périple à la Trinquette où Benoit Meriaux lui propose quelques pistes pour découvrir le village. Il fait une visite historique avec Jean-Marc, et un tour avec le postier.
Lussan embrasse, derrière ses remparts, un vaste panorama ouvert sur les Cévennes, les monts d'Ardèche et le mont Ventoux. Benoit tâte le pouls à la station-service du coin et se lance ensuite dans les rues étroites, rencontrer le barbu, découvrir les céramiques de Lussan, faire un « tour de char » jusqu’aux gorges et déguster du fromage de chèvre.
Surplombant la Dordogne, le château de Beynac en impose. Benoit se propose une visite par paliers. Il commence par rencontrer Norbert qui l’envoie voir Daniel le forgeron. En face, Cazenac, toute petite, mérite un détour où Benoit s’arrête à l’église Saint-Martial. Après un tour sur la Dordogne, Benoit visite enfin le château.
Au pied de l’entaille creusée dans le Luberon par l’Aiquebrun, parmi les vignes et oliviers surgit Lourmarin. Premier arrêt au café Gaby, Benoit y discute avec Marc qui lui propose de visiter l’église, faire le tour des fontaines et rencontrer la fille d’Albert Camus dans un village qu’il décrit comme l’endroit par excellence pour se reposer.
Étape majeure sur le chemin de St-Jacques-de-Compostelle, Conques est un village cosmopolite et surtout très touristique. Célébrée pour son abbatiale et son trésor, Benoit s’attarde à l’auberge St-Jacques pour planifier son séjour.
Située dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, Salers offre un retour dans le passé entre le moyen-âge et la renaissance. Jean-Charles, du café le Rétro, propose à Benoit au menu : rencontrer Tyssandier d’Escous, des vaches de la race célèbre Salers, un viking et des cochons !
Premier village ayant reçu l’appellation des plus beaux villages de France, Collonges doit son nom au grès à haute teneur en oxyde de fer qui lui donne sa couleur. René, au village depuis 1974 conseille à Benoit de rencontrer Mme Françoise Biraud, visiter l’église, la maison de la sorcière. Au fil des rencontres, Benoit se fait pointer les nombreuses statues cachées dans l’architecture.
Confortablement installé entre les falaises et l’Ardèche, Vogüé est un village où il fait bon se perdre. Albert, natif du village, partage ses connaissances sur l’endroit. Il l’envoie rencontrer Muriel qui tient une boutique de produits locaux, s’aventurer dans la rue des Puces et lui fait une visite particulière du château.
Situé sur la presqu’île d’une boucle de l’Auvézère, Ségur-le-Château est, comme son nom l’indique, un « lieu sûr » qu’avaient choisi les vicomtes de Limoges pour y établir leur château fort. Le maire de Ségur accueille Benoit sur les rives de l’Auvézère et lui montre le plan du village. La famille Chauffaille qui élève des porcs culs noirs, Étienne le ferronnier, Caffy, peintre sur porcelaine sont au nombre des rencontres.
À 50 km au Sud-est de Tours, Montrésor s’est posé sur les bords de l’Indrois où se reflètent les vestiges de la double enceinte de cette ancienne forteresse et son château Renaissance. Dans le village, les maisons aux murs de tuffeau blanc ou a? colombages côtoient des habitations semi-troglodytiques. Alain, designer à la retraite, emmène Benoit au château. Catherine lui montre son four banal datant du XVIe siècle et fait un tour du village.
Entre Anjou et Touraine, Montsoreau a pour cadre prestigieux la Loire, fleuve légendaire au pied duquel se mire un château du XVe siècle. Tout autour, ruelles fleuries aux maisons en tuffeau blanc coiffées d’ardoises et chemins verts conduisent aux vignobles du Saumurois. Clément et ses copains accompagnent Benoit et font le tour du village, visitent les troglos, découvrent la culture des champignons, le musée du château pour finir sur la Loire au coucher du soleil.
Gargilesse-Dampierre accueille aujourd’hui de nombreux touristes et pélerins attirés par le charme romantique de ses maisons serrées, aux toitures pentues tapissées de tuilettes brunes, resserrées autour du château. George Sand, avant beaucoup d’autres artistes, fut la première à succomber à son charme. Aujourd’hui encore, artisans d’art, musiciens, font la rencontre de la terre du patrimoine et de la création. Benoit croise le chemin de la châtelaine Annick qui lui montre les œuvres exposées et son atelier. Georges, un illustrateur fait une balade avec Benoit pour lui montrer ses inspirations.