Face à la mobilisation contre les « mégabassines », le pouvoir a haussé le ton. Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, rejoint par son collègue chargé de l’agriculture Marc Fesneau, a lâché dans le débat public le mot « écoterrorisme ». À quoi ce terme peut-il bien renvoyer en 2022, alors que les modes d’action des militant·es du climat semblent au contraire être modestes face au défi à relever ? Coup de projecteur sur les moyens employés par ces activistes.