Comme à la grande époque de Rocard, c’est l’heure du « big-bang ». Il s’agit pour les agitateurs et les agitatrices de tirer les leçons de l'échec des européennes en amorçant de nouvelles dynamiques, aussi bien à l’intérieur de la France insoumise qu’à l’extérieur. Tout le monde semble disposé à dialoguer, de la formation de Benoît Hamon à celle d’Olivier Besancenot, mais tout le monde n’a pas répondu présent à l’appel de Clémentine Autain : le PS et la FI, par exemple, traînent des pieds. Une figure semble empêcher le rassemblement des gauches, celle de l’incontournable Jean-Luc Mélenchon.