L’éloquence est une qualité attendue chez les responsables politiques, et une qualité assez inattendue chez les gens du commun. Pourtant, il arrive que des figures émergent et, à l’instar du « gilet jaune » François Boulo, soient à cet égard en mesure de tenir la dragée haute aux politiques les plus installés. Mais l’éloquence n’est pas une qualité, c’est une compétence et, comme bien d’autres, elle s’acquiert. Comment s’y former et, d’ailleurs, qui y forme-t-on ? Que valent les concours d’éloquence et est-il souhaitable de les voir se multiplier ?