Comment rapporter les drames, les accidents, les chiens écrasés et les cambriolages ? Doit-on seulement en parler ? On peut légitimement interroger la place du fait divers dans la hiérarchie de l'information et partir du principe que des faits isolés valent bien moins que des chiffres, des tendances lourdes ou même que la dernière petite phrase d'Emmanuel Macron. Mais il se pourrait que ce genre journalistique puisse être plus parlant que bien d'autres pour comprendre les sociétés dans lesquelles nous évoluons.