Jean Béliveau a du mal à s’adapter au jeu robuste de la Ligue nationale. Il se blesse régulièrement et son jeu attise les critiques de toute part. Maurice Richard tente de lui faire comprendre de jouer plus dur. En mars 1955, Richard est suspendu pour avoir frappé un arbitre. Pour les partisans cette décision est injuste et fera éclater une émeute. À l’issue de ce conflit, le Rocket et Jean règlent leurs différends et ils mèneront l’équipe à la victoire pour cinq Coupe Stanley consécutives.